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17/05/2010

Montpellier décroche le pôle mondial de l’eau

Région - Objectif LR - 17-05-2010

Après trois ans de tractations, le label est enfin attribué. Q@LI-Mediterranée, l’un des 6 autres pôles de la région, voit le sien confirmé après quelques difficultés

La visite fin avril à Montpellier du ministre de l’Industrie, Christian Estrosi, avait été prometteuse… c’est désormais officiel !
Après décision du comité interministériel de l’aménagement et du développement du territoire (CIADT) réuni le 11 mai, un nouveau pôle de compétitivité à vocation mondiale consacré à l’eau vient d’être labellisé à Montpellier, au nez et à la barbe de 18 concurrents.

Sébastien Fontbonne, nouveau directeur du pôle Eau, promet de « fédérer les forces des entreprises et des chercheurs » pour faire émerger des projets axés sur

  • l’identification et la mobilisation des ressources en eau,
  • la gestion concertée de la ressource en eau
  • et la réutilisation des eaux de toutes origines.

Plusieurs figures politiques ont salué et félicité la création de ce pôle, qui représente selon le président de Région Georges Frêche, « un atout considérable » qui « permettra d’attirer de nouvelles entreprises et de créer de l’emploi ».
Le premier vice-président de Montpellier Agglomération, Jean-Pierre Moure, a quant à lui signalé que la « collectivité restera un partenaire incontournable de ce nouveau pôle ».

Par ailleurs, le pôle déjà existant Q@li-MEDiterranée (sur l’agriculture et les produits innovants) est à nouveau labellisé.

En 2008, ce pôle s’était fait épingler à la suite d’une évaluation et avait été sommé de revoir en profondeur sa stratégie sous peine de perdre le label. C’est chose faite.

Le pôle a recentré sa thématique sur deux axes : une agriculture méditerranéenne compétitive et durable, et le développement de procédés innovants au service de l’industrie agro-alimentaire

Ysis Percq

Retrouvez dans le prochain numéro d’Objectif Languedoc-Roussillon (sortie le 28 mai) un supplément spécial sur les pôles de compétitivité du Languedoc-Roussillon.

Crédit photo : Ysis Percq
Légende : Le préfet de région, Claude Baland, accompagné des acteurs des pôles de compétitivité de la région, lors de la conférence sur la labellisation du pôle Eau.

Six nouveaux pôles de compétitivité dédiés aux éco-technologies labellisés

POLITIQUE - Actu-Environnement.com - 12/05/2010

Le Comité interministériel pour l'aménagement et le développement du territoire (Ciadt), réuni le 11 mai, a décidé de labelliser six nouveaux pôles dédiés aux éco-technologies, dans les domaines de l'eau, de la gestion des déchets, de la construction et de l'énergie, suite à l'appel à projet lancé le 30 juin 2009.

Il s'agit du

  • pôle ''Eau'' à vocation mondiale (gestion rationnelle des usages et assainissement pour une utilisation sécurisée; Languedoc-Roussillon, PACA et Midi-Pyrénées)
  • et ''Gestion des eaux continentales'' (qualité, santé, écosystèmes et maîtrise des polluants; Alsace-Lorraine).

Les quatre autres nouveaux pôles concernent :

  • ''Dream - Eaux et milieux'' (durabilité de la ressource en eau, énergie renouvelable et milieux naturels; Centre),
  • ''Avenia'' (gestion du sous-sol, capture et stockage du CO2, géothermie; Aquitaine),
  • ''Team²'' (valorisation des déchets, sites et sols pollués; Nord-Pas-de-Calais)
  • et ''Energivie'' (bâtiment durable et efficacité énergétique; Alsace).

Rappelons qu'en juin 2008 sur les 71 pôles de compétitivité que compte la France, 58 avaient rempli leurs objectifs.

Seuls sept des treize pôles qui ''présentaient des insuffisances importantes à l'issue de leur évaluation'' ont vu leur label renouvelé. Ces 7 pôles sont :

Pour ces pôles, ''un contrat de performance sera signé par le pôle, l'Etat et les collectivités territoriales impliquées'', a souligné le Ciadt.

En revanche, six autres pôles ont perdu leur label :

  • Mobilités et transports avancés (MTA),
  • Innoviandes,
  • Enfant,
  • Sporaltec,
  • le pôle Génie Civil-Eco-construction
  • et Prod'innov.

''Pour ces pôles non reconduits, les services de l'Etat sont mobilisés afin d'identifier des pistes de sortie, qui tiendront compte des spécificités de chacun : rapprochement avec d'autres pôles, mise en place de dispositifs de grappes d'entreprise, procédures de financements locaux ou nationaux'', a précisé Matignon.

''Le non-renouvellement ne doit pas être interprété comme un échec ou une sanction'', a déclaré hier le Premier Ministre François Fillon. ''Il s'avère simplement que les pôles de compétitivité ne constituent pas une réponse universelle à l'ensemble des politiques et des enjeux et qu'il y a des cas où d'autres politiques sont mieux adaptées'', a-t-il souligné.

Le Premier Ministre a également annoncé une ''prolongation d'un an de la phase 2 des pôles de compétitivité'' qui devait initialement s'achever en 2011. Une nouvelle évaluation des pôles aura donc lieu en 2012.

Rachida Boughriet

 

Un pôle de compétitivité "Eau" à vocation mondiale pour la PACA

SophiaNet.com - Jean-Pierre Largillet, le 12 mai 2010

La PACA va porter avec le Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, un des six nouveaux pôles dédiés aux écotechnologies qui ont été labellisés mardi par le Ciadt (Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire). Le pôle PASS de Grasse, qui avait été incité à revoir sa copie en 2008 en même temps que treize autres pôles, a pu renouveler son label.

Un nouveau pôle "Eau" à vocation mondiale pour la PACA et donc pour la Côte d'Azur : c'est la bonne nouvelle qu'a apportée la réunion du Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire qui s'est tenue mardi à Paris. Le Ciadt a labellisé en effet six nouveaux pôles de compétitivité liés aux écotechnologies dont un pôle "Eau" porté par la Paca et deux autres régions du sud, le Languedoc-Roussillon, et Midi-Pyrénées. Les cinq autres pôles dédiés aux écotechnologies concernent d'autres régions :

  • "Gestion des eaux continentales" (Alsace-Lorraine),
  • "Dream - Eaux et milieux" (Centre),
  • "Avenia - Gestion du sous-sol, capture et stockage du CO2, géothermie" (Aquitaine),
  • "Team² - Valorisation des déchets" (Nord-Pas-de-Calais)
  • "Energivie - Bâtiment durable et efficacité énergétique" (Alsace).

Des pôles dédiés aux écotechnologies dans la logique du Grenelle de l'environnement

Christian Estrosi,ministre de l'industrie et président de Nice Côte d'Azur et Michel Mercier, ministre de l'Aménagement du Territoire (un ministère que connaît bien le maire de Nice pour l'avoir dirigé et lancé en 2005 la politique des pôles de compétitivité) étaient d'ailleurs cet après-midi à Nice, dans les locaux de Veolia, pour présenter ces nouveaux pôles écotechnologies et notamment le pôle "Eau". Dans la matinée, les deux ministres se trouvaient à Paris en compagnie de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno, pour présenter ces labellisations effectuées dans le sillage du vote de la loi Grenelle 2 au Parlement.

Pour Chantal Jouanno, cette labellisation entre bien dans la logique de Grenelle de l'environnement. Dans ce cadre,  des dispositions ont été prises qui vont stimuler la demande et créer des besoins a expliqué la secrétaire d'Etat à l'Ecologie. En face, il était nécessaire de prendre des mesures apportant des réponses et stimulant l'offre. Christian Estrosi, de son côté, s'est réjoui de la labellisation des six nouveaux pôles. Il a rappelé ce qu'il avait eu l'occasion de dire devant les industriels azuréens lors de la restitution du Livre Blanc de l'Industrie des Alpes-Maritimes : la croissance verte c'est l'avenir. Selon lui, elle représente un potentiel de 50 milliards d'euros d'activité et de 280.000 emplois d'ici 2020.

Grasse : le pôle PASS sauve son label

Cette récente réunion du Ciadt n'aura pas fait cependant que des heureux. Lors de l'évaluation des quelque 71 pôles français réalisée en 2008, treize pôles, dont celui des Parfums, Arômes, Senteurs, Saveurs à Grasse (PASS), avaient été invités à revoir leur copie en raison des insuffisances qui avaient été pointées. Mardi, six de ces treize pôles se sont vus retirer leur label et bénéficieront d'une procédure d'accompagnement et de sortie. Un délabellisation qui n'a pas manqué de faire grincer des dents.

Le pôle PASS, qui avait engagé un gros travail de refonte, a pu quant à lui conserver son label qui lui a été renouvelé. Ont perdu leur label les pôles "Mobilités et transports avancés" (Poitou, Futuroscope), "Innoviandes" (Auvergne), "Enfant" (Cholet, Maine-et-Loire), "Sporaltec" (Rhône-Alpes), "Génie civil/éco-construction" (Nantes-Saint-Nazaire) et "Prod'innov" (Aquitaine). Une nouvelle évaluation devrait avoir lieu en 2012 alors que la deuxième phase du dispositif, qui devait initialement s'achever en 2011, a été prolongée d'un an.

16/05/2010

En hausse, en baisse, en attente. A revoir …

Midi Libre SETE

Édition du dimanche 16 mai 2010

En hausse LES LOGAN SUR LE PORT.


Si le trafic sur le port de commerce a connu une embellie à la fin du premier trimestre (lire Midi Libre du 30 avril), c'est en grande partie grâce

  • aux engrais conditionnés,
  • à la pâte à papier,
  • au bétail
  • et aux voitures.

    Sur ce secteur automobile, où la hausse du trafic est de 95 % (!) par rapport à 2009, c'est la Logan de Renault, gros succès commercial, qui tient la corde.

En baisse LE SYNDICAT MIXTE DU BASSIN DE THAU

On attend toujours le volet maritime qui permettra de boucler le Scot (Schéma de cohérence territoriale) du Syndicat mixte du bassin de Thau.

Un SMBT financé à 80 % par Thau Agglo, a rappelé Pierre Bouldoire lundi à Sète, en ajoutant que si l'Agglo devait fusionner avec la CCNBT, le SMBT disparaîtrait. Son président, François Commeinhes, appréciera.

En attente L'ÉCLOSERIE D'HUÎTRES

Les mortalités frappant les huîtres juvéniles sont hélas réapparues sur l'étang ces derniers jours.

On sait que pendant ce temps, une sélection est faite au niveau national afin de sélectionner les huîtres les plus résistantes au virus.

En revanche, toujours pas de consensus en vue de la création d'une écloserie qui libèrerait les producteurs locaux du joug de l'Atlantique.

A revoir la Sécurité publique : Boston n'enverra plus ses étudiants à Sète

Édition du dimanche 16 mai 2010

Boston n'enverra plus ses étudiants à Sète

16 élèves architectes avaient passé trois mois pour travailler notamment sur les halles. Mais leur séjour s'est mal terminé...

« Le rythme de vie ici est très paisible. Les gens sont beaucoup plus détendus » , avait confié fin février à Midi Libre Alexandria, l'une des seize étudiant(e)s américains venus passer trois mois à Sète pour plancher, notamment, sur les halles (lire ci-dessous).

Mais la fin de leur séjour aura hélas mis à mal l'image d'une ville indolente. Car le 21 avril au soir, au Lazaret, alors qu'ils rentraient à pied à la Corniche où ils occupaient des studios, huit d'entre eux ont été agressés par trois ou quatre individus ivres, armés de barre de fer. Bilan : deux blessés, l'un à la tête, l'autre à une main (doigt cassé), un portable volé. Aucune plainte n'a été déposée car le groupe a quitté Sète le lendemain même pour ne pas modifier son programme.

Après quelques jours passés à Venise et Turin, les étudiants ont repris l'avion à Münich pour Boston. Où les dirigeants de leur école, le Wentworth Institute of Technology, ont déjà décidé qu'ils n'enverraient plus personne à Sète.

Un coup dur pour Nicolas Westphal, l'architecte qui avait mis sur pied ce premier séjour, censé être reconduit chaque année. Mais il comprend ce boycott : « Il y a un réel problème d'insécurité à Sète. Les étudiants avaient souvent été embêtés le soir quand ils sortaient du local de la rue Général-de-Gaulle où ils travaillaient, et où des individus se livrent à du trafic. Il leur arrivait aussi d'être importunés par des jeunes en scooter à la Corniche. Cette agression a été de trop. Elle a créé un traumatisme. » Et si jamais Boston décidait d'envoyer de nouveaux étudiants l'an prochain dans l'Hérault, « c'est à Montpellier qu'ils seraient accueillis »...

Marc CAILLAUD mcaillaud@midilibre.com

lls ont bossé sur les halles

S'il s'est très mal terminé, le séjour des étudiants américains avait été jusque là « dense et passionnant », souligne Nicolas Westphal. « Il s'agissait d'abord de les immerger dans la totalité de la ville. Ils ont ainsi pu rencontrer beaucoup de monde, élus, artistes, commerçants, etc, se rendre dans différents quartiers, visiter de nombreux bâtiments, des structures sociales, culturelles... »

L'autre volet du séjour, c'était de faire plancher les étudiants sur les halles, dont le bâtiment central fait par ailleurs l'objet d'un projet d'amélioration. « Ils se sont intéressés à reconfigurer l'ensemble formé par les halles, la salle Georges-Brassens et la toiture, en y intégrant une ludothèque-café. Leurs maquettes ont été présentées aux élus et aux services techniques. Ils y ont vu des idées très intéressantes et des pistes à étudier . »

La qualité de leurs travaux aurait mérité meilleure récompense que de mauvaises rencontres...

04/05/2010

Objectif-LR - Pôle eau à Montpellier – Futura Sciences – Cactus pour traiter eau

03-05-2010

Le ministre de l’Industrie souhaite un pôle de l’eau à Montpellier

En déplacement le 29 avril à Montpellier, Christian Estrosi a assuré qu’une annonce serait faite mi-mai sur la création d’un 6e pôle de compétitivité en région.

En visite à l’Université de Montpellier II, le ministre de l’Industrie a confirmé à mots couverts la création prochaine d’un pôle mondial de compétitivité sur l’eau basé à Montpellier et associant les régions de Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et PACA :

« Je ne peux pas vous confirmer le verdict avant l’heure, mais ce n’est pas un hasard si je suis ici aujourd’hui. Je suis convaincu que votre cluster a les qualités pour rayonner à l’international. »

Christian Estrosi a confirmé que la stratégie nationale d’industrialisation se verra dotée d’une nouvelle feuille de route. La création fin mai d’un label « Entreprise innovante » devrait permettre d’intégrer plus facilement les « business angels » et le capital-risque au sein des pôles pour faciliter « le passage d’une culture de la recherche à une culture de l’innovation industrielle. »

En outre, cinq clusters mondiaux seront créés à partir des 71 pôles actuels, initiés en 2004 dans toute la France.

Retrouvez un dossier complet sur les pôles de compétitivité de la région dans le supplément du prochain n° d’Objectif Languedoc-Roussillon (104), en kiosque le 28 mai.

Légende : Christian Estrosi, ministre de l’industrie, avec Danièle Hérin, présidente de l’Université de Montpellier II
Crédit photo : Edouard Hannoteaux

Eau potable : du cactus pour traiter l'eau dans les pays du tiers-monde

Par Grégoire Macqueron, Futura-Sciences http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-du...

Le figuier de Barbarie produit des fruits délicieux et des piquants qui en font une clôture efficace pour le bétail dans les pays en voie de développement. Ses tiges charnues renferment aussi une substance capable d’éliminer les impuretés et une très grande partie des bactéries de l'eau. Une aubaine pour les pays en développement qui souffrent d’importants problèmes d’accès à l’eau potable !

L’accès à l’eau potable est un enjeu sanitaire très important dans les pays en voie de développement où plus d’un milliard de personnes n’y ont pas accès et où huit millions de personnes meurent par an des maladiespropagées par l’eau selon l’Unesco.

Plusieurs études de terrain ont montré que les installations de traitement des eaux dans ces pays souffraient d’un problème de coût et de robustesse technique qui provoque leur abandon. D’après ces études, la meilleure solution est d’utiliser des ressources locales pour assurer l’usage à long terme de ces installations.

Après les graines de Moringa (Moringa oleifera), c’est au tour du figuier de Barbarie (Opuntia ficus-indica) d’apporter un moyen bon marché, simple et accessible de potabilisation des eaux. Comme le Moringa, le figuier de Barbarie pousse dans les pays en développement (d’Amérique latine, d’Afrique et du Moyen-Orient) et contient des substances de floculation.

Ainsi que l’explique Norma Alcantar de l’Université de la Floride du Sud (USF) dans la revue Environmental Science and Technology, ce cactus était déjà utilisé par les Mexicains pour purifier l’eau au 19e siècle. Son équipe a donc cherché un moyen d’exploiter ce cactus originaire du Mexique pour améliorer la qualité des eaux de boisson. Ainsi, après la gueule de bois, ce cactus pourrait lutter contre un autre problème de boisson, plus vital.

Du jus de cactus qui élimine près de 98% des bactéries

Les expériences sont concluantes puisque l’extrait des raquettes (tiges charnues) du figuier de Barbarie assure une agrégation des particules desédiment et des bactéries contenues dans les eaux testées. Une fois ces agrégats tombés au fond des réservoirs, l’eau se trouve débarrassée de ses sédiments et de 97 à 98% des bactéries.

Ce pouvoir de floculation est dû au mucilage des raquettes, qui sert à la plante à stocker l’eau. Facilement extractible en faisant simplement bouillir les tiges de figuier, cette substance qui gonfle au contact de l’eau et forme un gel s’est révélée efficace comme agent floculant pour les sédiments testés, des argiles, et pour Bacillus cereus, une bactérie commune responsable d’intoxication alimentaire (nausées, vomissements, diarrhées) chez les personnes au système immunitaire déprimé.

Si le mucilage de ce cactus ne garantit pas l’élimination de toutes les bactéries ni des divers polluants qui peuvent contaminer l’eau, cette technique de traitement des eaux améliore significativement la qualité des eaux de boisson et donc l’accès à l’eau potable. Sous réserve d’une capacité de production suffisante en figuiers de Barbarie, les pays en voie de développement pourraient adopter durablement cette technique simple d’usage et bon marché.

13:26 Publié dans Eau, Pôle compétitivité Eau, Recyclage | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook