Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/05/2011

La face répugnante de l'Europe confrontée aux exploitations sordides

Quand je ne trouvais pas de produits français sur nos marchés, je faisais un zeste plus confiance aux produits agricoles espagnols qu'à eux provenant d'Italie en raison de leur proximité de décharges sauvages et de la Mafia.

Mais maintenant? Combien de temps encore avant que notre Europe et son libéralisme exemplaire, ne daignent enfin se pencher sur toutes ces questions d'exploitation sordides, y compris celles de nos procheries bien françaises ?

Concombre espagnol : La piste de « RE-USE »

PAR MARC LAIMÉ, 31 MAI 2011

Alors que les hôpitaux allemands sont submergés par les malades, les concombres importés d’Espagne semblent avoir fait un onzième mort lundi. Tandis que la Belgique et la Russie ont décidé d’arrêter l’importation de concombres tueurs, les autorités sanitaires allemandes et européennes recherchent toujours l’origine de la bactérie transmise par la consommation de concombres contaminés. Avec une omission de taille : le fait que l’Espagne utilise massivement depuis des années des eaux usées recyclées pour l’irrigation agricole !

http://www.eauxglacees.com/Concombre-espagnol-la-piste-du...

Lire aussi, l'éditorialiste satirique Thierry DESJARDINS qui note le 1er juin:

"Ne sachant pas comment expliquer une nouvelle maladie qui commence à faire des ravages, un laborantin de la région d’Hambourg accuse les concombres espagnols. Pourquoi pas les cornichons vénézuéliens ou le rutabaga coréen ? Une heure plus tard, toutes les télévisions de la planète font des émissions spéciales sur les concombres, sur le sud de l’Espagne, sur l’histoire des cucurbitacées, sur l’après-franquisme."

http://www.thierry-desjardins.fr/2011/06/le-concombre-le-...

Fraises espagnoles, un bilan écologique et social catastrophique

Dimanche 27 Avril 2008, Par Claude-Marie VadrotPolitis.Fr

Non seulement les fraises importées d’Espagne n’ont aucun goût, mais elles représentent une catastrophe environnementale et sanitaire. Voici de quoi vous en dégoûter à tout jamais…

http://www.politis.fr/Fraises-espagnoles-un-bilan,3538.html

21:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

13/05/2011

Modernisation du port SETE Sud de France

Objectif-LR - Un nouveau portique pour booster le port de Sète

Région 02-05-2011

http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualite...

L’équipement, d’un coût de 6,5 M€, sera réceptionné par l’Établissement public régional Port de Sète Sud de France vendredi prochain. La mise en service est prévue à la fin du mois.

Après une phase de montage au Portugal, et plusieurs semaines d’essais préalables, le nouveau portique du Port de Sète sera réceptionné vendredi prochain, 6 mai 2011.

D’un coût de 6,5 M€ investis par la Région, l’équipement vient compléter le portique actuellement en service sur le quai en eau profonde.

« Le nouveau portique dispose d’une force de levage de 60 tonnes, contre 34 tonnes pour le portique actuelle, précise le directeur commercial de l’Établissement public régional (EPR) Port de Sète, Arnaud Rieutort. Il sera capable de manutentionner des porte-conteneurs de 14 et 15 rangées. En améliorant la productivité de chargement et de déchargement des bateaux, il aidera également à réduire les coûts logistiques supportés par les armateurs. »

Le port de Sète développe actuellement une capacité de 20 000 EVP (Équivalent Vingt Pieds, taille standard d’un conteneur), et vise 180 000 EVP d’ici 2017.

La Région a lancé un programme d’investissement de 200 M€ sur dix ans

sur le port de Sète, incluant notamment des travaux sur le quai H, pour le porter à une longueur de 467 m en 2014.

Anthony Rey

Légende : Le nouveau portique, d’une hauteur de 44 m, dispose d’une force de levage de 60 tonnes.
Crédit photo : EPR Port de Sète

Econostrum : Sète : Nouveau portique en vue

Le deuxième portique à conteneurs de Sète est attendu dimanche 15 mai 2011. (Photo DR)

Le deuxième portique à conteneurs de Sète
est attendu dimanche 15 mai 2011. (Photo DR)

FRANCE. Le nouveau portique panamax construit par Eurocrane devrait rejoindre Sète, son port d’attache dimanche 15 mai 2011 pour une mise en service dans les jours suivants. 

