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29/03/2016

Le premier chalumeau qui soude à l'eau

http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/cette-flamme-vert...

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Basée à Fabrègues (Hérault), la société Bulane a mis au point un équipement innovant et écologique permettant d’obtenir une flamme propre à partir d'eau et d'électricité.

"L'eau sera un jour employée comme combustible". Voilà ce qu'écrivait, en 1875, Jules Verne dans son roman L'île mystérieuse. Inspiré par cet auteur français, et plus particulièrement par cette citation, Nicolas Jerez s'est attelé dès 2005 à faire de cette prédiction une réalité.

Convaincu qu’une solution innovante, fiable et propre permettrait aux industriels de se passer de gaz fossiles tels que le butane, le propane ou encore l’acétylène, cet ingénieur s’est accordé quatre ans pour mettre au point sa flamme écolo, avant de créer en 2009 sa société, Bulane chargée de la commercialisation de cette technologie plus respectueuse de l'environnement.

L'électrolyse permet de créer une flamme propre

Désormais chef d'entreprise, Nicolas Jerez raconte l'odyssée de cette flamme verte dont le seul carburant est l'eau. "On utilise l'électrolyse pour décomposer l'eau en hydrogène et en oxygène. Ensuite, on travaille ces deux gaz pour les remettre ensemble et obtenir une combustion".

Le résultat de cette combustion est une flamme à hydrogène qui brûle à 2.800°C. Mieux, celle-ci possède exactement les mêmes caractéristiques qu'une flamme produite par un combustible fossile, tout en supprimant ses inconvénients. Ainsi, la "flamme Bulane" ne produit ni monoyxde de carbone, ni dioxyde de carbone. Ce qui permet, outre de participer à la préservation de la planète, de réduire les risques d'intoxications auxquels sont exposés les travailleurs. 

Les industriels, premiers utilisateurs de cette technologie

Depuis 2013, les appareils Dyomix fabriqués par Bulane sont exclusivement commercialisés auprès d'industriels. Nicolas Jerez souligne d'ailleurs que son invention a été pensée en collaboration avec certains d'entre eux pour répondre au mieux à leurs attentes. Une centaine de professionnels aux profils variés utilisent déjà cette solution, à l'image de certains fabricants de meubles ou encore d'entreprises œuvrant dans l'industrie aéronautique et automobile.

La société aimerait que de nouveaux clients s'approprient cette solution, or pour l'instant, le poids de l'appareil (environ 80 kilogrammes) et son coût -5.000 euros- découragent certains clients potentiels, même si Bulane promet un retour sur investissement relativement rapide: entre 18 à 24 mois.

Pour combler ces lacunes, Bulane a levé, à l'été 2015, 2,7 millions d'euros afin de travailler à la miniaturisation de l'appareil. Une version plus compacte du Dyomix, pesant moins de 30 kg, devrait d'ailleurs être proposée à la vente dès l'année prochaine. Ainsi, les artisans (chauffagistes, frigoristes, ...) pourraient l'utiliser plus facilement sur leurs chantiers.

>> Retrouvez sur BFM Business chaque week-end "Business Durable", le magazine des entreprises qui prennent soin de la planète.

Par Antonin Moriscot avec Sidonie Watrigant

19/06/2011

La France doit devenir le pivot de l'économie numérique mondiale, sinon .. N°3

http://billaut.typepad.com/jm/2011/06/la-france-doit-deve...

Article Jean-Michel BILLAUT :

Cet article fait référence à 2 autres déjà publiés sur ce blog. Vous pouvez si ce n'est déjà fait, les lire ici : La France pourrait devenir le pivot de l'économie numérique mondiale, et La France peut devenir le pivot de l'économie numérique mondiale

Que va-t-on bien pouvoir faire avec ce "sarkofibre" à 1G, avec ces autoroutes en fibre optique ? 

Beaucoup de choses... Et si nous sommes le premier pays à le faire en grand, nous pourrons vendre nos applications ailleurs dans le monde, quand les autres adopteront une stratégie fibre... Mais si nous arrivons après les autres, nous ferons comme nous l'avons fait dans la période précédente : on achètera les applications à d'autres... On e-vivotera...

Il me semble qu'avec une stratégie politique volontariste, nous pourrions bénéficier d'un avantage concurrentiel très important..

Nos économies industrielles basées sur des technologies traditionnelles analogiques/papier/..., sont en bout de course semble-t-il. Leur rythme de développement s'amenuise...  D'aucuns essayent de rallumer les moteurs, mais rien à faire, en tout cas jusqu'à présent ... De plus, nos amis banquiers, toujours à l'affût de quelques sous à grappiller, ont failli mettre à genou ce monde occidental industriel (1929 en comparaison aurait été une franche rigolade)... Des élites bien intentionnées, grandes spécialistes du capital circulant et autres axiomes économiques 1.0, veulent booster notre système industriel traditionnel, alors que nos aimables chefs d'entreprises ont beaucoup délocalisés en Chine ou ailleurs. Vu que le coût du travail des Homo Sapiens locaux dans ces lointaines contrées, y est nettement moins cher.. Pourquoi donc essayer de recréer des usines avec des cheminées qui fument sur notre territoire ? Pourquoi ne pas rechercher un autre type de développement...?

Y aurait-il une autre façon de faire ?

Je pense que oui... Internet est maintenant rentré dans nos mœurs... Certes, 25% des Français n'y ont pas encore accès. Certes les Français, même s'ils ont un accès, ne sont pas encore complètement "internet minded"... Mais dans une petite dizaine d'années, tout le monde y sera... Il est vrai que notre l'élite actuelle de type 1.0, est encore en fracture numérique, vu qu'elle ne sait pas utiliser les outils du  2.0, et surtout ne sait pas trop ce qu'elle pourrait en faire... Mais au fur et à mesure qu'elle va sortir des circuits avec l'âge et qu'elle partira chez Dieu le Père pour essayer de prendre le pouvoir au Paradis, elle sera remplacée par des digital natives, qui eux .. Pas la peine de vous faire un dessin...

Le sarkofibre 1G permettrait :

1/ de mieux organiser la France..

2/ de créer une nouvelle économie de services, et l'étendre au niveau mondial (nous avons des google en herbe chez nous)..

3/ d'arrêter la mégapolisation de notre territoire : l'avenir est dans les campagnes pas dans les mégapoles.

Les 2 derniers points seront traités dans un prochain post.

1/ La France est mal organisée, ou plutôt elle pourrait mieux s'organiser...

Cela tombe bien, le Président de la République veut réformer le pays. Mais il y a réformer et réformer...

Dans le domaine de la Santé

par exemple, les études prospectives montrent qu'il y aura de moins en moins de médecins, notamment en ruralité... Le sarkrofibre peut-il aider ? Oui, car il permettra de mettre sur pied des centres de e-soins visiophoniques en HD. Une bonne qualité de visiophonie nécessite du débit, et dans le domaine médical il en faut..  De plus, l'arrivée de la "wireless medecine" qui enregistre les données des flux de santé va pouvoir se greffer facilement là-dessus... N'oublions pas non plus que notre population vieillit : le 3ème âge et le 4ème âge augmentent.. Il faudra bien trouver des solutions pour les gérer au mieux. Car en 2050, il n'y aura pas assez de Français en pleine maturité pour s'en occuper... Par ailleurs un réseau de télécommunications à très haut débit permettrait de mieux faire mieux circuler l'information entre les différents silos des professionnels médicaux. Il faudrait que ceux-ci abandonnent progressivement les anciens outils de communication pour basculer sur des plateformes IP avec des outils dits du 2.0 (mode Saas, cloud, etc..).. Certes ils n'y sont pas, mais cela va venir... Un sarkofibre préparerait le terrain.

Dans le domaine de la Justice...

