Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/03/2012

Les sétois n’ont pas de leçon d’écologie à recevoir mais ce chef est tellement convaincant !

Dan BABER : Comment je suis tombé amoureux d’un poisson.

Le chef Dan Barber est confronté comme beaucoup de chefs aujourd'hui au dilemme de garder du poisson de qualité au menu.

Après un travail de recherche systématique, il raconte avec un humour pince-sans-rire, cette Quête d'un poisson impeccable

Dan Barber est un chef et un érudit – analysant sans relâche ce qui se cache derrière les aliments que nous produisons et consommons.

Pour votre confort, utilisez les sous titre en français









20/07/2009

LR-Objectif Avril 2009 : Grand Prix de la « Réflexion pertinente et impertinente sur l’innovation »

27-04-2009

Deux scientifiques montpelliérains reçoivent le Grand Prix de la « Réflexion pertinente et impertinente sur l’innovation », décerné par le Cercle des Entrepreneurs du Futur.

Photo: Denis Lacroix et Sylvain Pioch

Le Cercle des Entrepreneurs du Futur, créée en 2003, est une association qui regroupe de grandes entreprises françaises (comme Bouygues, Accor, France Telecom ou Schneider) qui cherche à trouver des idées nouvelles et innovantes.

Parmi une cinquantaine de candidatures, une a particulièrement retenu l’attention : « La Mer côtière ou le développement 4D ». Il s’agit pour le moment d’un concept : utiliser au mieux « l’épaisseur de la mer ».

Il s’agirait d’exploiter  cet espace, tout en le respectant. Par exemple, prendre en considération à la fois la biodiversité marine, le développement de l’aquaculture, les énergies renouvelables et le tourisme.

Deux exemples pour  comprendre : les Etats-Unis et le Japon.

  • Le premier s’est fixé un objectif : exploiter au mieux l’écosystème, notamment par l’intermédiaire d’épaves de bateaux : ce qui intéresse à la fois scientifique, plongeurs, pêcheurs, entrepreneurs tout en développant l’économie littorale de loisirs.
  • Quant au Japon, 12 % de sa surface côtière est aménagée : coexistence de pêche et d’aquaculture, immersion de récifs artificiels (qui permettent de sauver et d’accroître certaines variétés marines).
    Au total, plus de 20 000 sites ont été aménagés, en accord entre l’Etat, universitaires et entreprises privées.

La région Languedoc-Roussillon serait d’ailleurs très propice à ce genre de projet, « puisqu’elle dispose d’un vaste plateau continental peu profond, riche d'apports organiques et bien ventilé », explique Denis Lacroix, lauréat du prix et ingénieur agronome, en outre, les fermes éoliennes sont l’avenir de demain, autant dès lors aménager au mieux cet espace ».

Une ferme éolienne capable de produire plus de 100 mégawatts d’énergie coûterait environ entre 200 M€ à 300 M€ et il faudrait 1 M€ pour installer récifs artificiels, ainsi que capteurs, « Maison de la Mer » en accord avec les collectivités, le tout en créant une quinzaine d’emplois.

De l’idée à la réalisation, il ne manque que concertation entre les divers acteurs concernés et industriels intéressés.