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28/03/2010

Midi Libre SETE - Initiatives: Sète tisse un lien d'affaires avec Hong Kong

Édition du jeudi 18 mars 2010

Une journée spéciale le 25 mars à la CCI pour « saisir les opportunités » vers le marché asiatique

Sète tisse un lien d'affaires avec Hong Kong

V. A.

C'est une initiative conjointe de Laurence Magne, adjointe au maire chargée des questions économiques, de la chambre de commerce et d'industrie, et des élèves du BTS commerce international du lycée Jules-Guesde de Montpellier.

Le 25 mars, Marc Allard, directeur de la branche française de HKTDC (Hong Kong trade développement council) se pose pour quelques heures à Sète.

Son but : tisser un lien entre les PME de la région et le marché asiatique.

Le HKTDC est un "accélérateur d'affaires". En clair, l'organisme met en relations les entreprises désireuses de développer leurs affaires avec Honk Kong et la Chine à l'import et à l'export.

Un millier d'entreprises des départements de l'Hérault et de l'Aude ont été contactées. Soixante-et-une d'entre elles ont d'ores et déjà confirmé leur participation à cette journée. Elles bénéficieront d'informations sur l'environnement juridique, légal et fiscal du marché chinois et pourront profiter de l'expérience de deux chefs d'entreprises du bassin de Thau.

Le Sétois Philippe Nivard (Nivard international, négoce) et l'Agathois Jean-Louis Cousin (actuellement directeur de la capitainerie du Cap d'Agde et ex-directeur de centrales d'achats) témoigneront de leur parcours et se plieront au jeu des questions réponses.

Dans la foulée de cette journée, et dans le même esprit, le HKTDC se mettra à la disposition des vignerons héraultais le 28 avril prochain à Béziers.

Midi Libre SETE - Business « Avec Hong Kong, de belles opportunités »

Édition du dimanche 28 mars 2010

« Avec Hong Kong, de belles opportunités »

DR

Marc Allard est directeur du Hong Kong trade development council. Il a rencontré jeudi à Sète les chefs d'entreprises de la région

Quel était le but de cette journée ?
Le HKTDC est une organisation de promotion du commerce extérieur. Nous voulions présenter ce jeudi à Sète ce que Hong Kong et plus globalement le marché chinois peuvent apporter aux entreprises de la Région. C'était une journée de conseils et d'aide à l'export comme à l'import.

Quel bilan en tirez-vous ?
Environ 80 personnes étaient présentes. C'est un beau succès qui démontre un véritable intérêt pour ces débouchés asiatiques. Mais on a pu également constater le manque d'informations dont disposent les entreprises locales. Les questions ont été nombreuses, suivies souvent par des entretiens individuels que nous avons organisés dans l'après-midi.

Quels sont selon vous les atouts économiques de la Région et du bassin de Thau ?
Au cours de la journée, nous nous sommes rendus compte que les demandes étaient essentiellement orientées à l'export sur des produits traditionnels. Le vin notamment. Mais des secteurs plus pointus avec des entreprises travaillant dans les nouvelles technologies ou le développement durable se sont mis en évidence.

Pour les viticulteurs locaux, que peut représenter le marché chinois ?
Il y a de belles opportunités. Hong Kong vient de porter les droits de douanes sur le vin à zéro. Cela accompagne un boom de la consommation constaté ces dernières années : une augmentation de 80 % en 2008, de 41 % en 2009. Hong Kong est plus concerné par les vins haut de gamme et le marché chinois par des vins moins élaborés. Il faut aussi savoir que les vins importés à Hong Kong sont dans une large proportion réexpédiés partout dans le monde par les wine trader.

A ce sujet, nous montons une opération avec des négociateurs de Hong Kong à Béziers le 28 avril pour leur faire découvrir les vins du Languedoc-Roussillon.

Recueilli par F.D.

24/06/2009

La Gazette de Sète n°171 . Du 11 au 17juin 2009

Port : un projet de base arrière logistique à Poussan

Afin de développer le port de Sète (photo), la Région veut créer une base arrière à Poussan

Une zone logistique de trente hectares à Poussan, de part et d’autre du péage autoroutier, qui ferait office de base arrière du port de Sète? C’est ce que préconise le rapport du bureau d’études Jonction (Aix en Provence)*, commandé par l’Union maritime portuaire sétoise. Pour le moment, le port ne possède pas cette base logistique, un outil pourtant indispensable à son développement. Georges Frêche, président (divers gauche) de la Région Languedoc-Roussillon, propriétaire du port, convoite les maires afin de trouver des terrains disponibles à proximité du port de Sète, afin d’y aménager une ‘base arrière’. ‘Sans les élus de Thau agglomération, on ne peut rien faire, on est englués, déclare-t-il. Les négociations d’acquisition des terrains ont commencé avec Jacques Adgé, maire de Poussan. ‘Les services de la Région évoquent la création de 1500 emplois en dix ans’, indique ce dernier.

‘L’émergence d’un pôle économique fort à l’ouest du territoire autour de l’échangeur de l’autoroute A9 de Poussan apparaît comme indispensable’, enchaîne Montpellier agglomération, dans sa délibération relative au projet de rapprochement avec la communauté de communes Nord du bassin de Thau (CCNBT), votée le 26 mai à Montpellier.

La partie n’est pas pour autant gagnée. En effet, ‘autour du bas an de Thau les maires sont plus des lotisseurs que des aménagements, glisse Pierre de Boutray, nouveau président de l’Union maritime portuaire sétoise. Ils privilégient le tourisme et l’urbanisme à la logistique. La Région doit faire vite si elle veut trouver des terrains suffisamment grands: ‘Il faut vite trouver un terrain, poursuit Pierre de Boutray car le foncier est en train de se miter.’

HUBERT VIALATTE
* Identification et pérennité de zones logistiques autour de Sète.

Une aire de carénage à Frontignan

Le port de Sète se développe à Poussan, et à Frontignan: 600.000 euros sont inscrits au budget primitif 2009 de la Région pour la réalisation d’études préliminaires au projet de construction d’une nouvelle aire de carénage des gros navires de pêche à Frontignan.

Cet outil dédié à tous les navires de pêche du Languedoc-Roussillon garantirait le respect de l’environnement. Le coût total de l’investissement est estimé à 1 millions d’euros.

L C.

13:06 Publié dans Étude | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabinet jonction, umps | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Translog Sud de France - Zones dédiées à la logistique et infrastructures

Identification et pérennité des zones logistiques

http://translog-suddefrance.eu/identification.et.perennit...

Projets

http://translog-suddefrance.eu/espace.projets-135.php

Translog Sud de France - TGV Montpellier-Perpignan

TGV Montpellier-Perpignan : la dimension européenne du projet mise en lumière

La dimension européenne du projet mise en lumière

Un projet d'infrastructure nouvelle d'une dimension résolument européenne : c'est, selon l'hebdo économique régional La Lettre M, l'enseignement principal de la première réunion publique du débat portant sur le projet de ligne ferroviaire nouvelle entre Montpellier et Perpignan, jeudi 12 mars 2009 au Corum de Montpellier.
« Ce projet de ligne nouvelle fait partie des grands projets prioritaires ferroviaires européens, a déclaré Alain Baron, directeur général Energie et Transports à la Commission Européenne. Il est considéré comme un maillon clé pour deux raisons. D'une part, il connecterait la péninsule ibérique au reste de l'Union européenne à travers la France à travers une mobilité durable pour les voyageurs et le fret. D'autre part, c'est un élément qui permet d'abattre les barrières techniques qui existent entre le réseau espagnol, à écartement large, et le réseau européen à écartement différent, ce qui est excessivement pénalisant pour les voyageurs et le fret. Bruxelles veut contribuer à la pleine intégration du réseau espagnol au réseau ferroviaire européen. Le potentiel de trafic peut être très important, compte tenu du niveau actuel du fret ferroviaire entre les deux pays, très bas, alors qu'il y a une forte croissance des échanges de marchandises, même en ces temps de crise. »

Forte attente côté espagnol
« Nous avons voulu être ici pour un débat aussi important, a déclaré Ricardo Anguera Camos, adjoint au secrétaire d'Etat de planification et relations institutionnelles (Ministerio de Fomento). Ce projet est pour nous d'une importance stratégique. Montpellier-Perpignan permettra de connecter les réseaux à grande vitesse français et espagnol. La liaison Barcelone-Figueras entrera en service en 2012. Nous donnons la priorité aux transports de marchandises à partir des ports par voie ferroviaire. »
« Pour nous, Montpellier-Perpignan est une ligne européenne, a renchéri Manel Nadal, directeur de la mobilité à la Généralité de Catalogne, qui a déjà transmis un cahier d'acteur à la commission particulière du débat public. Nous croyons qu'il faut une ligne nouvelle mixte : 4 % seulement du fret entre l'Espagne et la France passe par le train. Montpellier-Perpignan doit être en continuité technique avec le contournement de Nîmes et Montpellier et Perpignan-Barcelone, et ces deux tronçons sont mixtes. La décision sera française, mais on nous demande notre opinion, alors je la donne »
Manel Nadal prône également la « création d'un réseau de métropoles entre Marseille, Montpellier, Béziers, Narbonne, Perpignan, Gerone, Barcelone. Il faut construire un maximum de gares nouvelles. Enfin, la ligne nouvelle devra être connectée avec Toulouse-Narbonne, pour rendre possible des trajets depuis Barcelone ou Montpellier vers Toulouse et Bordeaux. »

Parution : 03/04/09

Translog Sud de France Avril 2009 - Le port de Barcelone gèle son projet de Béziers

Le port de Barcelone gèle son projet de BéziersPour cause de crise, le port de Barcelone gèle son projet de base logistique (« port sec ») de Béziers, révèle La Lettre M du 17 mars 2009. « Les projets actuels du port de Barcelone en France sont les terminaux maritimes intérieurs situés à Toulouse et Perpignan, déclare à l'hebdo la direction de la communication du port de Barcelone. Ce sont, à l'heure actuelle, les deux seuls projets du port de Barcelone en France. Du fait de la crise, nous n'envisageons pas pour l'instant de nouveaux projets en France. » Le 30 janvier 2009, le président du port de Barcelone, Jordi Valls (venu signer à Montpellier un partenariat avec le port de Sète, présidé par Georges Frêche), avait déjà exprimé un premier bémol : « Pour Béziers, il ne s'agit pour l'instant que d'études, comme nous en faisons ailleurs. Et les études, ce n'est pas un compromis. »

Parution : 03/04/0