Là aussi l'organisation serait à revoir. Ce qui éviterait que des jeunes filles se fassent couper en morceau à Nantes ou ailleurs... Quand on voit les reportages à la télévision 1.0 qui rendent compte de procès, avec un tas de gens habillés de noir portant sous le bras des tonnes de papiers, on reste perplexe... Comment se fait-il que tout cela n'est pas "numérique" ? Pourquoi les nombreuse chapelles de professionnels de Justice (avocats, juges, huissiers, avoués, notaires, greffiers, sans compter la Police, etc...) n'utilisent pas des plateformes collaboratives de partage d'informations ? La aussi un sarkofibre aiderait.

Dans le domaine de l'Education.

Beaucoup est à faire. On sent que le 3D interactif (les mondes virtuels pour faire court) vont y jouer un grand rôle... On apprend en effet beaucoup mieux lorsque l'on est actif pour s'initier à un savoir, que lorsque l'on écoute quelqu'un avec une craie au tableau. Mettre tous les programmes de nos chères têtes blondes en "immersif". Condition nécessaire pour disposer d'un 3D fluide et de bon aloi, qui donne envie de l'utiliser : un réseau de télécommunications à très haut débit. S'il n'y a pas ce réseau, pourquoi voulez-vous que nos startups, nos professeurs, nos éditeurs se mettent à fabriquer ces programmes d'un nouveau genre ? S'il n'y a pas de routes et d'autoroutes, pourquoi voulez-vous fabriquer des voitures ?

Dans le domaine de notre Administration.

Dans ce domaine, il y a beaucoup à dire malheureusement... Entre nos Administrations Centrales et leurs services déconcentrés, nos diverses collectivités (régionales, départementales, locales).. C'est un joyeux méli-mélo. Chacun fonctionne dans son silo, sans trop se préoccuper de ce que font les autres silos, ni d'ailleurs de la qualité du service rendu au citoyen (j'ai vécu cela dans le cadre de la loi Handicap 2005 : trés impressionnant. Kafka est un gai luron à côté). De plus, on observe aujourd'hui un reflux des services publics en ruralité. Ce qui allège les charges de l'Etat, mais qui n'apporte malheureusement rien en remplacement pour 50% des Français... Une plateforme de services publics disponibles sur un réseau à Très haut débit serait idoine. La aussi un sarkofibre aurait toute son utilité.

Dans le domaine politique.

Là aussi il y aurait beaucoup à dire, pour faire en sorte que la France devienne une vraie démocratie. Quand on voit que l'Islande prépare une réforme de sa Constitution en faisant participer les citoyens sur une plateforme 2.0 ad hoc.... On reste perplexe... En France notre élite politique adopte l'adage : "you vote, we rule"...

Travaux herculéens que tout cela allez-vous dire... Certes... Mais on peut y arriver... Et si l'on comptabilise tout ce qui est à faire, il me paraît évident que plus on a un réseau de télécommunication à trés haut débit, mieux c'est. C'est une condition nécessaire, mais naturellement pas suffisante. Car il va falloir e-acculturer tous les professionnels qui travaillent dans ces domaines à l'utilisation de plateformes 2.0, combattre les lobbies 1.0, etc...

L'ensemble de ces professionnels (environ 6 à 7 millions de personnes ??) réclament à corps et à cris davantage de personnels pour mieux accomplir leurs différentes missions. Effectivement à utiliser les technologies traditionnelles, il faut plus de personnels... Ils agissent comme si les technologies n'avaient pas changé, et ne veulent en aucun cas changer leurs habitudes ... Ils font même grève pour cela... Personnellement, je ne suis pas sûr que si l'on doublait les personnels de l'Education Nationale, nos chères têtes blondes sauraient mieux écrire, mieux parler et mieux compter qu'aujourd'hui.

Ces 6 ou 7 millions de personnes, comme les autres Français d'ailleurs utilisent l'Internet... En tout cas chez eux, dans leur foyer... Comment se fait-il alors, quand ils sont au travail, comment se fait-il donc qu'ils continuent d'utiliser leurs anciennes technologies au bureau ? Pourquoi ce paradoxe ?

Si la France se gérait en mode 2.0, je pense que l'on ferait de grandes économies de frais généraux (de l'ordre de 25% ?), que l'on pourrait rendre un meilleurs service au citoyen... Et même que l'on pourrait dans la foulée, lui proposer des services qui n'existent pas aujourd'hui... pour le même prix...

Depuis que je suis rentré de mon centre de rééducation en janvier 2010 (je rappelle que je suis amputé d'une jambe, suite à un dysfonctionnement majeur dans les silos de la santé française), j'ai e-interviewé 400 jeunes (et moins jeunes) créateurs d'entreprises 2.0. Je suis bluffé... Je ne pensais pas que c'était possible dans ce pays, coincé qu'il est de toute part. Et bien oui. C'est possible... De plus ces entreprises pour certaines, sont mondiales presque dés leur création...

Donc je demande à Sakozy de mettre au pas nos gentils opérateurs, et d'engager une stratégie 1G pour tous. Comme nous sommes devenus une démocratie napoléonienne, il n'y a que le chef qui puisse régler ce problème...

C'est une condition nécessaire pour l'avenir de notre pays.. That's all, Folks.  Le reste, les "digital natives" vont le faire...

PS Les 2 autres points  : créer une économie de services, et dé-mégapoliser le pays (je sais ce dernier thème n'est pas politiquement correct... mais il y a des gens qui voudraient entasser tout le monde dans les mégapoles - mondialisation oblige), seront traités plus tard...

20/03/2011

Retombées industrielles régionales des recherches INRA

MIDI LIBRE Édition du samedi 19 mars 2011

Les emballages du futur imaginés dans la région

SYLVIE CAMBON

Ecologie Les emballages du futur imaginés dans la région


Le projet EcoBioCAP, piloté par l’Inra de Montpellier, implique des partenaires issus de huit pays européens. A l’occasion du Grenelle de l’environnement, la France s’était engagée à atteindre 75 % de taux de recyclage des emballages ménagers d’ici 2012.
A noter que les taux de recyclage varient selon les matériaux. Ainsi, en 2008, si l’acier a été recyclé à 100 %, le papier-carton l’a été à 54 % et les plastiques à 20,5 % (source Ademe).

De nombreux emballages biodégradables ont jusqu’ici été « développés pour imiter les plastiques pétrochimiques, sans évaluation réelle du gain environnemental », souligne Nathalie Gontard, professeur à l’Université Montpellier 2 et coordinatrice d’EcoBioCAP.

Diverses controverses, notamment sur le détournement de ressources à usage alimentaire « a rapidement freiné la croissance de ces emballages », poursuit-elle. EcoBioCAP a pour objectif, explique Nathalie Gontard, « de fournir aux industries alimentaires de l’Union européenne des emballages biodégradables et modulables selon les exigences des denrées alimentaires périssables ». Avec des bénéfices directs pour l’environnement et pour les consommateurs en termes de qualité et de sécurité.

Cette semaine, les seize partenaires de huit pays européens (Allemagne, Espagne, France, France, Hongrie, Irlande, Italie, Portugal et Suède) étaient invités à la journée de lancement du projet sur le campus Inra de la Gaillarde, à Montpellier.

Doté d’un budget de 4,2 millions d’euros (dont 3 millions de l’UE, pour 4 ans) EcoBioCAP va démarrer dès cette année la production de matériaux en laboratoire, avec pour objectif de rendre possible une production industrielle en 2015 de matériaux biodégradables composites, tous obtenus à partir de sous-produits des industries agro-alimentaires (oléicole, laitière, céréalière et bière).

Si les organismes de recherche et les universités sont en pointe dans la démarche, plusieurs sociétés privées sont également impliquées dans le projet, dont certaines de la région.

PHILIPPE MOURET

02/03/2011

I2A se diversifie dans la microbiologie industrielle

Objectif-LR 28-02-2011

I2A se diversifie dans la microbiologie industrielle

- Hérault

La société va investir 5,3 M€ pour élargir ses gammes d’automates et construire une nouvelle unité de fabrication. À la clef : 17 créations de postes en 3 ans.

Spécialisée dans le diagnostic et l’informatique médicale en microbiologie, I2A (Intelligence Artificielle Applications) poursuit un plan de croissance pour lequel elle va investir 5,3 M€, avec le soutien de la Région (300 000 €) au travers d’avances remboursables.

La PME veut désormais toucher des marchés plus ciblés, en développant une nouvelle gamme d’automates d’analyse.

« Nous restons sur notre cœur de métier, mais ces nouveaux produits permettront de mieux servir nos marchés habituels en leur proposant une automatisation qui, jusqu’ici, n’existait pas, souligne le DG Christian Curel. Nous nous tournons aussi vers un nouveau segment de marché, la microbiologie industrielle, pour lequel nous recherchons des partenaires. »

En outre, I2A projette de construire, d’ici fin 2011, une nouvelle unité de fabrication de réactifs, qu’elle commercialise à destination des laboratoires, des vétérinaires, et de la recherche.

« Cette nouvelle chaîne nous permettra d’optimiser nos coûts et d’assurer la pérennité de cette production, poursuit Christian Curel. Les réactifs représentent aujourd’hui 30 % de notre CA, et cette part va augmenter. »

Créée en 1998 à Montpellier, aujourd’hui basée à Lattes (34), I2A devrait prochainement changer de locaux et, à l’occasion de ces investissements, tripler sa surface, à 1 500 m2.

Passée de 30 salariés en 2009 à 38 en 2011, I2A projette 17 recrutements sous 3 ans.

Clôturant son exercice fin mars 2011 à 4,5 M€ de CA (+ 20%), elle prévoit de maintenir ce taux de croissance lors du prochain exercice.

Anthony Rey

Légende : I2A conçoit et fabrique des automates d’analyse destinés à la microbiologie
Crédit photo : I2A

15/03/2010

Objectif LR - E-learning : partenariat logique entre Solunea et Saba

15-03-2010

- Gard

La start-up nîmoise Solunea, spécialisée dans le e-learning, s’associe à l’Américaine Saba qui édite des solutions pour la gestion des ressources humaines.

http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualites/E-learning-partenariat-logique-entre-Solunea-et-Saba_655.html

Depuis sa création en 2006, à Nîmes, par Yann Lescurat, Solunea exerce deux activités, dont celle de prestataire de service pour proposer des contenus de formation à façon. Ainsi, la société nîmoise a développé, à la demande d'un groupe de grandes banques, une formation de lutte anti-blanchiment à destination de leurs collaborateurs.

Mais Solunea est également un éditeur de logiciels destinés à fabriquer des contenus de formation. Yann Lescurant explique l’intérêt d’un tel partenariat :
« En nous associant à Saba, qui compte un millier de collaborateurs, alors que nous ne sommes que 10 à Nîmes, nous allons pouvoir offrir un service plus large à nos clients puisque nous allons distribuer les produits de cet éditeur américain sur le territoire national. Ce qui nous permet d'appréhender l'ensemble de la chaîne de valeur du e-learning ».

Solunea table sur un doublement de son chiffre d'affaires d'ici à 2011, soit plus de 1,5 M€.

Objectif LR - Créalia propulse cinq nouvelles sociétés

5-03-2010
Région

Le fonds d’amorçage des PME innovantes accorde son financement à cinq projets prometteurs, dans le domaine de l’informatique, de la santé et de l’écologie.

http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualites/Crealia-propulse-cinq-nouvelles-societes-_653.html

Sur décision de son comité d’agrément, Créalia a jeté son dévolu sur

  • Flowxy (solution technique pour la compression de données),
  • Klakos (outils nouveaux pour le développement des jeux vidéo),
  • Neiio (solution de qualification d’audience),
  • Amylgen (techniques pour la sélection rapide de candidats médicaments),
  • et Gosis (service de data center vert).

Cette nouvelle salve intervient dans le prolongement d’une année 2009 où Créalia a accompagné vingt entreprises pour un total de 651 000 €.