15/10/2013
PORT de SETE vu par le Propeller Club de Sète et par Yves MARCHAND candidat à la mairie en 2014
Les doutes et les hypothèse sur l’évolution du port de Sète, d’Yves MARCHAND sont relativement bien fondés :
Lettre de Sète – Compte rendu de la présentation “étude d’impact du PORT DE SÈTE sur l’économie Régionale”
http://www.lettredesete.fr/index.php/economie/economie/43...
Le 20 septembre, le Propeller Club de Sète a présenté les résultats de l’étude d’impact économique du port de commerce de Sète-Frontignan. Ci-dessous quelques extraits du compte rendu de cette présentation publié par la Lettre de Sète :
Selon l’étude, le port de commerce produit, pour la seule économie régionale, un revenu annuel récurrent qui dépasse largement les deux cents millions d’euros.
En 2011 : 239 millions d’euros avec 861 navires de charge et 217 escales de navires de passagers.
Cette même année, hors pêche et plaisance, le port offrait 951 emplois directs dans les entreprises portuaires générant 401 emplois induits, soit 1352 équivalents à temps plein dont 85% sont occupés par des salariés vivant dans les communes de l’agglomération. C’est donc la première source d’emplois privés dans le bassin : 2000 emplois en incluant Pêche et Plaisance.86% des emplois correspondent à des niveaux de qualifications bac ou inférieurs, les rémunérations catégorielles étant supérieures de 33% à la moyenne régionale, soit un revenu annuel médian de 38.500 euros pour un agent de maîtrise et 29.500 euros pour un agent qualifié ou in employé dans le secteur privé.
Des investissements importants :
Depuis 2007, la région a investi sur le port 40 millions d’euros. Pour la même période, 115 millions d’euros ont été investis par les acteurs privés avec un effet multiplicateur égal à 2,8.
Un million d’euros investis par la région a généré 2,8 millions d’euros investis par les entrepreneurs privés (sans recevoir la moindre subvention).
FAUT-IL CROIRE EN L’AVENIR DU PORT DE SÈTE ?
L’activité maritime est le deuxième secteur économique mondial, juste après l’agriculture.
Il y a 50 ans, la France était la 4ème puissance maritime du monde, elle est aujourd'hui reléguée à la 30ème position. La moitié des marchandises qui arrivent en France par la mer sont débarquées dans un port étranger. Le transport maritime concerne 90% du commerce extérieur mondial.
La France qui possède le deuxième espace maritime du monde, avec 18 000 kilomètres de côtes en comptant l’Outre-mer, devrait être une puissance maritime de premier plan. On est loin du compte même si cette activité génère plus de 300.000 emplois directs et plus de 50 milliards de chiffre d’affaires (plus que l’aeronautique, plus que l’automobile)
Vu d’Asie ou d’Amérique, Barcelone, Gênes ou Marseille c’est la même chose : un point sur la côte sud de l’Europe. Alors pourquoi Sète ne deviendrait-il pas aussi sinon un grand port méditerranéen du moins un port dynamique qui valorise ses atouts spécifiques? Les investissements importants et le partenariat public/privé exemplaire qu’ont su mettre en place les acteurs locaux amorcent un retour rapide à la compétitivité du port de Sète, préalable à la création de nouveaux emplois.
Mais restons lucides. Le transport maritime est aujourd’hui mondialisé, complètement ouvert à la concurrence, sans aucune protection ni restriction. Il n'existe aucune relation de nationalité entre aucun des intervenants, depuis le propriétaire du navire jusqu'à son équipage, et encore moins avec les propriétaires de la marchandise. La notion de pavillon est pervertie.
Dans cette jungle, développer le port de Sète ou tout autre port français implique une politique maritime forte au niveau national , c’est à dire une politique qui prenne en compte les ports mais également d’autres volets tout aussi importants, par exemple l'armement des navires (le transporteur, propriétaire ou affréteur) et la construction navale. Une politique portuaire ambitieuse ne peut se concevoir en restant fortement dépendant de puissances étrangères tant pour transporter les marchandises (ou les personnes) que pour construire les navires.
Investir dans de coûteuses installations pour attirer les navires suppose aussi une réflexion préalable pour identifier les cargaisons pertinentes. Déjà en 2005, Jean-Philippe Huchet rappelait que « c'est le navire qui va à la marchandise et non l'inverse" . Les grandes heures du port de Sète furent celles où le vin ou les produits chimiques attiraient les bateaux. Aujourd’hui les pinardiers sont passés de mode et les usines du littoral ont quasiment disparues.
Cette évolution n’est cependant pas inéluctable. Les populations et l’activité économique se déplacent vers les régions littorales et portuaires. Les unités de production viennent de nouveau au plus près des ports pour minimiser les coûts et les ruptures de charges. Sète, port de taille moyenne mais polyvalent, adapté à tout type de trafic et offrant à terme une connexion multimodale complète a une carte à jouer
Une entreprise lyonnaise qui passera par Sète plutôt que par Rotterdam , économisera 450 km de transport et fera appel au transport fluvial dont les coûts sont moins élevés pour le pré-acheminement sans compter la réduction de la congestion routière et des émissions de gaz à effet de serre.
