29/03/2016
Le premier chalumeau qui soude à l'eau
http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/cette-flamme-vert...
Basée à Fabrègues (Hérault), la société Bulane a mis au point un équipement innovant et écologique permettant d’obtenir une flamme propre à partir d'eau et d'électricité.
"L'eau sera un jour employée comme combustible". Voilà ce qu'écrivait, en 1875, Jules Verne dans son roman L'île mystérieuse. Inspiré par cet auteur français, et plus particulièrement par cette citation, Nicolas Jerez s'est attelé dès 2005 à faire de cette prédiction une réalité.
Convaincu qu’une solution innovante, fiable et propre permettrait aux industriels de se passer de gaz fossiles tels que le butane, le propane ou encore l’acétylène, cet ingénieur s’est accordé quatre ans pour mettre au point sa flamme écolo, avant de créer en 2009 sa société, Bulane chargée de la commercialisation de cette technologie plus respectueuse de l'environnement.
L'électrolyse permet de créer une flamme propre
Désormais chef d'entreprise, Nicolas Jerez raconte l'odyssée de cette flamme verte dont le seul carburant est l'eau. "On utilise l'électrolyse pour décomposer l'eau en hydrogène et en oxygène. Ensuite, on travaille ces deux gaz pour les remettre ensemble et obtenir une combustion".
Le résultat de cette combustion est une flamme à hydrogène qui brûle à 2.800°C. Mieux, celle-ci possède exactement les mêmes caractéristiques qu'une flamme produite par un combustible fossile, tout en supprimant ses inconvénients. Ainsi, la "flamme Bulane" ne produit ni monoyxde de carbone, ni dioxyde de carbone. Ce qui permet, outre de participer à la préservation de la planète, de réduire les risques d'intoxications auxquels sont exposés les travailleurs.
Les industriels, premiers utilisateurs de cette technologie
Depuis 2013, les appareils Dyomix fabriqués par Bulane sont exclusivement commercialisés auprès d'industriels. Nicolas Jerez souligne d'ailleurs que son invention a été pensée en collaboration avec certains d'entre eux pour répondre au mieux à leurs attentes. Une centaine de professionnels aux profils variés utilisent déjà cette solution, à l'image de certains fabricants de meubles ou encore d'entreprises œuvrant dans l'industrie aéronautique et automobile.
La société aimerait que de nouveaux clients s'approprient cette solution, or pour l'instant, le poids de l'appareil (environ 80 kilogrammes) et son coût -5.000 euros- découragent certains clients potentiels, même si Bulane promet un retour sur investissement relativement rapide: entre 18 à 24 mois.
Pour combler ces lacunes, Bulane a levé, à l'été 2015, 2,7 millions d'euros afin de travailler à la miniaturisation de l'appareil. Une version plus compacte du Dyomix, pesant moins de 30 kg, devrait d'ailleurs être proposée à la vente dès l'année prochaine. Ainsi, les artisans (chauffagistes, frigoristes, ...) pourraient l'utiliser plus facilement sur leurs chantiers.
Par Antonin Moriscot avec Sidonie Watrigant
15:25 Publié dans Industrie, Innovation, Investissements en procédés, Réduction des pollutions | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
24/04/2012
L’innovation se glisse partout
La start-up prend soin de vos morts à votre place
Yann Lepage est accroupi près de la tombe dont il vient de terminer l’entretien, à Pérols, au sud de Montpellier. Il sort un appareil photo de sa sacoche. En un clic immortalise l’avant et l’après. La preuve qu’il a bien effectué la prestation pour laquelle son client a mandaté sa société “En sa mémoire”
"On a 1 000 clients, dont un peu plus de 150 en Languedoc-Roussillon"
Le forfait est variable en fonction de la régularité de l’intervention : 27 € pour quatre passages par an, 37 pour six, 68 pour douze.
http://www.midilibre.fr/2012/04/23/la-start-up-prend-soin...
Il lance un chewing-gum tonique
David Truille :
"Quand on est marin sur un thonier, le soir, on réfléchit, et c’est comme ça que je me suis lancé."
"Je suis assez bien parti, j’estime entre 100 et 200 000 € le chiffre d’affaire de l’année"
http://www.midilibre.fr/2012/04/22/un-setois-lance-un-che...
17:00 Publié dans Innovation | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
22/11/2011
BILLAUTSHOW Weda envoie les toubibs dans le cloud
Connaissez-vous Fabrice Greenbaum from Montpellier ? Weda envoie les toubibs dans le cloud...
Fabrice lance une plateforme dénommée Weda, pour les médecins libéraux généralistes et spécialistes.
Pourquoi avoir lancé Weda ? Il explique que pour cela il a mis sur pied des groupes de travail avec des médecins, pour réaliser "le cahier des charges" comme on dit dans l'informatique traditionnelle.. Et que veut dire le mot Weda ?
La France compte une population d'environ 120.000 médecins généralistes et spécialistes. Avec un total de 800.000 personnes environ dans toutes les professions de la santé...
Weda en fait propose une gestion compléte d'un cabinet médical en mode Saas dans le cloud... Donc accessible par un simple browser. Plus besoin d'avoir localement des applicatifs spécifiques avec des interfaces dédiées.
Les médecins mettront-ils à la poubelle ces applicatifs anciens ? Certes, mais il faut d'abord récupérer les données archivées. Et le médecin pourra choisir : garder ses logiciels "anciens" et ne faire que l'archivage dans le cloud, ou alors tout utiliser en mode Saas...
Quels sont les apps (comme on dit maintenant) qui seront à leur disposition ? Tout tourne autour du dossier médical... avec échange entre le généraliste et le spécialiste. Quels sont les modules complémentaires ?
Quelles sont les différences entre le dossier médical de Weda et le fameux DMP dont on parle depuis des années ? En fait, le dossier médical Weda va alimenter le DMP... A noter qu'en mode cloud, les médecins vont pouvoir accéder à leurs dossiers de partout... Qu'est ce que le We ? Le Wd ? Le Wa? Le Wv ? Comment est intégré le fameux Vidal dans Weda ? (en "Web 3.0", nous dit Fabrice)..
Comment se passe dans Weda la gestion des remboursements Sécurité Sociale et autres Caisses de maladie ? Comment se passe la gestion de la Carte Vital ? Weda a-t-il tous les agréments nécessaires ? Quelle est la sécurité qui sera intégrée dans Weda ?
Les médecins ne sont-ils pas rebutés par le cloud et le Saas ? Où sont hébergées les données de santé des médecins ?
Quel est le coût pour les médecins ? Comment sera commercialisée l'offre Weda ? Fin 2012 combien de médecins seront en orbite dans le cloud Weda ?
Qu'est-ce que la nouvelle Convention Médicale qui sera obligatoire en 2012 ? Quelle est l'aide financière apportée au médecin pour son informatisation ? (montant de l'ordre de 3.000 €/an).
Intégration de la visiophonie dans Weda ? Utilisation par Weda des réseaux sociaux ? de la mobilité ? Avec utilisation de tablets ? (les médecins américains commencent à s'en équiper..).
Le cloud permettra-t-il de diminuer les coûts de la santé en France ? Le cloud permettra-t-il de mieux organiser l'administration de la Santé ?
Visées internationales pour Weda ? Espagne, pays de l'Est, l'Allemagne, pays du Mahgreb ?
Différences entre l'informatique médicale américaine et française ?
Le 2/12/2012 le Quotidien des Médecins Informatique publiera une histoire de l'informatique médicale...
Commentaires au débotté... Hé bien, cela bouge dirait-on, chez les professionnels de santé français. Professionnels que l'on disait trés conservateurs face à ces "nouvelles" technologies (effectivement j'en connais - pas de noms svp)... Aprés la startup de Lille 9h37, voilà maintenant Weda..
La santé française, ou en tout cas une partie, va commencer à se "cloudifier"... Pour l'instant, il ne s'agit que des médecins libéraux (les médecins hospitaliers ne sont pas intégrés)... Mais nul doute qu'à terme, on assistera probablement à un effet d'entraînement. "Comment vous n'êtes pas dans mon cloud ?" On retrouvera dans les clouds français sécurisés "souverains" (comme dit notre aimable gouvernement)... les autres professionnels de santé (pharmaciens, kiné, ambulanciers, hôpitaux, Samu) ... Et puis ensuite les organismes de remboursement, les assurances, les mutuelles...
ll me semble que les économies de coûts devraient être substantielles... De plus, peut-être que l'on pourra mieux faire passer l'information entre les différents silos de la santé française ? (ce qui permettrait peut-être d'éviter des déboires comme une amputation ?).
Pour contacter Fabrice Greenbaum : fabrice(arobase)weda.com
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27/09/2011
Objectif-LR–Les avocats planchent sur l’innovation
26-09-2011
Pour leur rentrée, les avocats planchent sur l’innovation
- Héraulthttp://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualite...
Après l’égalité, les avocats s’intéressent à « l’entrepreneur innovant » pour leur rentrée économique de vendredi. Une façon de travailler sur l’image de la profession souvent peu associée à cette thématique.
Objectif Languedoc-Roussillon : Cette année, votre rentrée économique est axée sur l’innovation. On associe pourtant rarement l’avocat à cette thématique…
Me Michel Albisson(*) : Eh bien, c’est une grave erreur ! (rires) Nous sommes partis du constat que le tissu économique du Languedoc-Roussillon était composé de TPE et de PME bien souvent innovantes dans les domaines de l’informatique, de la santé, de la recherche ou de la viticulture. Or, ces entreprises sont souvent confrontées à une question : qui va m’accompagner dans mon développement ? En premier lieu, il y a les avocats qui sécurisent les projets et savent faire preuve d’imagination.
Objectif Languedoc-Roussillon : Concrètement sur quels dossiers pouvez-vous aider les entreprises innovantes ?
Me Michel Albisson : Les exemples ne manquent pas… Si vous souhaitez vous développer à l’export, il faudra bien organiser les conditions générales de vente pour éviter tout litige à l’international. Si vous pensez avoir trouvé un concept technique qui va révolutionner le monde, est-ce que vous devez déposer un brevet ? Et si oui, sous quelle forme juridique ? Enfin, si vous voulez réaliser une levée des fonds, il faudra aussi penser au montage juridique ; etc.
Objectif Languedoc-Roussillon : L’une des tables rondes abordera l’innovation managériale. Là, on voit moins en quoi l’avocat peut intervenir…
Me Michel Albisson : Je vous donne de nouveaux exemples : si vous êtes chef d’entreprise et que vous voulez miser sur l’un de vos salariés en lui payant une formation très qualifiante, vous pouvez avoir peur qu’ensuite il vous quitte. Dans ce cas-là, on peut prévoir une clause de dedit formation qui fait que, si le salarié s’en va, il devra rembourser sa formation… Les avocats interviennent aussi sur l’entrée au capital de salariés, sur les modes d’intéressement ou encore la distribution de stock-options. Bref, ils aident à créer entre l’entreprise et le salarié des relations de fidélité.
Propos recueillis par Gwenaëlle Guerlavais
(*) Me Michel Albisson est avocat associé au cabinet MBA & Associés (Castelnau-le-lez) en charge du droit économique et du droit social.
Rentrée économique du barreau des avocats de Montpellier (http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Agenda/Rentree-economique-du-barreau-vendredi-30-septembre-2011_451.html)
Sur le thème de : L’entrepreneur innovant
Vendredi 30 septembre 2011, à partir de 14h
Sup de Co Monptellier – Grand Amphi
Photo d’ouverture
Légende photo : l’année dernière, la rentrée économique du barreau s’intéressait à l’égalité.
Crédit photo : Barreau des avocats de Montpellier
Photo intérieur
Légende photo : Me Michel Albisson, l’un des avocats qui interviendra lors des tables rondes de la rentrée économique du barreau de Montpellier.
Crédit photo : MBA & Associés
13:41 Publié dans Économie, Innovation, Intelligence Collective, Syndicats | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
09/08/2011
Billautshow – Avec Pascal MAGNIER & EXPERNOVA Montpellier continue à surfer sur l’innovation 2.0
Connaissez-vous Pascal Magnier from Montpellier ? Expernova : le "profiling" automatique des experts dans le Monde....
de jean-Michel BILLAUT
Pascal nous expose ce qu'est "expernova"... Vous cherchez par exemple un expert pour mettre au point dans votre entreprise un nouveau produit, car vous n'avez pas les compétences en interne ?... Comment trouver l'expert qu'il vous faut dans le vaste Monde ?
Simple : utilisez expernova !... La plateforme les recense de façon automatique... Comment ? Pascal nous explique la mécanique... Est-ce que l'expert recensé sur expernova sait qu'il est recensé ? Peut-il accéder à son profil ? Le modifier ?
Pour avoir la réponses aux questions qui suivent voir la vidéo sur cette page :
http://billaut.typepad.com/jm/2011/08/expernova-from-jean...
Langues utilisées ?
Quid des experts dans d'autres domaines que les techniques proprement dites (le social, la psychologie, etc... par exemple...).
Expernova pourrait-il être utilisé en interne dans les grandes entreprises qui ne savent pas toujours qui fait quoi en matière de recherches ? (offre "inside" en mode licence, ou en mode Saas.. où il semble que le mode Saas ne pose plus de problèmes d'appréhension en matière de sécurité...).Combien d'experts sont actuellement "profilés" ?
Expernova couvre combien de domaines ?
Combien y a-t-il d'experts dans le Monde (10 millions, le double en 2020)... En Europe ? En France ?Expernova peut-il cartographier la recherche d'un pays ?
Peut-il détecter les sujets émergeants ? Comment l'entreprise qui utilise les services d'expernova peut-elle créer son ecosystème de RetD ?Quel est le business model d'expernova ?
Concurrence dans ce que l'on appelle "l'open innovation" ? (réseaux sociaux de scientitiques, etc..).
Pourquoi ne pas créer un réseau social entre entreprises et experts ?Est-ce que la mécanique d'expernova plaît aux Gouvernements dans le cadre de la géopolitique actuelle ?
Comment se porte la recherche française ?...
Nos entreprises sont-elles intéressées par l'open innovation ?
Quid de la propriété intellectuelle ?
Que faut-il entendre par un "pack asiatique" vendu aux entreprises européennes ?
Comment expernova est-il commercialisé ? (vente en ligne, si, si.., etc..). Le savoir humain dans les domaines scientifiques augmente de combien par an ?
Pour ceux que cela intéresse, expernova va bientôt faire une levée de fonds...
Commentaires au débotté... Hé bien, voilà encore un "google de niche" mondial... Basé à Montpellier...
Décidément il y a un nid 2.0 à Montpellier...Wearecloud, expernova, et d'autres... Je me demande quel est le nid 2.0 régional le plus étoffé en France ? Paris probablement ? Puis Montpellier ? Puis Nantes ? Puis...
Pour contacter Pascal Magnier : pascal.magnier(arobase)expernova.com
Vidéo : http://vimeo.com/27052633
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01:34 Publié dans Innovation, Intelligence Collective | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
18/06/2011
Billaut-Show - Projet de Cyril Esnos de Montpellier
Connaissez-vous Cyril Esnos from Montpellier ? Changerdeville : 1 million de personnes changent de Région par an...
Changerdeville from Jean Michel Billaut on Vimeo.
Changerdeville from Jean Michel Billaut on Vimeo.
Z'avez pas envie de changer de ville ou de quartier ? Si oui,changerdeville.fr est fait pour vous... Cyril nous présente sa plateforme..
Combien de personnes changent de Région par an ? Combien déménagent ?
Quelles sont les fonctionnalités proposées ? Qu'est ce que le palmarés interactif ? Combien de villes y sont recensées ? Quels sont les critères proposés par changerdeville ? Comment ont-ils été bâtis ? Est-ce que la plateforme va jusqu'à l'intégration dans le nouvel endroit (recherche d'emploi, quel quartier choisir, recherche d'un logement dans le quartier choisi... ). La France est divisée en (50.000 parcelles). Et chacune est caractérisée par une dizaine d'indicateurs.. Les délits sont-ils pris en compte ?
Quid des campagnes ?
Quel est le business model de changerdeville ? (publicité de collectivités locales, affiliation, et un pack de services payant - beaucoup plus économique que les services des agences de relocation 1.0).
Nouvelles fonctionnalités qui seront intégrées ? "Les réseaux sociaux ne sont pas prioritaires pour nous aujourd'hui..." Quid de la mobilité ?
Concurrents ? Partenariats ? (Recherche d'un partenaire "industriel" dans l'univers de la relocation pour entrer dans le marché grand public de la relocation qui n'est que B2B aujourd'hui).
Qu'est-ce que le mobility test ? Il permet d'identifier les profils dans l'entreprise qui sont a priori mobiles... "Quand un collaborateur change d'implantation et de région il perd 30% de sa productivité, sur les 3/6 mois qui suivent..."
Visées européennes et internationales ? Changerdeville en Europe.. "Oui dés cet été..."
Cyril cherche de l'argent comme toute bonne startup qui se respecte...
Pour contacter Cyril Esnos : contact(arobase)marcopolis.fr
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12/06/2011 dans e-billautshow | Lien permanent ShareThisShareThis
00:03 Publié dans Informatique, Innovation | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
18/02/2011
Start-up de Mauguio - Fabrications 100% Françaises - Business modèle pour CCI et collectivités locales
http://billaut.typepad.com/jm/2011/01/connaissez-vous-mat...
100pour100-madeinfrance.fr
from Jean Michel Billaut on Vimeo.
(pour ceux qui ne le savent pas, Maugio se trouve un peu à l'est de Montpellier)
achetez donc franco-français ! from Jean Michel Billaut on Vimeo.
Nos amis nous expliquent pourquoi ils ont ouvert la plateforme http://www.100pour100-madeinfrance.fr/ en fin d'année dernière. Les Français sont-ils intéressés par acheter des produits 100 % made in France ?..." Ils critiquent la délocalisation, mais ils s'habillent en Chinois de la tête aux pieds..."
Comment cela fonctionne-t-il ? Comment une entreprise française peut faire partie de l'annuaire de 100pour100-madeinfrance.fr ? Est-ce gratuit pour elle ?
Quel est le business model de 100pour100-madeinfrance.fr ? Pourquoi des accords avec les collectivités locales ? Les Chambres de Commerce vont-elles être intéressées ? Comment l'offre est-elle commercialisée ?
Combien d'entreprises sont actuellement référencées ? Combien d'entreprises pourraient être référencées d'ici la fin de l'année ? Quel est le marché potentiel de 100pour100-madeinfrance.fr ?
Un internaute peut-il acheter directement un produit d'une entreprise française répertoriée sur 100pour100-madeinfrance.fr ? La boutique 100pour100-madeinfrance.fr ouvre en ce moment... Fee : entre 10 et 20 %..
Autres fonctionnalités qui seront intégrées ? Interviews de chefs d'entreprise française (y compris en visiophonie)... Un Salon du MadeinFrance... (un salon physique et peut-être virtuel ?)
Quid de l'aide à l'exportation pour les entreprises du madeinfrance ? Quel concours nos amis ont gagné ?
Et pour nos VC "madeinfrance" : nos amis cherchent des sous...
Commentaires au débotté... Je ne sais pas si vous pensez comme moi, mais il me semble qu'il a depuis un an environ, un vaste mouvement de e-renouveau dans ce pays... Mouvement certes encore un peu "underground"... Mais tout de même... Nos jeunes (et moins jeunes) s'y mettent, un peu partout sur le territoire... Indépendemment d'ailleurs de nos aimables Institutions, et de notre grande intelligenstia parisienne...
Pour contacter nos amis : mathieu(arobase)made-france.fr
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21:43 Publié dans Chambre de Commerce et d'Industrie, Innovation, Intelligence Collective, Région | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
06/09/2010
Bravo à MORGO qui persiste et signe “Heureusement, on t’aime”
A l’occasion de la parution de son ouvrage “Heureusement, on t'aime“ publié à compte d’auteur, Midi Libre braque son projecteur de l’actualité sur Christophe MORGO, un de nos rares élus qui s'efforce d'imaginer des mesures d'enrichissement écologique de nos collines de la Moure , la Gardiole ou de l'étang de Thau et qui dénonce l’abandon de nos campagnes à l’incivisme et à l’urbanisation.
Midi Libre Sète - Édition du lundi 6 septembre 2010
Christophe Morgo « Il faut mettre un frein à l'urbanisation... »
DR
VOS PAPIERS :
Nom : Morgo
Prénom : Christophe
Age : 45 ans
Signe particulier : réélu conseiller général du canton de Mèze en 2008 - 72 % des voix au 2 e tour !
- cet amoureux de la nature et coureur hors pair (il a remporté la dernière édition des 100 km de Millau) connaît le moindre recoin du bassin de Thau, qu'il sillonne toute l'année hors des sentiers battus.
Il vient d'ailleurs de publier un ouvrage en hommage à un territoire qu'il est selon lui urgent d'aménager autrement pour sauver ce qui peut l'être...
Vous avez affecté une partie de vos fonds hors programme à un projet original : la création de jachères mellifères. En quoi cela consiste-t-il ?
Vu que chaque commune du canton a désormais lancé son Agenda 21, j'ai effectivement proposé aux villages intéressés l'aménagement de jachères fleuries mellifères. Elles ont déjà été mises en place sur Poussan, Villeveyrac, (40 ha), bientôt sur Montbazin, Bouzigues, Loupian. Sur des terres communales, souvent à l'état de garrigues, on laboure, on charrue, et on sème à l'automne avec des espèces résistantes et mellifères retenues par les apiculteurs. Puis on installe des ruches...
La production de miel est-elle le seul objectif ?
Non, bien sûr. Nous allons certes tenter de produire un miel, biologique, vu qu'il n'y a aucune terre cultivée (et donc traitée) à proximité immédiate, mais l'intérêt va bien au-delà...
A savoir ?
C'est une façon de reprendre pied dans les garrigues, de créer des espaces de respiration. Jadis, ces garrigues, c'était essentiellement de la vigne, du chêne vert ou des zones où pâturaient les moutons. On y trouvait aussi des oliviers et du blé puisque de nombreux ouvriers des villages du secteur se voyaient attribuer gratuitement un petit lopin où ils pouvaient cultiver librement, à condition bien sûr de défricher.
Aujourd'hui, du fait de la déprise agricole, le chêne kermès a tout colonisé. Plus rien ne pousse autour, et seuls les insectes peuvent vivre là dessous. On trouve donc une végétation relativement basse, impénétrable, qui est une véritable traînée de poudre en cas d'incendie. On l'a d'ailleurs vu la semaine dernière. Et généralement, après un incendie, c'est toujours le chêne kermès qui revient en force.
Alors, modestement, ces jachères pourront constituer quelques remparts.
Vous connaissez parfaitement les secteurs qui ont brûlé le 30 août. Qu'est-ce qui, selon vous, a contribué à ce que l'incendie prenne une telle ampleur (*) ?
Tous les ingrédients étaient hélas réunis : le vent, les nombreuses friches conséquentes aux campagnes d'arrachage (des vignes, Ndlr) menées depuis 2007. Mais on trouvait aussi des chaumes restant sur des terres ayant porté des céréales et qui n'avaient pas encore été labourées. Ajoutez à cela les abords de maisons pas entretenus et, peut-être, des soucis au niveau des secours... (lire ci-contre).
Comment faisait-on avant ?
Avant, ce n'était pas urbanisé, les agriculteurs opéraient des brûlages dirigés, il y avait des bergers, tout était entretenu.
C'est donc un problème d'aménagement du territoire...
Oui. Et encore, avec le feu, s'il prend de jour, on peut toujours évacuer. Avec les inondations, c'est une autre paire de manches.
Pourtant, on imagine le nord du bassin de Thau peu soumis aux risques d'inondation
...C'est une erreur. Car, par vent du sud, le niveau de l'étang monte et l'eau gagne les terres. Si vous ajoutez à cela les eaux de ruissellement du bassin versant, forcément, ça peut poser des problèmes.
J'aimerais me tromper, mais je crois que nous aurons quelques surprises dans les années à venir. D'autant que c'est toujours pareil : un sinistre, tel ce feu, on en parle quelque temps puis on passe à autre chose. Et personne n'en tire les conséquences.
Constater est une chose, mais quelle solution apporter ?
La solution serait, de toute façon, radicale : il faudrait stopper l'urbanisation de certaines communes, mieux répartir le développement urbain et penser un schéma de transport adapté. Mais quand vous voyez que sur la zone du Ponton, qui est une zone humide remblayée, on prévoit un parc d'activités, on est plutôt mal barré. Car une zone humide, c'est important : c'est un filtre entre terre et milieu marin, ça piège, entre autres, les métaux lourds. Mais, c'est sûr, ça ne "rapporte rien".
Photos Vincent ANDORRA
Recueilli par Patrice CASTAN
VOS REACTIONS
06/09/2010 à 09h20 | anderson
Je trouve cet article très intéressant Et je constate que sur Sète on bétonne à tord et à travers ; c'est laid ces parkings à plages (qui seront vides 9 mois par an ) défigurent cette ancienne route Agde-Sète qui longeait la mer ? Mais la nature réclame toujours ses droits et ces cages à humains -sous le niveau de la mer - ? Enfin c'est vous qui voyez
06/09/2010 à 08h54 | rosiès
Christophe,j' ai un terrain sur Villeveyrac que j' ai acheté il a plus de 16 ans.Malgré les promesses de l' époque mon espace n' est toujours pas constructible et je n' arrive pas à savoir pourquoi? Je veux simplement passer des séjours plus ou moins long avec ma famille. Mon coin de garrigue ( prisé par les chasseurs) est entouré par des cultures et quelques propriétaires terriens qui aimeraient comme moi pour passer du temps et entretenir ces espaces à risques. Comment parvenir à ce but d' amoureux de la nature et du coin? J'espère un dialogue .Merci.
UN OUVRAGE QU'IL DÉDIE AU TERRITOIRE
Christophe Morgo est un élu atypique. Atypique, et "bien réélu", ce qui n'aura pas manqué d'agacer celui qui misait ouvertement sur sa défaite en 2008, à savoir le président de région Georges Frêche.
Le conseiller général Morgo a donc pu poursuivre depuis son travail - désormais au côté de la majorité départementale - et resservir à l'envi des prises de positions qui, si elles trouvent apparemment un large écho dans la population de son canton, ne vont pas sans déranger bien des responsables politiques.
Toujours prompt à dénoncer les dysfonctionnements pour peu qu'ils impactent sur l'environnement, notamment, il ne s'est pas fait que des amis. Aussi a-t-il tenu à faire éditer sur ses deniers personnels - sans aide des collectivités, donc -, un petit ouvrage de quelque 80 pages proposant en images un tour d'horizon des merveilles du bassin de Thau mais aussi des dégâts qui lui sont infligés.
Quasi enfantin, l'intitulé du bouquin, Heureusement, on t'aime , n'annonce pas précisément ce qui, au fil des pages, lui succède : un constat étayé d'images du territoire qui permet à l'élu d'en vanter certes les richesses mais aussi de déplorer les pollutions en tout genre via des images légendées qui en disent long sur l'incivisme régnant ici.
Un livre préfacé par Bernard Pouyaud, directeur de recherche émérite de l'IRD (Institut de recherche pour le développement), lequel espère que « cet ouvrage saura éveiller la conscience écologique de tous ». C'est le moins que l'on puisse espérer.
Ouvrage disponible chez les diffuseurs de presse des villages du canton de Mèze ainsi qu'à Presse Saint-Clair, 1, boulevard Danielle-Casanova (face à la médiathèque) à Sète (10 €).
En complément cette interview de mars 2007 par Roquerols
Promenade avec Christophe Morgo
envoyé par roquerols. - Les grands événements de la vie de famille en vidéo.
13:59 Publié dans Département, Innovation, Politique locale | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
18/06/2010
Innovation sociale scandinave : Réinventer l’entrepreneuriat
Changer l’esprit de l’innovation publique
en cherchant à ” … mieux comprendre les vrais problèmes plutôt que d’en venir directement aux conclusions”...
”Suite à une enquête de terrain, en suivant au plus près certains entrepreneurs, les équipes du MindLab se sont rendu compte que la demande des entrepreneurs n’était pas tant de recevoir des aides financières dans un labyrinthe administratif toujours trop complexe que de recevoir de l’aide et des conseils de leurs pairs. Les entrepreneurs ont vite montré qu’ils préféraient avoir une plateforme pour s’entraider plutôt que plus d’aide du gouvernement”
Plus de détails sur le site de Internet ACTU.net sur cette page http://www.internetactu.net/2010/06/17/voyage-dans-linnov...
Image : Les méthodes du MindLab danois, issues de leur Guide pour l’innovation (en danois).
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15/03/2010
Objectif LR - E-learning : partenariat logique entre Solunea et Saba
15-03-2010
- Gard
La start-up nîmoise Solunea, spécialisée dans le e-learning, s’associe à l’Américaine Saba qui édite des solutions pour la gestion des ressources humaines.
Depuis sa création en 2006, à Nîmes, par Yann Lescurat, Solunea exerce deux activités, dont celle de prestataire de service pour proposer des contenus de formation à façon. Ainsi, la société nîmoise a développé, à la demande d'un groupe de grandes banques, une formation de lutte anti-blanchiment à destination de leurs collaborateurs.
Mais Solunea est également un éditeur de logiciels destinés à fabriquer des contenus de formation. Yann Lescurant explique l’intérêt d’un tel partenariat :
« En nous associant à Saba, qui compte un millier de collaborateurs, alors que nous ne sommes que 10 à Nîmes, nous allons pouvoir offrir un service plus large à nos clients puisque nous allons distribuer les produits de cet éditeur américain sur le territoire national. Ce qui nous permet d'appréhender l'ensemble de la chaîne de valeur du e-learning ».
Solunea table sur un doublement de son chiffre d'affaires d'ici à 2011, soit plus de 1,5 M€.
20:47 Publié dans Formation, Informatique, Innovation, Investissements en procédés | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : solunea, saba | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Objectif LR - Créalia propulse cinq nouvelles sociétés
5-03-2010
Région
Le fonds d’amorçage des PME innovantes accorde son financement à cinq projets prometteurs, dans le domaine de l’informatique, de la santé et de l’écologie.
Sur décision de son comité d’agrément, Créalia a jeté son dévolu sur
- Flowxy (solution technique pour la compression de données),
- Klakos (outils nouveaux pour le développement des jeux vidéo),
- Neiio (solution de qualification d’audience),
- Amylgen (techniques pour la sélection rapide de candidats médicaments),
- et Gosis (service de data center vert).
Cette nouvelle salve intervient dans le prolongement d’une année 2009 où Créalia a accompagné vingt entreprises pour un total de 651 000 €.
20:38 Publié dans Financements, Innovation, Investissements en procédés | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
25/01/2010
Via Enregie34, Les Collectivités locales motivent les entreprises régionales ….
Le Club Energies 34 structure sa filière Energie Renouvelable et Construction Durable
Grande mobilisation des professionnels le jeudi 21 janvier 2010 : Prés de 200 professionnels des énergies renouvelables et de la construction durable ont participé à la réunion organisée par les CCI de Montpellier, Sète et Béziers St Pons.
Jean-Louis Dreuille, Président de la toute jeune association des entreprises de la filière des énergies renouvelables et de la construction durable a présenté les objectifs de l'association. Elle a pour vocation d'aider les entreprises à se développer et à se structurer en respectant l'éthique de la profession.
Cette initiative est portée par les entreprises qui participent au développement commercial et à l'accroissement des compétences de manière collective.
Les missions principales sont les suivantes :
- Favoriser les entreprises locales et régionales en organisant des rencontres inter-entreprises avec les donneurs d'ordres et les collectivités à l'échelle régionale
- Donner de la visibilité aux entreprises de formation pour répondre aux besoins de personnel qualifié
- Mutualiser les besoins au niveau des différentes filières
- Participer collectivement à des salons en France et à l'étranger
- Et bien d'autres...
Il s'agit d'une structure fédératrice avec une dimension opérationnelle pour les entreprises de proximité.
La DRIRE, la Région Languedoc-Roussillon, le Conseil Général de l'Hérault et les CCI de Montpellier, Sète et Béziers - St Pons se mobilisent autour de cette filière.
Photovoltaïque : Quel avenir pour la filière et ses entreprises ?
André Joffre, Président du Pôle de compétitivité DERBI et Vice-Président d'Enerplan aux côtés d'Arnaud Mine, Président de la commission Soler du Syndicat des Energies Renouvelables ont commenté le nouvel arrêté tarifaire fixant les nouvelles conditions d'achat de l'électricité photovoltaïque qui a été rendu public le 13 janvier 2010.
Ils ont mis en garde les professionnels sur le manque de crédibilité de certains, mal perçus au niveau des instances nationales. La filière est arrivée à maturité à présent pour se professionnaliser.
Les professionnels ont soulevé leurs vives inquiétudes pour l'avenir de la filière et la survie des entreprises compte-tenu de certaines évolutions règlementaires.
En effet, ils se sont inquiétés du caractère rétroactif d'une mesure qui pourrait avoir des impacts importants pour les entreprises ayant lancé des investissements dans les derniers mois.
Enfin, la baisse trop brutale des tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque pour les bâtiments neufs professionnels inquiète les entreprises spécialisées dans cette catégorie du marché.
Vos contacts CCI
CCI de Montpellier : Christophe FERNIQUE - Tél. 04 99 51 53 02
CCI de Béziers St Pons : Marie MOURLHOU - Tél. 04 67 809 856
CCI de Sète : Michèle PA
16:54 Publié dans Chambre de Commerce et d'Industrie, Énergie renouvelables, Innovation, Politique locale | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
04/11/2009
La lettre M n°1024 - L’innovation régionale part à la conquête du salon BATIMAT
L'enquête de cette semaine :Grand Messe du bâtiment, cette semaine à Paris
Nouvelles gammes de profilés aluminium, échafaudages nouvelle génération, isolants… les PME du L.-R. vendent leur savoir-faire à Paris jusqu’à samedi, à l’occasion du salon international de la construction Batimat, placée cette année sous le signe de la performance énergétique.
Une tribune pour l’innovation
Profils Systèmes (profilés aluminium, 320 salariés, CA de 85 M€, Baillargues) présente une quinzaine de nouveautés (gammes, design, couleurs) sur 170 m2. La nouvelle ligne ‘Factory Spirit’, qui s’inspire des profilés métalliques des vieilles usines et des ateliers d’artistes, est nominée aux trophées du Design, avec 10 autres produits.
Kawneer France (solutions techniques pour les façades, 120 salariés à Vendargues et Baillargues, CA de 72 M€) dévoile six innovations sur un stand de 200 m2. « Cela va des murs-rideaux en aluminium jusqu’à de nouveaux coloris, avec une teinte exclusive qui imite la rouille sur l’aluminium, explique Bertrand Lafaye, responsable marketing Europe du Sud. Les architectes en sont friands. »
Les enjeux du Grenelle, très forts pour la filière, boostent l’innovation. Plutôt une bonne nouvelle, en temps de crise. « Nous commercialisons dès à présent des menuiseries fenêtre répondant aux performances thermiques qui seront exigées en 2020, glisse Bertrand Lafaye. Si on n’innove pas, on sera encore plus dans le rouge. C’est la crise qui pousse les entreprises à accélérer les programmes R&D, les dépôts de brevets… »
Emmené par Paul Riedel, fondateur d’Actis (Limoux) et vieux routier de Batimat (30 ans de participation !), le gardois Rayflectiss (Calvisson, 10 salariés) dévoile un isolant thermique pour les vérandas. « Depuis trois ans, nous travaillons à un store qui protège les vérandas. Dans le domaine du store qui protège des rayonnements du soleil, on n’a pas fait de progrès depuis 50 ans. Or, toutes les vérandas dans le sud de la France ont trop chaud de mai à septembre, et il n’y a pas de solution. » Le store de Rayflectiss, doublé de toile de lin et d’une feuille d’aluminium, garantit une baisse conséquente de température, assure son inventeur. Cinq vérandas-tests sont installées dans la plaine de la Vaunage.
Trois stands pour Altrad
Roi des échafaudages et des bétonnières, le groupe Altrad (3 000 salariés, Florensac) installe trois stands (350 à 550 m2) pour ses filiales Équipement, Plettac et Saint-Denis. Grande nouveauté présentée à Batimat 2009 : un plancher d’échafaudage en polyester, « plus léger, esthétique et résistant que les structures classiques en acier, aluminium ou aluminium/bois », explique Hugues Ménager, directeur commercial d’Altrad Équipement et dg d’Altrad Benelux. Autre produit phare : une structure parapluie...
Forte attente
« On prépare Batimat dès mars, glisse Christophe Derré, directeur de Profils Systèmes. Batimat nous permet de mettre en avant notre avance en matière d’innovation. C’est un salon très fréquenté par les architectes. » Batimat mobilise une équipe de vingt personnes (commerciaux, techniciens, bureaux d’études, achats…), surtout les jeudi et vendredi, « jours de plus grosses affluences ». Les nouveaux produits, déjà prêts depuis plusieurs mois, sont tenus secrets. « Il ne faut pas galvauder l’effet de nouveauté ». Kawneer envoie 30 personnes et escompte entre 1 500 et 2 000 visiteurs dans la semaine. « Pour nous, Batimat est le moyen d’attaquer les réseaux de distribution », confie Éric Beaujard, gérant de Vtec (plancher modulable pour les terrasses d’extérieur, 8 salariés, CA : 2 M€, Rivesaltes). Pour Marina Grandjean, dirigeante de Cid Plastiques (28 salariés, CA : 4,5 M€), c’est la première participation à Batimat. Elle y présente le Blufeu (isolant mince réflectif). « J’y vais pour plusieurs raisons : avoir un regard international, me faire connaître, sortir du cercle régional. Tous mes concurrents sont à Batimat… si je n’y suis pas, c’est autant d’affaires qu’ils feront à ma place ! »
Hubert Vialatte
Panorama
Deux stands pour Sud de France Export Sud de France
Export met en place deux pavillons, un dédié au gros œuvre (100 m2), l’autre à la finition et à la décoration (72 m2).
Entreprises accompagnées :
- Greenwall (conception et industrialisation de végétalisation des bâtiments, Alès),
- Cid Plastiques (isolant mince à bulles, Valergues),
- Planas (préfabriqué béton, Lattes),
- Panel Styl José Collados (panneaux anti-inondations, Nîmes),
- Geochem (créateur de sols, revêtements de sols et piscines, Clapiers),
- Krôma (sérigraphie, signalisation, Nîmes),
- Archimedes (SOS Fenêtre intelligente, Ganges),
- Association Pierres du Sud (pierres calcaires, blocs – construction et décoration, Aix-en-Provence, régions Paca et L.-R.),
- Higeo (plafond et mur réversible, Balaruc-les-Bains),
- E-Ferm (menuiseries et fermeture, Saint-Chély-d’Apcher),
- Technipierres (dallage, pavage – marbre, pierre, granit -, Esclanèdes),
- Apotheme (ferronnerie design, Juvignac),
- Solis System (logiciels menuiserie et fermeture, Nîmes).
Batimat en chiffres 1
- 34 655 m2 d’exposition.
- 2 779 exposants, dont 45 % d’étrangers issus de 48 pays.
- Lors de l’édition 2007, près de 450 000 professionnels ont fréquenté le salon, dont 18,5 % d’internationaux en provenance de 141 pays.
23:50 Publié dans Innovation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : batimat | | del.icio.us | | Digg | Facebook
03/11/2009
Eko de la Moure 02.11.2009 - Revue de Presse de Pascal Leblanc
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02/11/2009 - Recherche : Ils changent l'eau salée en électricité
Des scientifiques montpelliérains sont spécialistes de l'osmose exploitée en Norvège...
http://masdepujol.free.fr/presse/midilibre_2009_11_02_Ils...
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31/10/2009 - Nîmes - Belenos, le labo des installations solaires
S'il y a un secteur qui a le vent en poupe, c'est bien celui du solaire thermique...
http://www.midilibre.com/articles/2009/10/31/NIMES-Beleno...
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30/10/2009 - Six éoliennes de plus sur l'Espinouse ... et après ?
Le haut Hérault est une terre d'accueil des énergies renouvelables...
http://masdepujol.free.fr/presse/midilibre_2009_10_30_Six...
«Le principe d'une taxe éolienne sectorielle est arrêté, mais son montant reste un mystère angoissant pour les élus.
D'autant plus que des indiscrétions avancent une contribution de 1 200 € par mégawatt : une misère !»
Développement Professionnel Durable : David Augeix, directeur Sud d'EDF EN (ex-chef de projet d'Aumelas),
vient d'être élu vice-président de France énergie éolien, organisme qui fédère la filière éolienne française.
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30/10/2009 - Agir pour le Lévezou : « Eoliennes, devoir d'information , devoir de vérité »
Sous ce titre, et sous forme de questions-réponses, le collectif Agir pour le Lévezou, communique...
http://masdepujol.free.fr/presse/midilibre_2009_10_30_Eol...
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30/10/2009 - Et si l'état reconsidérait sa position sur l' éolien ?
Le « Collectif Agir pour le Lévézou » communique : « Alors que le GT12 (professionnels de l'éolien)...
http://masdepujol.free.fr/presse/midilibre_2009_10_27_Eta...
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10/09/2009 - Le Japon veut construire une centrale solaire spatiale
C'est un projet digne des meilleurs romans de science-fiction mais pourtant tout à fait sérieux...
http://www.notre-planete.info/actualites/lireactus.php?id...
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02/10/2009 - Feux de forêts : Plus jamais !
Le 2 octobre, un feu de grande ampleur a de nouveau touché le causse d’Aumelas (de la Moure)...
http://masdepujol.free.fr/presse/CCVH_2009_11_02_Feux-de-...
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14/08/2009 - Arrêté préfectoral pour la première ZDE de l'Hérault(34) : ZDE Montagne de la Moure
http://masdepujol.free.fr/public/AP_ZDE_colline_de_la_Mou...
http://masdepujol.free.fr/public/AP_carte_ZDE_CCNBT.pdf
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03:32 Publié dans Énergie renouvelables, Innovation, Région | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : osmose, solaire, éolien, zde, forêt, risques | | del.icio.us | | Digg | Facebook
20/07/2009
LR-Objectif Avril 2009 : Grand Prix de la « Réflexion pertinente et impertinente sur l’innovation »
27-04-2009
Deux scientifiques montpelliérains reçoivent le Grand Prix de la « Réflexion pertinente et impertinente sur l’innovation », décerné par le Cercle des Entrepreneurs du Futur.
Photo: Denis Lacroix et Sylvain Pioch
Le Cercle des Entrepreneurs du Futur, créée en 2003, est une association qui regroupe de grandes entreprises françaises (comme Bouygues, Accor, France Telecom ou Schneider) qui cherche à trouver des idées nouvelles et innovantes.
Parmi une cinquantaine de candidatures, une a particulièrement retenu l’attention : « La Mer côtière ou le développement 4D ». Il s’agit pour le moment d’un concept : utiliser au mieux « l’épaisseur de la mer ».
Il s’agirait d’exploiter cet espace, tout en le respectant. Par exemple, prendre en considération à la fois la biodiversité marine, le développement de l’aquaculture, les énergies renouvelables et le tourisme.
Deux exemples pour comprendre : les Etats-Unis et le Japon.
- Le premier s’est fixé un objectif : exploiter au mieux l’écosystème, notamment par l’intermédiaire d’épaves de bateaux : ce qui intéresse à la fois scientifique, plongeurs, pêcheurs, entrepreneurs tout en développant l’économie littorale de loisirs.
- Quant au Japon, 12 % de sa surface côtière est aménagée : coexistence de pêche et d’aquaculture, immersion de récifs artificiels (qui permettent de sauver et d’accroître certaines variétés marines).
Au total, plus de 20 000 sites ont été aménagés, en accord entre l’Etat, universitaires et entreprises privées.
La région Languedoc-Roussillon serait d’ailleurs très propice à ce genre de projet, « puisqu’elle dispose d’un vaste plateau continental peu profond, riche d'apports organiques et bien ventilé », explique Denis Lacroix, lauréat du prix et ingénieur agronome, en outre, les fermes éoliennes sont l’avenir de demain, autant dès lors aménager au mieux cet espace ».
Une ferme éolienne capable de produire plus de 100 mégawatts d’énergie coûterait environ entre 200 M€ à 300 M€ et il faudrait 1 M€ pour installer récifs artificiels, ainsi que capteurs, « Maison de la Mer » en accord avec les collectivités, le tout en créant une quinzaine d’emplois.
De l’idée à la réalisation, il ne manque que concertation entre les divers acteurs concernés et industriels intéressés.
17:22 Publié dans Aquaculture, Énergie renouvelables, Innovation, Pisciculture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : denis lacroix, sylvain pioch, développement cotier, emplois | | del.icio.us | | Digg | Facebook
11/07/2009
Midi Libre Montpellier 10/07 – Entreprises - L'Agglomération fête sa pépinière de talents
R. DE HULLESSEN
« On commence à avoir l'habitude des prix ! », se réjouit Gilbert Pastor. Et il y a de quoi : le vice-président de la communauté d'agglomération en a remis, mercredi, une dizaine à de nouvelles entreprises.
Un palmarès rendu possible grâce à l'action du BIC. Le Business and innovation center, installé à Cap Oméga, porte ses fruits, plaçant l'Agglomération à la troisième place française.
Depuis sa mise en place, en 2004, iL veille, en effet, à l'accueil et à l'appui financier de ces nouvelles structures. Accompagné de la directrice du centre, Patricia Reeb, Gilbert Pastor a félicité dix entreprises soutenues et devenues lauréates du concours national d'aide à la création d'entreprises de technologie innovante, remis par le ministère de la Recherche.
Un moyen pour ses entreprises, en plus de la valorisation de leur travail, de recevoir des aides financières conséquentes, allant de 18 000 € à 200 000 €.
Au côté de ces récompensés, le BIC a eu le droit à ses propres trophées. Parmi eux, la certification AFAQ ISO 9001 qui récompense l'investissement du personnel de la structure. Autre prix présenté mercredi, l' Euroleaders Award , reçu à Fès, au Maroc. Il distingue le BIC dans la catégorie meilleurs outils , grâce à une gamme de logiciels dédiés aux entreprises innovantes.
Antoine GRENAP
Objectif LR 10/07 - Le BIC sous une pluie de récompenses !
Le Business and Innovation Centre (BIC) de Montpellier reçoit le prix Euroleaders Award, la certification ISO 9001 version 2008 et 10 projets ont été primés lors de la 11e édition du Concours National d’aide à la création d’entreprises innovantes
Tout va bien pour l’incubateur d’entreprises montpelliérain (BIC), qui remporte le prix Euroleaders Award, décerné lors du congrès EBN (European BIC Network) qui s’est tenu à Fez en juin dernier et qui récompense les success story, les outils, méthodes et le fonctionnement des BIC.
Deuxième distinction, la certification ISO 9001 version 2008 pour son accompagnement à la création et au développement des entreprises innovantes.
Enfin, 15 projets, dont 10 co-accompagnés par le BIC de Montpellier Agglomération et Languedoc-Roussillon Incubation (LRI) et 5 seulement par LRI ont été primés lors de la 11e édition du Concours national d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes, organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur. 1 516 000 € ont ainsi été attribués pour soutenir ces projets.
02:32 Publié dans Financements, Innovation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cam, ministère de la recherche | | del.icio.us | | Digg | Facebook