Face à l'accélération de la croissance des flux de trafics conteneurisés, l’Etablissement Public Régional Port de Sète a investit conjointement avec GF Group dans cet engin d’un coût de 6,5 M€. 

Le portique permet de travailler des porte-conteneurs sur une portée de 44 mètres. Il disposera d’une force de levage de 60 tonnes sous spreader et 75 tonnes sous crochet en exceptionnel et viendra compléter le portique actuel déjà en service le long du quai en eau profonde. Il sera capable de manutentionner unitairement des conteneurs de 40’ voire 45’ ou en simultané  2 conteneurs de 20’ en position twin lift. 

Reefer Terminal Sète, filiale de GF Group, s’est donné comme objectif de traiter dès 2017/2018, l'équivalent de 180 000 EVP par an. « Soutenu par un investissement Régional de 300 M€ sur les dix prochaines années, l’EPR Sud de France a pour but de développer considérablement la capacité du port pour les conteneurs (20 000 EVP en 2011 contre 6 500 ) permettant ainsi d’asseoir l’activité portuaire et logistique, porteuse d’emplois », a indiqué la direction du port de l’Hérault .

Vendredi 13 Mai 2011
Nathalie Bureau du Colombier
http://www.econostrum.info/Sete-Nouveau-portique-en-vue_a... 

 

Hérault 15-03-2010

http://www.objectif-lr.com/languedoc-roussillon/Actualite...

Objectif-LR - Un nouveau terminal frigorifique sur le port de Sète

L’opérateur portuaire italien GF Group a confié la réalisation de l’entrepôt à un expert en immobilier, le Groupe Salini. À la clef : 200 emplois

Le nouveau terminal frigorifique est destiné à recevoir de la marchandise de navires et à en assurer la manutention ainsi que le transit, à l’horizon 2011.


Les perspectives sont importantes à en croire son président, Antonio Orsero : « À Sète, nous espérons rapidement monter à 400 000 tonnes de fruits et à 200 000 conteneurs, voire 300 000. »

Le projet pourrait créer près de 200 emplois d’ici à 5 ans.

Le Groupe Salini, qui s’est imposé sur le marché du bâtiment clé en main dans l’immobilier d’entreprises, a remporté l’appel d’offres pour ce bâtiment de 20 200m2 sur le port de Sète.

En Languedoc-Roussillon, la société (100 salariés et 40 M€ de CA en 2009) a déjà réalisé l’entrepôt frigorifique du Lidl de Béziers.

Crédit-photo : Groupe Salini

 

12/05/2011

Econostrum - Petits ports de Méditerranée cherchent grands investisseurs

Accords commerciaux entre ports, développement des plates-formes logistiques, lignes multimodales pour accroître l’hinterland… Qu’ils soient grands ou petits, les ports de Méditerranée ont en commun cette soif de faire grandir leurs trafics et d’y développer des services à valeur ajoutée.
Civitavecchia, Port-Vendres et Sète lèvent un coin de voile sur leur stratégie.

Arnaud Rieutord, directeur du développement du port de Sète. (Photo NBC)

Arnaud Rieutord, directeur du développement du port de Sète. (Photo NBC)

MÉDITERRANÉE.

« Partant du constat que 95% du fret maritime transite par la Méditerranée, il existe un grand potentiel de développement de nos ports et il faut une bonne stratégie pour parvenir à attirer ces flux et convaincre les investisseurs de choisir notre port », a expliqué le 5 mai 2011 Arnaud Rieutord, directeur du développement du port de Sète lors du salon de la filière fruits et légumes de l’EuroMéditerranée (Medfel) qui s’est tenu à Perpignan. 

L’opérateur italien GF Group, basé à Savone Vado, a misé sur le port du Languedoc-Roussillon en faisant l’acquisition d‘un portique à conteneurs et en construisant un terminal fruitier dont l‘inauguration est prévue pour juin 2011.

Sète croit aux trafics créateurs de valeur ajoutée tels que les fruits et légumes source d’emplois pour la région. Afin d’élargir son hinterland, le port va bénéficier d’ici à la fin de l’année 2011 du lancement par TAB d’une navette ferroviaire avec Paris (Valenton-Avignon et Sète)  destinée au transport de caisses mobiles. Un atout pour les quatorze parcs logistiques régionaux. Avec une pointe de réalisme, oserait-on dire que ce port marche bien et attire les opérateurs en raison de l’incapacité du grand port voisin à gérer ses conflits sociaux ?

Ainsi, la ligne Méditerranée-Caraïbes de Marfret et CMA CGM dessert depuis les grèves de fin 2010 Sète au lieu de Marseille. Tout comme Agrexco, fidèle depuis quarante ans à la cité phocéenne qui lui a définitivement tourné le dos en 2009.  « Merci Marseille ! Grace aux grèves nous gagnons de nouveaux clients qui voient les changements et veulent rester chez nous », lance Arnaud Rieutord qui dit être complémentaire de Port-Vendres. 

Port-Vendres, un port "artisanal" tourné vers l'Europe du Nord.

Bernard Fourcade, vice-président de la CCI de Perpignan et des Pyrénées-Orientales et de la Commission du port de Port-Vendres. (Photo NBC)

Bernard Fourcade, vice-président de la CCI de Perpignan et des Pyrénées-Orientales
et de la Commission du port de Port-Vendres. (Photo NBC)

Le deuxième port fruitier de la Méditerranée (Marseille conserve contre vents et marées sa place de leader), Port-Vendres traite entre 300 000 et 350 000 tonnes de fret selon les années. « Nous sommes un port artisanal dédié aux fruits et légumes », se plaît à souligner Bernard Fourcade, vice-président de la CCI de Perpignan et des Pyrénées-Orientales et de la Commission du port de Port-Vendres.

Il n’empêche que des trains complets partent chaque jour depuis le marché Saint-Charles, près de Perpignan, (par où transitent 1,5 million de tonnes par an de fruits et légumes) vers Rungis et que le service de Lorry-Rail, malgré quelques difficultés de jeunesse, monte en puissance avec « quatre rotations par semaine et cinquante camions chargés par rotation », relève M. Fourcade ajoutant au passage que depuis Barcelone des trains complets de 1 500 mètres partent chaque semaine vers le Nord de l’Europe.

Civitavecchia mise sur les réseaux interportuaires.

Franco Ronzi, gérant de Marinvest, représentait au Medfel le port de Civitavecchia aux côtés de son secrétaire général Giuseppe Guacci. (Photo NBC)

Franco Ronzi, gérant de Marinvest, représentait au Medfel le port de Civitavecchia
aux côtés de son secrétaire général Giuseppe Guacci. (Photo NBC)

Aussi efficaces et attirants soient-ils, ces ports sont limités de par leur géographie. Cerné par les montagnes, Port-Vendres peut tout au plus traiter 600 000 tonnes. Retenue en 2009 dans le cadre de Marco Polo, la ligne de CMA-CGM entre Agadir et Port-Vendres axée sur les trafics de fruits et légumes tourne aujourd’hui à plein régime.

Pour Franco Ronzi, gérant de Marinvest, représentant le port de Civitavecchia aux côtés de son Secrétaire général Giuseppe Guacci, nul doute que la croissance passe par la coopération inter-portuaire. Le réseau des ports de Rome et du Lazio associe Civitavecchia à Fiumicino et Gaète.

A l’international, les protocoles d’accord signés fin 2010  avec l'Égypte et Israël n’ont pu trouver de concrétisation en raison de la situation politique et économique dans ces pays. Idem avec Agadir et Tanger s’agissant de la filière agroalimentaire où tous les projets sont gelés jusqu’à nouvel ordre (Iside Project).

Présent à Civitavecchia, Marinvest y exploite depuis sept ans des lignes à passagers sur un terminal donné en concession. Affiliée à l’armement MSC, Marinvest ambitionne d’y développer son activité croisières avec un nouveau terminal passagers en projet. « Pour gérer l’escale de 50 000 personnes par jour, il faut être bien organisé ! », remarque Franco Ronzi.

Le port s’appuie également sur Roma Container Terminal d’une capacité de 400 000 Evp par an import/ export et de 700 000 Evp en transbordement. Un trafic essentiellement drainé par MSC qui a mis en place un nouveau service entre l’Amérique Latine et l’Afrique du sud tourné vers les fruits et légumes. Civitavecchia mise également sur le ro-ro et les autoroutes de la mer vers la France (même si celle-ci fut un échec), la Tunisie, Malte, la Sicile et la Sardaigne.

Mercredi 11 Mai 2011

Nathalie Bureau du Colombier

02:07 Publié dans Commerce, Port Sud de FRANCE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

05/05/2011

Agglo et Réforme fiscalité locale

MIDI LIBRE  Édition du 04/05/2011

Frontignan Les nouvelles recettes fiscales de l’agglo

Ô joie des nouveaux sigles fiscaux depuis la suppression de la taxe professionnelle... Même les services de l’Etat ont du mal à s’y retrouver, dit-on à Thau agglo. Tentons tout de même d’y voir un peu plus clair dans cette réforme complexe dont les conséquences étaient à l’ordre du jour du dernier conseil communautaire, réuni à Vic.

La CET, c’est quoi ?

La CET (Contribution économique territoriale) constitue désormais le principal impôt économique local perçu par Thau agglo. Elle se compose de deux parts distinctes :

  • la CFE (Cotisation financière des entreprises), qui correspond à l’ancienne part foncière de la taxe professionnelle (TP),
  • et la CVAE (Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises).

Taux CFE : 40,54 %.

Contrairement au taux de la CVAE , fixé au niveau national, celui de la CFE est fixé par les communes ou regroupements intercommunaux. Pour 2011, Thau agglo pouvait adopter un taux maximum de 40,80 %. Le conseil communautaire a finalement choisi de le maintenir à 40,54 %, soit le taux d’imposition de référence de 2010.

"Nous mettons en réserve cette majoration de 0,26 % pour l’utiliser dans les deux prochains exercices et faire face à d’importants investissements", souligne Jean-Pierre Deneu, vice-président délégué aux finances.

Taxe d’habitation et taxe sur le foncier non bâti.

Du fait de la réforme, les anciens EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) à taxe professionnelle unique, comme Thau agglo, perçoivent d’office, depuis le 1er janvier,

  • une part de la taxe d’habitation (TH)
  • et une part de la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)

acquittées par les ménages.

Thau agglo a donc également voté les taux correspondants pour 2011,

  • soit 11,08 % (TH)
  • et 3,81 % (TFPNB).
Nouvelles ressources

La perte de la TP est en outre compensée par de nouvelles ressources

  • impôt forfaitaire sur les entreprises de réseaux,
  • taxe sur les surfaces commerciales,
  • ...

Au total, désormais, 49 % des recettes de l’agglo proviennent des ménages et 41 % des entreprises.

MARC CAILLAUD
Mis à jour le 05/05/2011, 12 h 14

13:31 Publié dans Agglo, Décisions budgétaires | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

04/05/2011

Evolutions des incitations des Collectivités à se regrouper

Le Maire de Sète évoque comment depuis l’idée de fusion des agglos avec Montpellier, les règles d’intercommunalité ont évoluées.

A l’occasion de ses 10 ans de conduite des affaires sétoises, il récapitule les évolutions économiques et culturelles qui ont marqué la vie du Port et de la Ville, et  fait la promotion de sa ville sous le néologisme de Sète 2.0.

 

17:19 Publié dans Bilans, Pêche, Port Sud de FRANCE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

03/05/2011

Tourisme local vu du reste du Monde

Languedoc-Roussillon Les utilisateurs de TripAdvisor élisent trois villes de la région dans le Top 25 de leurs destinations préférées

C. G.

MIDI LIBRE  03/05/2011, 15 h 44

La cité de Carcassonne huitième du classement des destinations pour les utilisateurs du site TripAdvisor. (Archives)

Le site web d’aide à l’organisation du voyage TripAdvisor vient de publier son Traverller’s Choice 2011, classement mondial des destinations préférées de la communautés de ses utilisateurs (environ 50 millions de visiteurs mensuels selon le site). La ville de Cape Town, en Afrique du Sud, arrive première tous pays confondus.

Trois villes du Languedoc-Roussillon font partie du classement français, dominé de façon prévisible par Paris, suivie par le Mont Saint-Michel (2e) et Nice (3e). Carcassonne et sa cité, qui figurent au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, se classent dans le Top 10 en arrivant en huitième place.

Les autres performances régionales sont nettement moins mémorables, puisque Montpellier arrive 24e (conseillée par le site pour  "tomber malade en vacances" !), immédiatement suivie en bonne dernière par Collioure dans les P.-O..

16:48 Publié dans Tourisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook