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29/11/2012

Renouvèlement du Tourisme en Méditerranée

Econostrum : Le tourisme méditerranéen prend ses marques

Le dernier cru de Meditour à Marseille montre que pour conserver sa place de numéro un mondial, le tourisme méditerranéen doit aujourd'hui se renouveler sur le plan de l'accueil et du marketing.

Une ou des marques méditerranéennes pourraient offrir une identité régionale et faciliter la promotion des destinations du bassin.

A lire sur cette page : http://www.econostrum.info/Le-tourisme-mediterraneen-pren...

Frédéric Dubessy, Mercredi 28 Novembre 2012

Tags Econostrum : accueil touristique, Almeria, Ascame, CCI Nice Côte d'Azur, chambres de commerce et d'industrie méditerranéennes, cinéma, Corinne Lespinasse-Taraba,CRM, distribution multi-canal, Egypte, Espagne, Facebook, Femip, france, Gema Garrido Romero, gestion des plaintes clients, Grèce, Habib Ammar, internet, Italie,Jordanie, Liban, Lucien Salemi, Malaga, Maroc, Marseille, Martinez-Reyez, Meditour,Meditour Marseille, Mersin, Méditerranée, office national de tourisme tunisien,réseaux sociaux, ShMILE2, SNAV, syndicat national des agents de voyage, séries télé, Ten Turismo, tourisme, tourisme durable, Tripoli, Tunisie, Turquie, télé

Philippe de Fontaine Vive : "Le tourisme doit mieux intégrer l'environnement écologique et humain
par www-touteleurope-eu

Références liées à ce sujet 

Liens et Thèmes

Documents d’accompagnement de la 11e conférence FEMIP (Facility for Euro-Mediterranean Investment and Partnership http://www.eib.org/projects/regions/med/index.htm)

Forum 2012 des aires marines protégées en Méditerranée (Turquie)

Mieux intégrer l'environnement écologique et humain (Clip de Philippe de Fontaine Vive, Vice-Président del ‘EIB European Investment Bank ),

Journée m-Tourisme "Open data, TIC et Tourisme en Euro-méditerranée"

La résilience, moteur du tourisme au sud de la Méditerranée (Maroc, Algérie, Tunisie, Égypte, Turquie..)

Tourisme solidaire et artisanat local (Maroc)

Tourisme et PME  clefs d’un développement durable en Méditerranée (European Investment Bank (EIB) & Association des chambres de commerce et d'industrie de la Méditerranée (ASCAME))

Veille Info Tourisme – dont Languedoc-Roussillon


Ecolabel shmile2

Consulter la vidéo sur cette page http://www.youtube.com/watch?v=CMPFe1DzNHI

Les avantages de l'Ecolabel Européen pour les services d'hébergements touristiques en Vidéo.
Cette vidéo présente en 1.30min les avantages de l'Ecolabel Européen pour les Hébergeurs touristiques. L'Ecolabel Européen crée en 1992, est une certification environnementale reconnue pour son sérieux et la rigueur de ses critères. Il est aujourd'hui un référentiel incontournable présent dans tous les pays membres de l'Union Européenne. Aujourd'hui 7 hôtels sont éco-labélisés dans les Alpes-Maritimes dont les 3 hôtels suivants qui ont participés à la réalisation de cette vidéo : Splendide & Spa, Eza Vista et le MMV Resort Cannes Mandelieu.

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27/11/2012

Réunions de concertation pour le lancement d'un Parlement de la Mer Languedoc-Roussillon

En Languedoc-Roussillon, la pêche représente 2 500 emplois directs en mer et 2 000 emplois induits (photo mairie du Grau-du-Roi) 
(photo mairie du Grau-du-Roi)
Le parlement de la mer est défini par le président de Région Christian BOURQUIN comme
"une véritable instance de dialogue, de mise en relation et d’échanges au service du développement maritime »

Appel d'offre pour l'accompagnement à la création d'un Parlement de la Mer

Caractéristiques du littoral Languedocien

 

 

Parlement de la mer & Initiative de Concertation - Objectifs : L’accent du Sud N°20 Novembre – Décembre 2012


Tout d'abord il faut réunir la communauté maritime pour travailler en réseau. "Il nous faut mutualiser nos expériences et nos projets pour avancer plus vite Lorsque nous seront capables de dire ce que nous pesons, nous pourrons enfin affirmer le fait maritime, à la fois de nos concitoyens et auprès des régions qui nous entourent", estiment le Président de Région.

Ensuite, il faut faire émerger une vision collective de la Méditerranée, car la mer en Languedoc-Roussillon a ses propres spécificités qui la distinguent de la mer en PACA ou en Corse. "C'est une fois identifiées que les richesses de notre mer pourront être justement valorisées." affirme Christian BOURQUIN.

Enfin, il faut permettre aux professionnels, élus, usagers, experts ou simples passionnés d'inscrire un sujet, un enjeu ou un projet à l'ordre du jour du Parlement. "C'est le moyen le plus sûr pour que le Parlement réponde aux attentes des résidents de la mer" soutient Christian BOURQUIN

Dans ce sens, avec l'initiative d'une large concertation qui a commencé le 15 octobre et qui se déroulera jusqu'à fin 2012 "il s'agit de déterminer de façon collégiale fonctionnement et les missions du futur Parlement de la mer et d'amorcer une démarche participative qui en fera une véritable instance de dialogue, de mise en relation et d'échanges au service du développement maritime du Languedoc-Roussillon".

Autres points (Le Marin du 9/11/2012) :

Fédérer les acteurs du secteur (donne aussi des réactions d’acteurs sétois)
Il s’agit d’un outil pour décloisonner

LA RÉGION LANGUEDOC-ROUSSILLON VEUT UN PARLEMENT DE LA MER MÉDITERRANÉE


mar, 09/10/2012 - 14:46 Nicolas Ethève

La Région entend associer tous les membres de la communauté maritime de la Méditerranée à la construction de ce nouvel échelon décisionnel. (© N.E)

« Pour vous, c’est quoi la Méditerranée ? » C'est la question que s'apprête à poser la Région Languedoc-Roussillon à tous ses concitoyens au travers d'un questionnaire qui sera accessible en ligne à partir du 15 octobre.

Disponible sous quelques jours sur le site internet de la collectivité, cet élément de démocratie participative sur le web 2.0 sera l'un des axes de l'importante concertation qui va être conduite jusqu'au 28 novembre au travers de l'organisation de 5 réunions publiques(1) dans la perspective de la constitution d'un Parlement de la mer à laquelle tous les membres de la communautée maritime de la Méditerranée sont invités à participer.

Après avoir été élue à l'unanimité vice-présidente de la Commission interméditerranéenne, la Région présidée par Christian Bourquin (PS) est toujours plus « convaincue que la Méditerranée représente un atout majeur pour le Languedoc-Roussillon ». Elle s'engage « à mettre en place un Parlement de la mer qui fédère tous les acteurs concernés et leur permette de travailler ensemble, au service d’une même ambition », explique le communiqué de presse de la collectivité.

« Affirmer le fait maritime »

Pour ce faire, « la Région entend associer professionnels, élus, usagers, experts ou simples passionnés à la construction de ce Parlement de la mer », note également la collectivité qui énumère les ambitions de la constitution de ce Parlement de la mer :

  • « affirmer le fait maritime et le poids de l’économie maritime en Languedoc-Roussillon » ;
  • « identifier les enjeux auxquels sont confrontés les résidents de la mer et repérer les initiatives et les forces vives qui peuvent être mobilisées pour lancer la dynamique du fait maritime en Languedoc-Roussillon » ;
  • « déterminer de façon collégiale le fonctionnement et les missions du futur Parlement » ; et « amorcer une démarche participative qui fera de la structure une véritable instance de dialogue, de mise en relation et d’échanges, au service du développement maritime du Languedoc-Roussillon ».

N.E

(1) La liste des cinq réunions de concertation publique auxquelles sont invités à participer tous les Méditerranéens du Languedoc-Roussillon  :

  1. Lundi 15 octobre : à 19h, à l’observatoire Arago de Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales).
  2. Mercredi 17 octobre : à 18h30, au Yacht club du Grau-du-Roi (Gard).
  3. Lundi 22 octobre : à 19h, au Palais des congrès de Gruissan (Aude),
  4. Jeudi 22 novembre : à 19h, à la salle Georges-Brassens, à Sète (Hérault),
  5. Mercredi 28 novembre : à 17h30, à l’espace Jean-Jaurès à Mende (Lozère).

A lire : Christian Bourquin salue la création du parc naturel marin de Méditerranée

Alain Ferrand Banuyls/Mer. En route vers le Parlement de la Mer


Hier soir, le président du Parc naturel marin du golfe du Lion, Christian Bourquin, sénateur des P-O et président de la Région Languedoc-Roussillon, nous a réunis, à l’amphithéâtre du Laboratoire Arago, à Banyuls, pour faire le point sur ledit Parc naturel marin et, surtout, pour planter les jalons de nos futures ambitions à partir de cette structure.

Sept des dix maires du littoral des Pyrénées-Orientales étaient présents – le député Pierre Aylagas (Argelès), Louis Carles (Torreilles), Michel Moly (Collioure), Jean-Claude Portella (Cerbère), Jean Rède (Banyuls), Jean-Pierre Roméro (Port Vendres) et moi –même – aux côtés de nombreux autres élus, dont Mme Hermeline Malherbe, présidente du conseil général.

Christian Bourquin s’exprimant depuis la tribune.

Je dois dire que la délégation du Barcarès était particulièrement fournie,  plusieurs projets  en cours de réalisation étant tournés délibérément face à la mer Méditerranée, il est très important que la population barcarésienne se retrouve dans toutes les assemblées, dans tous les rendez-vous où il question du cadre environnemental marin et maritime.

Lors de cette réunion, à laquelle participaient aussi des professionnels de la mer, le président Bourquin a émis l’idée forte de créer une sorte de
« parlement de la Mer », une structure qui s’appuierait sur « l’existant », à savoir le Parc naturel marin du golfe du Lion, tout en étendant son territoire et sa compétence sur l’ensemble du littoral de la région Languedoc-Roussillon, c’est-à-dire en incluant les départements maritimes du Gard, de l’Hérault et de l’Aude (à ce-jour, seule la commune audoise de Leucate fait partie du Parc naturel marin du golfe du Lion qui s’étire au sud jusqu’à la frontière espagnole).

Cette vision d’ensemble, souhaitable, permettrait de mettre en commun diverses énergies,  expériences et réalités géographiques particulièrement complémentaires. Elle ferait incontestablement de ce futur Parlement de la Mer un lieu avant-gardiste pour apporter des réponses efficaces, utiles et pédagogiques face aux grands défis que la préservation et l’entretien de nos côtes nous imposent !

Il y avait beaucoup d’auditeurs dans l’amphithéâtre du Laboratoire Arago de Banyuls-sur-Mer, hier soir.

Si toutes les étapes – administratives, techniques et politiques – sont franchies avec succès, que j’appelle de tous mes vœux, déjà  en tant que 2ème vice-président du Parc naturel marin du golfe du Lion, ce Parlement de la Mer pourrait voir le jour dès le printemps 2013 ! Réunions publiques et concertations avec tous les élus concernés devraient se succéder d’ici là.

En tout cas, hier soir à Banyuls, les participants ont fait preuve d’une belle unanimité sur les questions soulevées.

Prochain rendez-vous, dans l’Aude, à Gruissan.

Alain Ferrand est un homme politique catalan

Midi Libre Port Camargue. Le Parlement de la mer reçoit une vague de propositions


THIERRY MONTANER 19/10/2012 – 1 réaction

De multiples acteurs économiques du littoral étaient réunis mercredi soir au yacht-club de Port Camargue. Ils devaient contribuer à l'écriture d'un scénario, devant aboutir à la définition et à la naissance du Parlement de la mer régional, début 2013.

L'accouchement n'est pas simple, tant les acteurs du littoral et leurs objectifs sont variés. Christian Bourquin, président de Région, partait d'un constat personnel : "La Région a trop longtemps tourné le dos à la mer." Alors il s'est jeté à l'eau, face à la vague.

Devant une salle pleine, il a défini le débat espéré : "On est passionnés de la Méditerranée ; sinon, on ne serait pas là. Mais comment créer ensemble un parlement qui nous unisse ?"

Sa question est restée sans réponse. De la méthode ou des contours de ce parlement, rien ne fut proposé. En revanche, des objectifs à donner à ce parlement, tout fut évoqué.

Quatre grands témoins étaient invités.

  • Paul Gros (Coopérative des marins pêcheurs du Grau-du-Roi) aimerait que le parlement "aide les pêcheurs à travailler avec les chercheurs qui veulent une pêche durable".
  • Colette Certoux (Fédération des industries nautiques) estime que l'avenir des ports "passe par le développement économique et l'évolution de la capacité d'accueil".
  • Patrick Trolard (société Yachting équipement services) pense que l'axe majeur de travail "ce sont les places de ports et le développement des ports secs".
  • Régis Mortier (filière régionale kitesurf) voit dans son sport un secteur aussi prometteur que le surf aquitain.

Dans la salle aux trois cents visages, outre les personnalités comme l'élu graulen Robert Crauste (puissance accueillante), le président de la CCI Henry Douais, l'élu régional Didier Codorniou (qui dirige la commission Méditerranée) ou encore le consul de Monaco, tous avaient leur mot à dire.

On retiendra des interventions pour améliorer la qualité de baignade ou détaxer le carburant dans la pêche sportive. Des plaidoiries pour le surf, des anneaux supplémentaires, l'industrie, l'environnement... Une inquiétude sur le budget alloué à ce parlement. "Pour échanger ensemble, on n'a pas besoin de budget", précisait le capitaine Bourquin, ramant pour ramener tout le monde sur son bateau.

Venu de terres lointaines, Serge Bord (maire de Saint-Julien-les-Rosiers) s'est plu à rêver d'une coopération dans laquelle seraient impliquées les ambassades du pourtour méditerranéen. Ce fut la seule intervention applaudie.

1 réaction

un passionné de mer le 21/10/2012, 18h50

J'étais dans l'assistance. Oui, l'intervention que vous citez à la fin a été applaudie.

Mais en y répondant le président n'a relevé que l'aspect pédagogie de la proposition. On aurait dit qu'il n'avait pas entendu qu'il était question d'une action vers le pourtour méditerranéen.

 

La Dépêche Gruissan. Le Parlement de la Mer est en route


PUBLIÉ LE 23/10/2012 08:08

Palais des Congrès de Gruissan comble pour recevoir Christian Bourquin.

Hier soir, la 3e réunion publique en vue de la création du Parlement de la Mer avait lieu à Gruissan. Didier Codorniou recevait Christian Bourquin dans un Palais des Congrès comble. C'est dire l'attente des professionnels de la mer.

Le palais des congrès de Gruissan était comble hier soir à l'occasion du 3e rendez-vous régional en vue de former le Parlement de la Mer.

Après Banyuls (chercheurs, laboratoires) et Port-Camargue (industrie nautique, économie et emploi), la réunion publique avait lieu à Gruissan (tourisme et loisirs). Puis ce sera Sète (infrastructures) et enfin Mende (passerelles entre littoral et intérieur des terres).

À chaque réunion publique des intervenants différents, des grands témoins, viennent développer les attentes de chacun pour un dialogue sans hiérarchie.

L'idée est qu'à chacune des réunions, les communautés maritimes, les familles de la mer, viennent communiquer avec le président de la Région Languedoc-Roussillon.

Ces réunions doivent donc donner l'impulsion et ensuite des ateliers créeront le projet. Ces rencontres n'avaient jamais eu lieu. C'est donc une grande première.

Après l'accueil de bienvenue de Didier Codorniou, Christan Bourquin a voulu partager son ambition pour la Méditerranée.

«La Méditerranée nous rassemble même si on la vit différemment selon notre histoire. Alors cela devient une démarche originale que de décloisonner nos disciplines et nos passions. Les 215 km de littoral de Cerbère au Grau du Roi sont une chance pour notre territoire. La Méditerranée, ce joyau, les 3 millions d'habitants doivent se le réapproprier».

Christian Bourquin notera que le développement économique et la préservation du patrimoine sont compatibles, comme la préservation des phares dont celui de Leucate. Il appréciera la renaissance des Salins et le formidable travail des SNSM qui secourent chaque année environ 800 personnes. Il avancera donc l'histoire, l'emploi mais aussi le développement durable avec le carburant du futur avec les micro-algues.

Ce Parlement de la Mer sera opérationnel lors du 1er trimestre 2013.


Christian Bourquin

«Notre première force, ce soir, c'est d'être aussi nombreux et rassemblés pour ce littoral sous pression à cause de l'érosion liée au temps et de l'augmentation chaque année de la population. Alors, on doit travailler et jongler entre l'approche environnementale et l'économie. Notre Région a trop longtemps tourné le dos à la Méditerranée. Elle possède pourtant un véritable potentiel».

La Dépêche du Midi

Parlement de la Mer Sète : la Région poursuit la concertation
PARLEMENT DE LA MER - LE 23 NOVEMBRE 2012

photo actu

Parlement mer réunion publique Sète du 22

« Je suis venu vous écouter ! » S'adressant à plus de quatre cents personnes, professionnels, élus, usagers, experts ou simples passionnés, le Président de Région Christian Bourquin a poursuivi la concertation afin de construire un Parlement de la Mer, jeudi 22 novembre, salle Georges-Brassens à Sète.

Convaincue que la Méditerranée représente un atout majeur pour le Languedoc-Roussillon, la Région s'est engagée, sous l'impulsion de son Président, à mettre en place cette instance démocratique, fédérant tous les acteurs de la communauté maritime et qui leur permettra de travailler ensemble, au service d'une même ambition.

C'est dans ce but que se déroule depuis le mois d'octobre une large concertation avec, notamment, l'organisation de cinq réunions publiques, une dans chaque département. Après Banyuls-sur-Mer, Le Grau-du-Roi, Gruissan et Sète, c'est à Mende que se tiendra la prochaine réunion, mercredi 28 novembre à 17 h 30, à l'espace Jean-Jaurès (10, rue Charles-Morel).

Cinq ateliers de travail seront également organisés autour de deux axes, les enjeux prioritaires à traiter et les scénarios de fonctionnement du futur Parlement. Ils se dérouleront :

  1. à Gruissan lundi 26 novembre, au palais des congrès, de 17 h à 20 h ;
  2. à Sète mardi 27 novembre, salle Tarbouriech, de 17 h à 20 h ;
  3. à Mende mercredi 28 novembre, espace Jean-Jaurès, de 17 h 30 à 20 h ;
  4. au Grau-du-Roi mardi 4 décembre, au Yacht club de Port-Camargue, de 17 h à 20 h ;
  5. à Canet-en-Roussillon mercredi 5 décembre, de 17 h à 20 h.

Un dispositif a enfin été mis en place sur Internet avec la possibilité de participer à la concertation à l'adresse suivante : www.laregion.fr/parlementdelamer. Chacun peut répondre au questionnaire « Pour vous, c'est quoi la Méditerranée ? ».

Midi Libre Sète – Compte rendu  de la réunion du 22 novembre 2012


Réactions de participants


Navigateurs de plaisance et Parlement de la MerVeille Médiatique

Annexes


Création le 14/11/2012 du Parlement de la Mer Sud Atlantique - Préservation et gestion du milieu marin

DIRM Directions interrégionales de la merDIRM MéditerranéeOrganigramme

SCHEMA STRATEGIQUE DEPARTEMENTAL DE  DEVELOPPEMENT DU NAUTISME Cahier des charges (2/7/2010)

Phase 1 Novembre 2011 État des lieux – Diagnostic
Phase 2 Novembre 2011 Stratégie de développement – Orientations stratégiques
Phase 3 Janvier 2012 Plan d’action à court et moyen terme (V5 Mars 2012)

Action économique de Christian BOURQUIN dans l'Aude

Discours Mai 2012 à Perpignan : Prenons en main notre Méditerranée

Inauguration quai J 19 Nov 2012 Développement du port Sète – FrontignanObjectif ; 9 millions de tonnes de marchandises

Dialogues territoriaux du 26 novembre au 17 mai 2013, une démarche participative inédite

10 rencontres pour 9 espaces de dynamique Territoriale

16/11/2012

Sur le Gaz de schiste – De Corinne Lepage aux Verts EELV

2 Discours à comparer : ceux de Corinne Lepage qui explique puis celui d'EELV en fin de billet qui mène combat sans s’expliquer.

Gaz de schiste, assez de bêtises !

, , , , http://www.reporterre.net/spip.php?article3483 
France Culture L’invité des Matins du 15/11/2012 : Corinne Lepage

Corinne Lepage - 15 novembre 2012


Il serait temps que le débat devienne sérieux lorsque l’on aborde l’aspect économique et financier du gaz de schiste.

Les tombereaux d’injures que déverse le géochimiste Claude Allègre ne font que caricaturer une argumentation absurde : l’exploitation du gaz de schiste relancerait la croissance française.

Le lobby pétrolier et gazier inonde les médias de ce nouveau mythe : si on exploitait le gaz de schiste comme les Américains, la croissance reviendrait. C’est trois fois absurde.

  1. Pour une question de chronologie d’abord. Dans le meilleur des cas, pour le lobby, une exploitation pourrait voir le jour vers 2020, ce qui n’aura aucun effet sur l’atonie de l’économie française en 2012 et 2013.
  2. Deuxièmement, la France n’est pas les Etats-Unis. Autrement dit, les conditions physiques d’exploitation, les conditions juridiques font que les contraintes sont très différentes et, par voie de conséquence, le prix du baril ou du British Termal Unit (BTU unité d’énergie anglo-saxonne) serait sans commune mesure, peut-être sans aucun intérêt au regard du prix auquel nous payons notre gaz.

    Rappelons que le patron d’Exxon reconnaissait lui-même en juin manger sa chemise au prix auquel est vendu le BTU, soit 2 dollars (1,57 euro), alors que le prix de revient actuel aux Etats-Unis est de l’ordre de 7 dollars.

    C’est dans des difficultés financières immenses que se débattent aux Etats-Unis de très grandes sociétés exploitantes. Qu’en sera-t-il demain lorsque l’obligation de récupérer le méthane va s’imposer ?

  3. Enfin, dans le meilleur des cas, l’exploitation du gaz de schiste pèserait pour 4 à 5 milliards d’euros, soit moins de 10 % de notre facture énergétique ou du déficit commercial. C’est important, mais pas de nature à changer la donne.

Alors pourquoi ces chiffres déraisonnables qui circulent sur des réserves que l’on ne connaît pas et des emplois virtuels, dont ceux qui lancent des chiffres savent qu’ils sont sans fondement ?

Pourquoi, au niveau européen, cette pression démente des lobbys pour interdire au Parlement européen de légiférer et mettre en place une législation qui impose l’étude d’impact par ailleurs déjà imposée par le droit communautaire ?

  1. D’abord, parce que l’âge d’or du gaz de schiste aux Etats-Unis touche à sa fin ; outre le changement de législation, le caractère dramatique des dommages causés aux milieux et aux hommes apparaît. Les efforts pour cacher la nature des produits utilisés, les conséquences dans l’air et dans l’eau sont en échec.

    Et surtout le risque de faillite menace les entreprises exploitantes, qui vendent à un prix trop bas leur huile en raison de l’ouverture massive de puits, grâce au droit américain rendant le propriétaire du sol propriétaire du sous-sol.

    Dès lors, le marché européen, à la condition qu’il soit sans règles, peut être intéressant au moins le temps que les citoyens européens se rendent compte des dommages en grandeur réelle, d’où la très forte pression des sociétés américaines.

  2. Ensuite, parce que la valeur est celle de la matière première. Dès lors, tout en sachant que l’exploitation n’est pas pour demain, le but est de préempter notre sous-sol pour valoriser dans les bilans les réserves.

    En effet, comme le titulaire du permis d’exploration est le futur titulaire du permis d’exploitation, sans qu’il soit possible de lancer un nouvel appel à concurrence, l’objectif est d’obtenir le plus vite possible les permis d’exploration. En réalité, c’est une expropriation larvée de notre bien collectif.

    En admettant qu’une autre technologie que la fracturation hydraulique soit possible, que cette technologie fasse l’économie de l’eau et ne pollue pas, l’intérêt de la France est évidemment d’attendre, dans la mesure où, si nous avons du gaz, il sera encore là plus tard, et avec une valeur croissante.

    Soit une technologie propre est trouvée, et dans ce cas il ne faut surtout pas accorder des droits qui n’auront que plus de valeur ultérieurement.

    Soit elle ne l’est pas, et dans ce cas il est irrationnel et déraisonnable de sacrifier nos milieux et notre richesse agricole et paysagère, de mettre en péril la santé des personnes vivant au voisinage des puits, de créer une irréversibilité pour une exploitation temporaire d’huile de schiste dont les inconvénients et les coûts économiques l’emporteront sur les avantages.

Dès lors, arrêtez la désinformation et reconnaissez quelles sont vos motivations réelles qui n’ont rien à voir avec le bien-être et l’intérêt économique des Français.

Et, si le gaz de schiste présente un enjeu stratégique pour la France, alors, la recherche et le recensement public des réserves ne peuvent se faire que par l’Etat.

Source : Le Monde

Corinne Lepage est eurodéputée, Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe, et présidente de CAP21.

Lire aussi : Y a-t-il une opposition au gaz de schiste aux Etats-Unis ?

Corinne Lepage - Emission L'invité des Matins de France Culture du 15 novembre 2012


Le dossier du Gaz de Schiste est abordé au bout de 15mn de questions de cuisine politique.


Les matins - Corinne Lepage par franceculture

Herault Tribune - AGDE - SETE - EELV - Gaz de schiste : La ligne claire du gouvernement


Gaz de schiste : la ligne claire du gouvernement

Le rapport Gallois publié ce 5 novembre 2012, listant des mesures pour relancer la compétitivité, prône la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste. Dès sa publication, le gouvernement français a d'ores et déjà indiqué que cette piste de ressources énergétiques serait exclue. Europe Ecologie Les Verts salue cette décision et rappelle son opposition ferme et résolue à la recherche et à l'exploitation des gaz et pétrole de schiste.

Dès mars 2010, sans aucun débat public ni concertation préalable, plusieurs permis d'exploration ont été accordés à plusieurs multinationales dont Total et GDF-Suez, méprisant les risques environnementaux et sanitaires particulièrement importants, notamment en termes de pollution des eaux souterraines et de surfaces par des métaux lourds et produits chimiques très toxiques.
Un de ces permis d'exploitation s'étant sur la plaine Biterroise et Agathoise, de Faugères au Nord à Gruissan au Sud et de Olonzac à l’Ouest jusqu’à Marseillan à l’Est, sur 163 communes de l’Hérault et de l’Aude comprenant 388 000 habitants : c'est le permis n° M624 des Plaines du Languedoc, s’étendant sur 2348 km2, accordée à la multinationale LUNDIN International SA, accordé le 2 octobre 2009 pour « hydrocarbures liquides ou gazeux ». Cette concession, adossée à l'Etang de Thau, Haut lieu de la conchyliculture et de la mytiliculture, recouvre la Nappe Astienne dans un sous-sol Karstique à de nombreux endroits, qui alimente en haut potable ce large territoire par au moins 11 captages.


http://www.pasdegazdeschistes.rd-h.fr/wp-content/uploads/...

L’annonce des services du Premier ministre, affirmant que la proposition du rapport de Louis Gallois sur la reprise des recherches sur l'exploitation du gaz de schiste ne serait pas retenue, est une bonne nouvelle. François Hollande a expliqué avec une grande fermeté lors de la Conférence environnementale, qu’il excluait de délivrer, sur tout le quinquennat, tout permis d'exploiter les gaz et pétrole de schiste par fracturation hydraulique.

EELV reste mobilisé pour que l'interdiction totale de l'exploitation des gaz et pétrole de schiste se concrétise dans les faits.
PS : Les 111 communes concernées dans l’Hérault :

Abeilhan, Adissan, Agde, Agel, Aigne, Aiguesvives, Alignan du vent, Aspiran, Asignan, Aumes, Autignac, Azillanet, Babeau, Bassan, Beaufort, Belarga, Bessan, Beziers, Boujan sur libron, Cabrerolles, Cabrière, Campagnan, Capestang, Castelnau de guers, Causses et veyran, Caussiniojouls, Caux, Cazedarnes, Cazouls d’Hérault, Cazouls les Béziers, Cers, Cessenon sur Orb, Cesseras, Colombiers, Corneilhan, Coulobres, Creissan, Cruzy, Escales, Espondeilhan, Faugères, Florensac, Fontes, FOS, Fouzilhon, Gabian, La Caunette, Laurens, Lespignan, Lezignan la Cèbe, Lieuran les Béziers, Lignan sur Orb, Magalas, Maraussan, Margon, Marseillan, Maureilhan, Minerve, Montady, Montagnac, Montblanc, Montels, Montesquieu le mas Rolland, Montouliers, Murviels-lèz-béziers, Neffiès, Nézignan L’Evêque, Nissans lez Ensérune, Nizas, Olonzac, Oupia, Pailhes, Paulhan, Peret, Pezenas, Pinet, Pierrerue, Poilhes, Pomérols, Portiragnès, Pouzolles, Prades sur Vernazobre, Puimisson, Puissalicon, Puisserguier, Quarante, Roquessels, Roujan, Saint Chinian, Saint Pons de Mauchiens, Saint Thibery, Saint-Genies de Fontedit, Saint-Jean-de-Minervois, Sauvian, Serignan, Servian, Thezan les Béziers, Tourbes, Tressan, Usclas d’Hérault, Vailhan, Valras-Plage, Valros, Vendres, Vias, Villeneuve les Béziers, Villespassans


Agnès GIZARD-CARLIN,
Responsable du Groupe local Europe Ecologie Le Verts - Basse Vallée de l'Hérault Littoral (Agde, Marseillan, Pézenas)
06 73 27 18 68

Agnès GIZARD-CARLIN, Responsable du Groupe local Europe Ecologie Le Verts (11-11-12)

Les réactions à l'article

De MAURICE TOUBOUL le 15-11-12

L'orthographe SVP s'étend et non pas s'étant ..... Je reprends la lecture de l'article

De CHARLES-MARIE VAILLANT le 15-11-12

Nous ne devons pas lire les mêmes documents, ni écouter les mêmes hommes politiques faire les déclarations et nous ne devons pas avoir le même président de la république !!!

Dernièrement, c'est à dire avant hier, j'ai entendu un certain François HOLLANDE déclarer devant tout son gouvernement au grand complet et 400 journalistes, que la recherche sur les gaz de schiste et leur extraction devaient continuer pour trouver des solutions moins dévastatrice pour l'environnement, et qu'à ce moment là nous pourrions exploiter les gaz de schiste par une autre méthode que la fracturation hydraulique. CQFD

De AGNèS GIZARD-CARLIN le 15-11-12

Monsieur François Hollande a effectivement parlé des gaz de schistes durant sa conférence de presse, APRES la publication de mon article.  En effet, il n'abandonne pas les gaz de schistes : ce n'est juste que la fracturation hydraulique qui est remise en cause.
Or les gaz de schistes restent des énergies non renouvelables et émettrices de gaz à effet de serre !!!
C'est pour cela que nous restons vigilants : nous ne voulons pas d'une extraction par fracturation hydraulique devenue "BIO" par miracle ....
Ecologiquement votre
Agnès GIZARD-CARLIN

Herault Tribune–SCOT de THAU

http://www.herault-tribune.com/articles/14799/sete-marsei...

SETE - MARSEILLAN - Le SCOT de Thau est ouvert à la consultation des citoyens

16 XI 2012

Le SCOT de Thau est ouvert à la consultation des citoyens


Le Schéma de Cohérence territoriale du Bassin Thau est sur le point d’être arrêté. Avant l’enquête publique officielle qui est prévue pour le printemps 2013, le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT) a ouvert l’accès aux documents réglementaires provisoires.1

Ces documents, qui peuvent être téléchargés sur le site du SMBT (www.smbt.fr/), ont été transmis à chacune des 14 mairies concernées où, en principe, chaque citoyen peut librement en prendre connaissance et inscrire ses observations dans un cahier prévu à cette fin.

En principe seulement, car les municipalités n’ont pas toutes jugé opportun d’informer correctement leur population.
Pour pallier ces carences incompréhensibles, le Collectif « NON à hinterland »appelle les habitants de chaque commune2 à se rendre à leur mairie dans les plus brefs délais.

Ils pourront constater que l’objectif n°1 du SCOT consiste à « Protéger l’environnement naturel, agricole et le cadre de vie du Bassin de Thau » (DOO, p.9) et, plus particulièrement, « Préserver le potentiel agricole et pérenniser une agriculture fragilisée par la pression foncière » en « limitant strictement les possibilités d’urbanisation » sur un espace « fortement convoité pour diverses vocations souvent peu compatibles avec l’enjeu de préservation des exploitations agricoles » (DOO, p.18).

Ils seront étonnés de voir cet objectif majeur ignoré « pour répondre aux besoins des activités de logistique liées aux flux et à l’activité portuaire » (VLM, p.16) par la « Création d’une zone logistique sur la commune de Poussan » (VLM, p.21) et ceci d’autant plus qu’ils ne trouveront aucune perspective de trafic maritime justifiant l’accaparement de 100 hectares de terres agricoles par la Région Languedoc-Roussillon.

Le Collectif « NON à hinterland » souhaite que le bon sens des citoyens leur dicte les observations pertinentes, susceptibles de rappeler à la raison les responsables politiques du SCOT afin que les documents définitifs soient expurgés de toute allusion à une quelconque « vocation portuaire » de l’espace autour de l’échangeur de l’A9 à Poussan et prescrivent le maintien de sa vocation agricole ancestrale.

C’est ce que demandent aussi bien les professionnels de l’Etang de Thau, pêcheurs et conchyliculteurs, que la Chambre d’Agriculture de l’Hérault pour la profession agricole.

1 Document d’Orientations et d’Objectifs (DOO), Volet Littoral et Maritime (VLM) et Document d’Aménagement Commercial (DAC)
Collectif NON à « hinterland » C/o Biocoop Avenue de la Barrière 34540 Balaruc le Vieux
Courriel : nonhinterland@nonhinterland.org

2 Balaruc Le Vieux, Balaruc Les Bains, Frontignan, Gigean, Marseillan, Mireval, Sète, Vic La Gardiole, Bouzigues, Loupian, Mèze, Montbazin, Poussan, Villeveyrac,
Téléphone : 04 67 78 48 40

Collectif NON à « hinterland » (16-11-12)

SETE - MARSEILLAN - Le SCOT de Thau est ouvert à la consultation des citoyens