En outre, contrairement à beaucoup de ses concurrents, Sète dispose d’une excellente accessibilité et son arrière pays offre aussi une réserve foncière importante pour developper les activités logistiques liées au port, activités non délocalisables et pourvoyeuses d’emplois.
Le port de commerce de Sète est déjà le premier créateur de richesse privée dans l’économie du bassin de Thau.
Dans ce contexte, renforcer et diversifier l’attractivité de l’outil portuaire ne peut donc qu’être positif.
Faire de Sète-Frontinang un port attractif et un atout pour le développement international de la région Languedoc Roussillon est un pari qui peut être gagné.
Encore faut-il garantir que ce développement se fasse en préservant l’environnement, celui du port comme celui du littoral.
Encore faut-il aussi que le financement public des infrastructures soit exigeant en terme de compétitivité et serve au développement, à l’innovation et à la performance.
Les choix faits par la région et les opérateurs privés semblent à ce jour aller en ce sens.
Jacques Carles
Yves MARCHAND 10/10/2013 - ANALYSE CRITIQUE DU RAPPORT SUR L’ÉVALUATION SOCIO ECONOMIQUE DU PORT DE SETE
AVANT PROPOS
Je prie les lecteurs qui n'ont pas lu ce rapport - et qui sont évidemment très nombreux ( seule une minorité y ayant eu accès) - de bien vouloir m'excuser de faire comme si ils l'avaient lu en publiant cette analyse critique.
J'ai toutefois essayé de les dispenser d'une lecture fastidieuse et, au demeurant indigeste et inutile, en reprenant textuellement les points que je critique afin de respecter les termes employés par l'agence chargée par le Conseil Régional, l'Etablissement Public Portuaire et le "Propeller Club" de fournir à ses 3 clients les justifications de l'investissement pharaonique envisagé (entre 200 et 300 millions d'Euros prélevés sur les contribuables régionaux du Languedoc-Roussillon).
Ce projet inepte dans sa conception, improvisé par des professionnels incompétents et ruineux pour les contribuables, constituera un scandale financier sans précédent dans cette région si, par malheur, et en dépit des avertissements que nous aurons adressés, il était réalisé.
C'est, au terme d'une lecture sérieuse, la conclusion à laquelle tout observateur un tant soit peu averti, doit parvenir. J'ose espérer que cette note permettra aux gens de bonne foi qui ont été abusés de revenir sur une appréciation imposée qui était le résultat d'un leurre.
Introduction
Il n’était sûrement pas inutile de procéder à l’évaluation de l’impact économique du port de commerce de Sète. La démarche peut en effet permettre de mettre en évidence les réalités d’une activité concurrentielle susceptible d’évolution. Nul ne nie, avec environ 900 emplois qui en découlent, cet impact économique sur la ville et les Sétois en sont conscients.« Le Sétois est d'abord un portuaire ».
Pour autant si l’objectif est louable, il doit, pour s'inscrire dans l'avenir, être placé dans le contexte de la concurrence à laquelle l’activité portuaire est soumise tant sur le plan régional (Port la Nouvelle) et national (Marseille) qu’international (Barcelone et Gênes) pour ne parler que des concurrents les plus immédiats. Ce qui n'a pas été fait.
Il faut de surcroît préciser que cette simple concurrence de proximité ne suffit pas à envisager l’avenir d’un port qui, par nature, est confronté à une concurrence beaucoup plus large puisque, concernant Sète qui s’intéresse au trafic Sud/Nord, son plus grand concurrent n’est pas forcément Marseille, mais aussi Le Havre ou Anvers car s’agissant de lignes maritimes régulières, la concurrence vient de tous les ports équipés pour les recevoir, étant précisé que la route maritime est souvent moins onéreuse que la route terrestre et qu’une plus grande distance maritime est préférable à un transfert routier de la marchandise. Lorsqu'il s'agit de concurrence portuaire, le port concurrent peut se trouver loin de lui, sur une autre mer ou un autre océan.
Lorsqu’il s’agit de trafics occasionnels, et non plus de lignes régulières, le port se trouve alors en concurrence avec les ports de proximité et le coût de l’escale devient l’élément décisif du choix du transporteur maritime. Or le coût d'escale du port de Sète, trop cher, n’est pas compétitif (page 24 du rapport).
Négliger cet aspect essentiel relativise considérablement la portée de l’étude entreprise.
I L’objectif et les bases du rapport
Deux éléments ont été pris en considération pour évaluer l’impact économique du port :
- d’une part la dynamique des professionnels du port sur la base de projections d’activités
- d’autre part, le recensement des projets à court et moyen terme des acteurs primaires du port que sont les entreprises privées et publiques en lien direct avec le port.
Les acteurs secondaires, qui ne sont pas en lien direct, mais qui bénéficient d'un rapport commercial avec l'activité portuaire, n'ont pas été consultés.
1 Sur le premier point, en s’en tenant simplement au marché des escales, le rapport note déjà un décalage considérable, très défavorable au port (- 34%) entre les prévisions 2011/2015 et les réalisations. Ce qui n’empêche pas le rapport d’envisager le doublement des passagers dans la période 2010/2020, au mépris de son propre graphique (page 5) qui affiche, en contradiction avec ses conclusions, un effondrement du marché.
Concernant le trafic des marchandises, on note depuis une dizaine d'années, une stabilité aux alentours de 3.600.000 tonnes et cependant le rapport relève que les prévisions 2010/2020 tablent sur une augmentation considérable du trafic qui dépasserait 7.000.000 tonnes en 2020 alors que l’année 2011 ( année de référence) est déjà considérée comme très bonne et inégalée en 2012 et 2013.
Dès lors, aucun élément objectif, mais seulement un pari sur des investissements qualifiés de soutenus ( ils sont en réalité considérables), permet d'espérer la confirmation de cette hypothèse de croissance affichée comme un vœu pieu, pour ne pas parler de contre vérité.
En effet la zone de stockage à Poussan, au demeurant rejetée par les habitants du lieu, qualifiée à tort d’hinterland, éloignée du port, alors qu'il existe une Zone industrielle fluvio-maritime ou "Zifmar" utilisable sur le port, n’a aucune chance de participer au développement du port en raison des contraintes dues au pré et post-acheminement de la marchandise, et le scepticisme des acteurs privés qui reconnaissent n'avoir aucune visibilité de leur avenir, ne confirme en aucun cas le volontarisme affiché par les pouvoirs publics.
Le trafic des marchandises diverses est marginal (entre 50 et 100.000 tonnes). Ce n’est pas une prévision de doublement qui entraînera une quelconque modification de la situation.
Et lorsque l’on envisage l’augmentation du trafic conteneurisé, aujourd’hui encore plus marginal (0 à 6% du trafic total), c’est oublier que le port de Sète n’est pas et ne sera jamais sur la route des grands porte-conteneurs et n’a aucune chance, malgré de très lourds investissements, de capter une part de marché autre que marginale. Le simple constat de la situation concurrentielle avantageuse des ports voisins confirme cette évidence.
2 Sur le second point, la lecture du rapport est également révélatrice de ses approximations. Tout d’abord, aucun investissement structurel n’est envisagé à moyen terme par les entreprises : scepticisme évoqué plus haut. Les entreprise précisent même (page 22) que « leur visibilité est inférieure à 6 mois ». Et ce n'est pas la stagnation du trafic maritime qui va les conduire à changer d'attitude.
D’autre part, alors que la moyenne des dépenses d' investissements d’entretien s’élève à environ 1 M€/an, on envisage leur triplement ( environ 3 millions d'€) dans la période 2012/2016, sans en fournir la raison, et en contradiction avec les déclarations des entreprises privées.
Les seuls investissements structurels – déjà très importants – réalisés depuis 2009 l’ont été par le secteur public, avec des fortunes très diverses puisque le plus important d’entre eux se révèle aujourd’hui inutilisé (Agrexco). Quant aux autres, ils avaient pour objet la remise aux normes du port au moment de sa transmission par l’Etat. Le rapport relève à juste titre que ce type de travaux impacte peu la région qui ne dispose pas des entreprises susceptibles de les réaliser (page 16).
Mais, malgré cela, on parle d’une « stratégie volontariste » qu’aucun entrepreneur privé ne serait disposé à cautionner mais que personne ne semble contester lorsqu’il s’agit de deniers publics. C’est ainsi que se réalisent en général les plus grosses faillites : sur la base d’évaluations fictives dans une totale irresponsabilité financière(graphique page 22).
L’activité portuaire dépend non seulement de la situation géographique du port : le port de Sète n’est pas bien placé, au fond du Golfe du Lion, mais aussi de l’existence d’un marché maritime. L’axe stratégique Sud/Nord évoqué par le rapport se fait à partir de Marseille (100 millions de tonnes), Barcelone (50 millions de tonnes) et Gênes (60 millions de tonnes). Avec ses 3,5 millions de tonnes, Sète pèse bien peu.
Sète ne bénéficie par ailleurs d’aucun marché régional. - Sète est hors ligne de porte-conteneurs et ce ne sont pas les aménagements portuaires qui changeront quoi que ce soit à la désindustrialisation de la Région, à la géographie du Golfe du Lion, à la structure d’accueil professionnel du port de Sète et à la route des lignes mondiales de desserte des ports. (cf. page 24)
Le port de Sète peut néanmoins conserver une vie de port d’équilibre qui doit être encouragée mais qui ne justifie pas des investissements sollicités en pure perte.
II L’Enquête
Il est précisé que n’ont été interrogés par voie d’enquête que les acteurs primaires.
Moins de 50% des entreprises publiques a répondu au questionnaire et les entreprises privées n’y ont répondu que par des informations qualifiées par l’enquête de « suffisantes pour procéder à des estimations fiables ».
En s’en tenant simplement à ces bases, on se rend compte aussitôt de l’approximation qui résulte des résultats, approximation d’ailleurs reconnue explicitement par l’enquête (page 25) : « Des contraintes d’accès à l’information ont conduit à recourir à des estimations. Ce point a pour objet de lister les limites techniques associées à chaque estimation afin de nuancer les résultats présentés. Il convient de rappeler que toutes les estimations sont fondées sur des hypothèses prudentes et furent recoupées avec des informations à dire d’experts sauf pour les investissements publics » – ce qui constitue, eu égard à leur importance, une restriction considérable à la crédibilité de l’enquête.
Si l’on ajoute à cela que l’année de référence (2011) est la meilleure année possible et que l’enquête n’a pas pris soin de pratiquer une moyenne des années moins favorables pour se fonder sur une moyenne annuelle crédible (page 25), on peut douter de l’objectivité des conclusions.
Enfin l'aveu selon lequel les données brutes mêmes fournies par les « acteurs » (publics ou privés) furent incomplètes et ne permirent pas « d’explorer le champ initialement visé par le cahier des charges car il était impossible de retraiter ces données globales », suffit à mettre en évidence le peu de crédibilité des conclusions d'autant que, « la marge d’erreur des résultats globaux est impossible à estimer car les biais se compensent partiellement. Les résultats présentés demeurent des résultats prudents. »
Après avoir mis en évidence, de « bons résultats » et quelques limites, le rapport avoue les difficultés de fournir des éléments indiscutables« compte tenu des contraintes rencontrées soit dans la collecte des données, soit dans leur traitement (sic) et d’ajouter :
« Faute d’information suffisante ,plusieurs objectifs n’ont pu être remplis :
- Pour le secteur privé, les réserves liées à l’incertitude exprimée par les professionnels (eux au moins sont prudents ! )n’ont pas permis de réaliser des projections fiables à moyen et long terme. Ce constat s’applique autant à l’exploitation qu’aux investissements.
- A titre informatif, une estimation qui ne présente aucun intérêt de la place relative du port de Sète dans l’emploi local est présentée par rapport à la population active de l’Hérault et remarque que tout impact réel du port de Sète doit être envisagé en incluant les autres activités portuaires de Sète pour être significative, la stratégie de plate-forme multimodale, les filières déjà implantées et les nouveaux acteurs »
S’agissant des autres activités portuaires de Sète, il n’est pas douteux qu’elles ont ou pourraient avoir un impact très important sur l’économie de la ville. Si l’activité « pêche » s’est réduite, elle reprend aujourd’hui sous une autre forme de petits métiers et mériterait d’être soutenue en donnant à cette pêche « raisonnée » la part qui lui revient dans l’économie locale.
Quant à l’activité « plaisance », elle n’en est même pas à ses balbutiements et le parti qui a été pris de refuser de tenir compte de la volonté des plaisanciers et des professionnels de l’exploitation portuaire et de refuser de reconsidérer en profondeur l’urbanisme de Sète pour créer un quartier spécifiquement orienté vers cette activité, est le plus mauvais qui pouvait être imaginé.
Toutes ces réserves, formulées explicitement ou implicitement par le rapport lui-même conduisent à une extrême prudence et sûrement pas à des décisions d’engagements financiers dont l’impact n’a non seulement pas été mesuré mais dont tout laisse supposer que personne, ni acteurs privés, ni acteurs publics, ne peut en fournir une vision objective.
En revanche, ces conclusions partiales et sans fondement, conduisent plus que jamais le Parti des Sétois à s'engager fermement dans 3 directions :
-
La défense du port de commerce de Sète comme port d'équilibre et de niche
-
La réalisation d'un nouveau port dédié aux petits métiers de la pêche
-
La réalisation d'un quartier de la plaisance et du tourisme offrant à Sète un nouvel élan de développement économique, créateur d'activité, d'emplois et de ressources commerciales.
17:00 Écrit par MARCHAND-Yves | Tags : port de sète, elections municipales sete, epr port sud de france,conseil régional languedoc-roussillon |
PROPELLER CLUB : Sète, plateforme portuaire
Propeller club international de sète c/o SNCM 4 quai d'alger 34202 Sète cedex.
Tel: 04 67 46 68 00 fax : 04 67 74 93 05
http://www.propellerclub-sete.fr
A la rencontre des grandes routes maritimes de la Méditerranée entre SUEZ et GIBRALTAR et des grands axes de transport terrestre, le port de SETE est une plate-forme portuaire privilégiée de l'Europe du Sud.
Les accès nautiques et les infrastructures portuaires permettent un accès rapide pour des navires jusqu'à la taille des vraquiers panamax avec un tirant d'eau maximal à -14 m. La desserte terrestre est multimodale : réseau autoroutier (A6/A75), desserte ferroviaire et accès fluvial pour un gabarit supérieur à 1.000 T.
Les activités portuaires sont très largement diversifiées. Les vracs liquides concernent les hydrocarbures, des produits agroalimentaires (huiles, mélasses), des produits chimiques. Céréales, matières premières pour l'alimentation animale, charbon et minerais, sont les principaux vracs solides traités. Les conteneurs et les lignes régulières, les produits forestiers, sont un secteur significatif pour les marchandises diverses.
Le rôle du port de Sète au coeur de l'Europe du Sud se concrétise autour de trois activités portuaires majeures
- les produits forestiers,
- le secteur agro-alimentaire,
- les conteneurs et les lignes régulières.
Pour ces activités, la concentration ou l'éclatement des marchandises sont facilités par le réseau des voies de communication, les équipements portuaires et l'expérience des entreprises portuaires.
La communauté portuaire intègre au premier plan des ses préoccupations la qualité de service. Les entreprises s'appuient sur l'expérience des hommes et sur les investissements techniques mis à la disposition des chargeurs et des armateurs.
22:54 Publié dans Investissements en Infrastuctures, Port Sud de FRANCE, Région | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Un exemple de mauvaise élève pour la cour des comptes : La Région Languedoc-Roussillon
La Cour des Comptes point des collectivités gangrenées par un niveau pléthorique d'emplois publics et faisant preuve d' un grand laxisme quant au contrôle des heures travaillées .
Rappelons que pour maintenir un haut niveau d’indépendance et de pertinence de ses rapports, la cour des comptes n’exerce à travers ces derniers qu’un pouvoir d’information – souvent déplore-t-elle, insuffisament “publics” - et laisse au Citoyen le droit d’exiger des sanction disciplinaire
Comme le formule des lecteurs par leur commentaire et que ne dit pas la Cour des Comptes :
- L’équation : pour 1 embauche, c'est une dizaine de voix aux élections+une carte du parti
- La cata, c'est la décentralisation qui a créé un vivier de parasites qui n'ont de fonctionnaires que le nom
- Une majorité d’inutiles qui interférent avec le travail de la minorité d’utiles
Midi Libre : Dépenses publiques : la région mauvaise élève
« Le Languedoc-Roussillon s’illustre, il n’y a pas de doute là-dessus », insistait hier à Montpellier Alain Serre, l’un des magistrats de la chambre régionale des comptes.
http://www.midilibre.fr/2013/10/15/depenses-publiques-la-...
par ARNAUD BOUCOMONT aboucomont@midilibre.com - le 15/10/2013, 07 h 52
[…]
[…]
« La masse salariale n’est pas sous contrôle »
Lors de sa visioconférence, Didier Migaud
insistait sur « une demi-journée accordée par semaine à Béziers, y compris aux cadres » pour le personnel de l’Agglo. Une contre-pub médiatique nationale dont se serait bien passé le président de l’Agglo de Béziers, Raymond Couderc. Lequel s’étonne que la « politique d’optimisation de la ressource humaine, véritablement novatrice », ne soit pas relevée par les magistrats.
La demi-journée accordée pourrait passer pour « un cadeau », mais il s’agit en fait d’une adaptation de la réduction du temps de travail. A ceci près, précisent les magistrats de la chambre régionale des comptes, que le nombre annuel d’heures travaillées -1 548 h à Béziers - demeure inférieur au seuil plancher national de 1 607 heures. Quant à la demi-journée en question, « ça génère automatiquement des recrutements, puisqu’il faut bien faire fonctionner les services le vendredi après-midi », insiste la magistrate Elisabeth Girard.
Les mutualisations sont lentes à venir...
Une chose est sûre : le sud de la France est sur-administré en comparaison à d’autres régions françaises (voir l’infographie ci-dessus). Et ces « disparités non justifiées », insiste Didier Migaud, conduisent à des escalades. « Dans notre région, il y a plus de personnel qu’ailleurs, donc l’effet est multiplicateur », souligne la magistrate Elisabeth Girard, égrenant « congés du maire, ponts accordés, jours fériés récupérés s’ils tombent un dimanche ».
La chasse aux doublons
Pour Alain Serre, « la masse salariale n’est pas sous contrôle ». Et de pointer absentéisme, heures travaillées, gestion des congés.
La Cour des comptes relève que l’Agglo du Grand Narbonne eDépartement du Gard « t le n’ont pas instauré de contrôle automatisé des horaires ». La chasse aux doublons n’est pas, non plus, une priorité. Les mutualisations sont lentes à venir...
L’Agglomération de Carcassonne, depuis 2002, insiste Didier Migaud, « a multiplié par trois ses effectifs alors que dans le même temps la Ville les a augmentés de 11 % » (en fait 7,7 % si l’on tient compte du passage en régie municipale de la restauration scolaire).
« On a vu des progrès », nuance Elisabeth Girard. Le conseil général du Gard, après s’être fait taper sur les doigts par la chambre, explique s’être « mis en conformité ». « Nous sommes passés de 39 h à 40 h par semaine et les jours de congés exceptionnels ont été supprimés depuis le 13 mai dernier », répond-on au conseil général.
Pas propice aux mesures impopulaires
Le conseil général de l’Aude, quant à lui, a diminué de sept jours les congés annuels de ses agents. La mesure sera effective au 1er janvier 2014. « Le temps horaire était très en deçà des 1 607 heures, indique l’un des magistrats de la chambre, Sébastien Maire. La situation était presque caricaturale, mais difficile à remettre en cause. Ça représentait 170 personnes que le conseil général aurait pu embaucher. » Ou autant d’économies à réaliser.
Les agents travaillent un peu plus, constatera-t-on en substance. Quant à « freiner » les masses salariales, il faudra attendre encore un peu. Et en tout cas après les élections municipales, la période n’étant pas propice aux mesures impopulaires dans les rangs des effectifs territoriaux.
DANS LES TUYAUX
Rapports en cours
Selon nos informations, la chambre régionale des comptes planche sur plusieurs rapports : l’un sur la Ville de Montpellier, après avoir travaillé sur l’Agglo il y a deux ans. La Ville de Nîmes et son Agglo sont aussi dans les tuyaux. A signaler aussi, l’Agglo de Narbonne, la Ville de Carcassonne, le conseil général des P-O, les Villes de Vendargues, Port Barcarès et Lodève.
Reprise & reformulation de quelques unes des 55 réactions
DE MAL EN PIS le 15/10/2013, 11h49
La Cour des Comptes enfonce des portes ouvertes..tous les ans elle dénonce les gabegies des collectivités territoriales et de l'État..une fois l'effet d'annonce passée tout cela fait "pschitt" comme aurait dit Chirac.
Les loups ne se mangent pas entre eux et respectent la gamelle de ses congénères.
Bourquin Vezinhet Moure Mandroux Alary et consorts dignes Héritiers du grand mégalo Frêche expert es dépenses publiques ont été à bonne école mais devraient cesser de nuire aux prochaines élections sauf à penser que les Languedociens qui payent l'impôt sont masochistes !
la sibylle le 15/10/2013, 11h38
pour mieux comprendre.
http://www.dailymotion.com/video/x8fdum_les-chevaliers-du...
DAUNES le 15/10/2013, 11h34
Que nous disait ML du 12/11/2012 ? : " Malgré un contexte économique plus délicat, on continue à faire des bâtiments démesurés, avec des architectes de renom, des stars qui font payer leurs signatures, des bâtiments infaisables qui nécessitent de relancer les appels d’offre”, se navre le leader de l’opposition régionale UMP, Stéphan Rossignol.
On pourra citer pêle mêle à Montpellier la mairie (130 M€) et la cité des savoirs Pierrevives (125 M€), à Nîmes et Narbonne les musées de la romanité (respectivement 59 et 40 M€), à Perpignan le théâtre de l’Archipel (45 M€), enfin à Rodez le musée Soulages (25 M€) ".
Ces gabegies, ajoutées à la dérive des sur-effectifs (on "achète" des voix ...), font que la région est dans un triste état ..., et çà continue, on va nous expliquer, dans les prochains jours, que la CRC n'a pas tout pris en compte, que l'Etat a fait des transferts, etc etc, bref, que tout cela est, ni plus ni moins, normal quoi !!!
Les revenus des ménages sont bloqués ou gelés, mais cela n'empêchera pas nos édiles de nous ponctionner (ce sont toujours les mêmes que l'on ponctionne) à qui mieux mieux ....
Francine. le 15/10/2013, 12h16
Tout est dit DAUNES, merci.
xletemple le 15/10/2013, 11h13
Si les rapports de la cour des comptes pouvaient avoir un " effet d'obligation de suivre ses recommandations " mais pour l'instant ce n'est pas le cas. donc : UTILITE DE LA COUR DES COMPTES..........?
acmacm le 15/10/2013, 12h36
oui Francine, et alors? Passé l'effet d'annonce qu'est ce qui se passe, qu'en sera-t-il dans trois mois? Pour eux en plus ça tombe bien, en même temps que les impôts, un mauvais moment à passer c'est tout
Coluche aurait dit: trois mois a bien faire ou plutôt à rien faire et tout le reste de l'année de travers
Francine. le 15/10/2013, 11h39
La cour des comptes a le mérite d'exister pour dénoncer les abus et c'est tant mieux ; ça leur fait pas plaisir et c'est bien fait. Aujourd'hui, on ne voit pas les sempiternels discours de ceux qui défendent leur gestion "irréprochable".
Stella le 15/10/2013, 11h09
Sûr : 6 Millions d'euros dans la "com" ....c'est un peu beaucoup ,non ? Surtout quand on voit les besoins qui ne sont pas satisfaits : construction d'un établissement de 45 places pour les autistes (et "ils s'en vantent").... sauf qu'il y a 90 dossiers de demandes !
.....au service du peuple .......comme ils disent ............
Stella le 15/10/2013, 11h02
Tiens , ils sont donc 8% à "profiter du système" ? (résultats du sondage)
labonne le 15/10/2013, 10h54
A force d’embaucher les copains de mes copains,de créer des emplois pour la paix sociale,de refusé a expliquer comment se déroule les sélections de certain - ils vont droit dans le mur.
la sibylle le 15/10/2013, 10h52
ce n'est pas par hasard si la gauche gagne les élections chez nous , a chaque campagne les socialos communistes offrent des postes aux colleurs d'affiches!
jlibert le 15/10/2013, 10h52
Il s'agit en fait de "création d'emplois fictifs".
Dans la ville où j'ai été conseiller municipal pendant 12 ans, le maire a multiplié par quatre en quatre ans le nombre d'employés municipaux. La Ville fonctionnait parfaitement avec 300 employés. Avec 1200, c'était devenu le cauchemar, car plus personne ne savait qui faisait quoi. Les 900 inutiles interféraient avec le travail des 300 utiles.
C'est une configuration bien connue des entreprises pléthoriques, comme les entreprises publiques. Il y a trop de monde. Donc on crée des hiérarchies à cinq niveaux inutiles, avec des petits chefs qui ne justifient leur salaire que par des procédures bureaucratiques obligeant de passer par eux. Et...les syndicats demandent plus de personnel, car ils ne comprennent pas l'origine du problème.
A quand des procès pour emplois fictifs ?
peroz le 15/10/2013, 10h08
Si çà pouvait au moins avoir la vertu de montrer une fois pour toutes aux gens que toutes la fonction "publique" locale n'a rien à voir avec la fonction publique tout court, çà serait déjà bien.
Piston, glandouille, copinage etc... Cela n'existe pas - sauf exceptions assez rares - quand on a passé un vrai concours, national.
La cata, c'est la décentralisation qui a créé un vivier de parasites qui n'ont de fonctionnaires que le nom.
bouvine le 15/10/2013, 11h47
pour info le concours territorial technique est autrement plus relevé que le national et les places beaucoup plus chères
Francine. le 15/10/2013, 11h11
non, ils s'en fichent, c'est pas la première que la cour des comptes fait un rapport négatif pour les grands dépensiers que sont la région, l'agglo, le département et la mairie ; maintenant, nous attendons le discours faussement indigné de mr Bourquin, comme la dernière fois. Ils continueront encore longtemps à piocher dans nos poches, c'est un domaine où je suis très pessimiste, je ne leur accorde aucune confiance.
Thrym le 15/10/2013, 11h04
"un vrai concours national" ??? Passez donc le concours d'attaché territorial ou d'administrateur. Contrairement à la fonction publique d'Etat,
la réussite au concours ne signifie pas embauche.
angeoudemon le 15/10/2013, 10h05
bien sur que l'argent public est jeté par les fenetres ,la région paie des formations à certaines personnes (qui ne les font pas) et quand on leur demande de rembourser les sommes pharaoniques que la région octroie ,les débiteurs font la sourde oreille
Nestor le 15/10/2013, 10h05
Avec l' argent des autres on embauche pour satisfaire ses proches, c' est du clientélisme qui sert à se faire réélire.
Tous les partis avant et maintenant y compris le front national ont utilisé ce système.
L' absentéisme est plus important chez les agents territoriaux que dans le privé, la peur de perdre son emploi y contribue beaucoup.
asdic le 15/10/2013, 10h00
Qu'il est facile de dépenser l'argent des autres: enième "voyage d'études"en Chine à Airbus plein de copains, journalistes et autres chargés de communication, les fameuses statues de dictateurs massacreurs de leur peuple comme Lénine, Frêche en apprenti dictateur ne dépareille pas le lot, il n"y a que l'addition qui coince.
S'ils étaient dans une entreprise privée , ils pointeraient tous au chômage. Tiens , en voilà une idée, privatisosn les services généraux et nous verrons bien!
Georges roques le 15/10/2013, 09h58
Sourire jaune. Quand on voit les gaspillages et les dépenses somptuaires des élus, on se consolera en disant que les Suds ont plus besoin d'encadrement que les Nords. Et puis, il faut bien soigner ses électeurs captifs ! Encore un effort, Mme et Ms les "grands élus".
domini le 15/10/2013, 09h55
Cette carte qui classe les départements selon l'importance de la masse des fonctionnaires territoriaux, peut aussi être utilisée pour classer les départements selon l'importance des impôts locaux.
annisette54 le 15/10/2013, 09h55
C'est sûr que la région est suradministré, mais il faudrait aussi que la Cour des comptes regardent les comptes du gouvernement, des députés, ministres, conseillers, etc. qui touchent 3 salaires + la retraite pour certains, et à qui on pourrait demander le poste qu'il garde ainsi que salaire qui va avec, et tous les autres auxquels ils renoncent (avec es avantages qui vont avec).Idem pour ceux qui sont à la retraite :où tu es retraité ou tu es salarié (car leur retraite à ces braves gens n'est pas comme la notre).
Et vous verrez que des économies, il y en aurait.
etquoiencore le 15/10/2013, 09h38
A lire tout ces commentaires, on ne peut vraiment pas reprocher au ML d'être de gauche ou de droite !
l eclopee le 15/10/2013, 09h37
Quand on voit dans la presse d'ici, un monsieur Bourquin, dans une classe dire à un élève, tiens cet ordinateur "il" est à toi, même pas une phrase correcte , car il aurait du dire tiens cet ordinateur est à toi... Enfin là n'est pas le sujet, cet ordinateur est à tous ceux qui ont participé à son achat, par le biais de nos impôts, celui là avec l'argent des autres il en fait des choses. Sans parler des statues de Frèches, et la dernière achetée par encore Bourquin représentant l'acheteur des autres statues .
Francine. le 15/10/2013, 12h39
t'as raison l eclopee, ils font des cadeaux aux autres avec ton argent ; mais pour payer ton gaz, y'a plus personne.
Paul et Mickey le 15/10/2013, 09h24
A l'heure ou l'on nous demande plus de compétitivité, nos politiques me font pleurer avec leur clientélisme.
Ces collectivités territoriales sont un boulet supplémentaire attaché à la patte des entreprises.
Doublons, emplois fantaisistes, etc... continuez, continuez Messieurs les élus.
Mais aux prochaines échéances ne venez pas pleurer comme en 2002 : vous avez fait les preuves de votre incompétence....
Allobroge le 15/10/2013, 09h16
Et puis quand on dépense l'argent public pour des statues et deux millions d'euros !.....
Allobroge le 15/10/2013, 09h15
En même temps avec le clientélisme de droite comme de gauche et surtout en dépensant l'argent des autres c'est tellement facile !
MF30 le 15/10/2013, 09h12
Le clientélisme a un prix = nos impôts locaux
ARCHIBALD le 15/10/2013, 10h03
Le clientelisme ne gène que ceux qui n'en profitent PAS !!!!!
artur rainbow le 15/10/2013, 09h05
Et après on s'étonne des progrès d'un certain parti. Je ne sais pas s'il fera mieux, mais certainement pas pire. Quand on voit chaque jour des exemples de favoritisme, de gabegie, de népotisme, de laxisme, de démagogie et qu'en parallèle, les impôts flambent, c'est un résultat logique.
napoleon3 le 15/10/2013, 08h56
Ici on est comme à Marseille le clientélisme est roi. Quelle honte pour notre région mais rien ne changera et nous continuerons a payer
kiki1234 le 15/10/2013, 09h18
les amis de mes amis sont mes amis etc.... etc... etc....
La cour des comptes quant à elle, pour maintenir un niveau élevé d’indépendance n’exerce à travers ses rapports qu’un pouvoir d’information - souvent hélas, insuffisament “publics” - et laisse au Citoyen le droit d’exiger des sanction disciplinaire : on donne aux élus un mandant pour gérer correctement nos deniers et non pas de la lapider à tout va , faire des bilans et compte de résultat strictes.... si l'élu est trop dépensier : il est viré .... application du code du travail. il est rémunéré grassement donc il a une obligation de résultat ....
samsom le 15/10/2013, 08h49
Quand je vois sur fr3 a l'heure des infos régionale des pub pour.... La Région.. je me dis que notre argent ne leur coûte rien
carmen11 le 15/10/2013, 08h04
L’équation : pour 1 embauche, c'est une dizaine de voix aux élections + une carte du parti ...
patdeagde le 15/10/2013, 08h00
Des découpages qui mutiplient les doublons de partout.... et au final trop de monde …
Exemple, pour l'entretien des espaces vert, on peut voir la commune parfois, sinon aussi les employés de l'agglo et même des entreprises privées. Idem pour les déchets, les poubelles c'est untel, tel autre pour d’autres type de ramassage etc....
ecophyto le 15/10/2013, 07h59
Trop peu efficace l'intercommunalité ou une communauté d'agglomération qui vise à mutualiser et faire faire des économies en étant plus efficace et au final on augmente les effectifs dans les 2 strates.
Si 85% des Français sont prêt à payer un impôt juste POUR TOUS,à condition qu'il soit bien utilisé,88% sont contre la Taxe Foncière injuste et qui devrait être supprimée.Et
La Prime Carotte c'est 500-800 euros/an/pers. afin d'éviter l'absentéisme dans les mairies....c'est un peu comme la Prime donnée à des médecins afin de Moins prescrire de médicaments .....
16:32 Publié dans Agglo, Bilans, Décisions budgétaires, Département, Politique locale, Région | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook