30/09/2008
Comment Veolia et Frêche se sont payés un « Congrès mondial de l’eau »
De Jean-Louis Couture (Région de Montpellier , France) - Consultant international - gestion institutionnelle et sociale de l'eau, des ressources naturelles et du foncier
Les Montpelliérains ont eu la surprise de se découvrir habitants de la « capitale mondiale de l’eau » en cette rentrée de septembre 2008 dans la « seule région de France ayant réussi à maîtriser l’eau ».
Depuis 3 ans, le congrès d’une discrète association scientifique internationale, l’IWRA[1], Association Internationale des Ressources en Eau, créée en 1972 dans un contexte international tendu sur une ressource naturelle toujours convoitée, et qui vivotait avec seulement 200 adhérents jusqu’en 2005, était préparé par quelques scientifiques bien engagés en politique locale.
Malheureusement, le succès ne fut pas au rendez-vous avec 400 inscriptions confirmées un mois avant le congrès, et à peine 700 participants dont beaucoup de montpelliérains sur les 1000 prévus[2], mais où l’on a guère vu consommateurs d’eau, écologistes, agriculteurs, pêcheurs… en ces temps de consultation publique sur l’eau.
Malgré cela, il fut une vitrine politique et commerciale pour les grands projets régionaux et leurs sociétés « investisseurs » ou « gestionnaires », Veolia, Vinci,… alliées pour la circonstance aux politiques régionaux dans un vaste projet d’intégration hydraulique du Rhône à Barcelone ou même Valencia, baptisé Aqua Domitia[3], du nom de l’Empereur Domitien, qui a laissé naguère sa marque avec la Via du même nom traversant la province Narbonnaise. Modèle impérial de l’encombrant leader socialiste régional, Georges Frêche, qui transcende ainsi sa frustration de n’avoir jamais été ministre d’aucun gouvernement socialiste.
La préparation de ce congrès a été portée par l’ILEE[4] et l’association Verseau[5] sous le couvert d’un obscur « Water Cluster », en pleine période de grandes manœuvres autour de la réforme de la Recherche et de l’enseignement supérieur. De grands projets d’aménagement hydraulique régional, comme cette resucée du canal Rhône-Barcelone, conduits par la Région Languedoc-Roussillon présidée par Georges Frêche (ex-PS) et aussi le Conseil Général de l’Hérault présidé par André Vézinhet (PS), promoteur quant à lui des « pompages d’essai » concurrents, inutiles[6] et catastrophiques sur la source karstique des Cent-Fonts détruisant un biotope cavernicole unique et protégé. Ce dans le but d’assurer l’alimentation en eau de Montpellier qui n’en a pas besoin. Echec. Sans qu’aucune sanction administrative ne soit prise. Non sans intenter de multiples procès aux associations écologistes locales, qui ont toujours obtenu des non-lieux.
Le « Water Cluster » regroupe la major Veolia, le tout nouveau groupement régional d’entreprises du secteur Eau, nommé Swelia, malheureuse contraction de Suez-Veolia qui inquiète les PME, puis BRL, la célèbre Compagnie du canal du Bas-Rhone Languedoc, éternellement déficitaire suite à l’échec historique du développement de l’irrigation en Languedoc pour remplacer la viticulture en crise dans les années 60-70, et dont le patrimoine vient d’être transféré de l’Etat à la Région, enfin, l’association Verseau et l’ILEE.
Ce groupement constitué à l’arraché à l’ombre de la puissance tutélaire régionale, réalise le rêve des administrateurs de l’association Verseau pour créer un de ces fameux « pôles de compétitivité» promus par M. Dominique de Villepin, et qui serait localement spécialisé sur l’eau. Ce qui tombe bien. Ce projet de pôle est pour l’instant toujours recalé par l’Etat, seul à décider en la matière. Ce qui n’empêche pas le « Water Cluster » de faire du lobbying, congrès mondial IWRA à l’appui, pour y donner une caution scientifique internationale peu regardante. L’ancien président de l’IWRA, M. Aly Shady, ne disait-il pas avec subtilité, « faire des grands barrages ou mourir de faim. », ignorant les controverses autour de ceux-ci surtout dans le Tiers-Monde et aux USA. De quoi valider aussi le projet d’une chaire universitaire privée sur l’eau que financerait Veolia, qui gère l’eau de Montpellier, annoncée au détour d’un repas lors du congrès par Messieurs Frêche et Proglio[7].
Pour une cause pareille, il fallait bien convoquer les « Sept Plaies de Septimanie », au nombre desquelles les inondations, les sécheresses, le rehaussement du niveau de la mer et l’érosion littorale, la croissance démographique, le réchauffement climatique et… la fonte des glaciers, car le maître de séance n’est autre qu’un éminent glaciologue tropicaliste, M. Bernard Pouyaud, directeur de recherches en hydrologie à l’IRD[8] par ailleurs président de l’association Verseau, militant RPR villepiniste et secrétaire exécutif de la toute nouvelle « Agence de moyens », AIRD, de cet imposant institut, futur sésame financier de tout programme de recherche. Autant en avoir les clés.
Et le congrès mondial fut sauvé de justesse.
Etonnante résurrection que celle de l’association Verseau dont le président est un homme de ressources, et pas seulement aquatiques. Au bord de la faillite en 2006, mais miraculeusement rétablie en 2008, après une année 2007 pour le moins agitée. Grâce à quelque 130 000 euros de subventions indirectes ingénieusement obtenues et à de nombreux artifices comptables qui bouleversent les règles de l’art.
Qu’est-ce que l’association Verseau ?
Créée il y a plus de 20 ans pour rapprocher les chercheurs des entreprises et des collectivités locales pour œuvrer dans le domaine de l’eau (transfert de technologies, études et expertise, développement institutionnel, lobbying…), Verseau est une association qui regroupe le Conseil général de l’Hérault, une grosse partie des instituts des sciences de l’eau de Montpellier, la compagnie BRL, Swelia, etc…
C’est aussi un sous-traitant de bureaux d’études commerciaux extérieurs. Sur une question au coeur des rapports de force régionaux, elle fut toujours secouée par des crises financières aggravées par une gestion d’amateur et une absence de fonds propres. Régulièrement remise à flot grâce à des subsides publics, elle replonge immanquablement. Sans jamais réussir sa mission originelle… amorcer une gestion locale de l’eau sereine. Mais la période a changé avec les grands projets d’aménagement régionaux… Il faut des cautions scientifiques d’où l’utilité d’une association-passerelle.
Donnée pour défaillante par sa banque, le Crédit (peu) Coopératif, qui lui coupait sa ligne de trésorerie en 2007, l’association Verseau a pourtant su mettre à profit les financements des autres, à commencer les instituts publics de recherche ou universités, voire agences administratives diverses, comme l’ADEME ou l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée-Corse.
« Avec une perte nette (après impôt) de 20 245 €, pour un chiffre d’affaires global de 518 581€ l’année 2006 marque un recul dans la stabilisation financière de l’Association amorcée depuis 4 ans », prévient le rapport moral annuel. L’année 2007 marque une tension extrême : rupture de trésorerie dès l’été et absence de rentrées en vue (il faut trouver 40% du chiffre d’affaires en 4 mois) malgré le Congrès mondial de l’eau et quelques contrats captifs avec le Conseil Général de l’Hérault, justifiant force prestations de services pour la coopération décentralisée avec le Maroc ou la Tunisie.
Il faut parer vite au redressement et c’est là qu’un urgent fléchage de fonds de la recherche scientifique publique s’organise à plusieurs niveaux : il faut sauver le soldat « Congrès mondial de l’eau », événement majeur pour l’association et la fin de carrière du président Pouyaud mais aussi vitrine des grands projets régionaux.
Préparé dès 2006, cet événement bénéficiait déjà de personnel rémunéré à temps plein par une subvention européenne gérée par Agropolis, avec Verseau comme sous-traitant, en particulier pour la construction du site web du Congrès, sans que le premier en soit informé. Ceci n’empêcha pas Verseau de le refacturer à l’Université Montpellier 2 (UM2), dont chacun sait qu’elle roule sur l’or.
Rebelote en 2007. Soit 16500 euros au moins de rentrées grâce à ce qui s’appellerait une double facturation, facilitée par le fait que le président Pouyaud est aussi IRD et Maison des Sciences de l’Eau/UM2 tout en étant Verseau, comme son associé scientifique Chevallier, co-administrateur de Verseau, et chercheur IRD à la MSE. Pas sûr que la Commission européenne apprécie.
L’expert-comptable de Verseau, M. Didier Colin, n’y a vu que du feu, pourtant il est aussi… commissaire aux comptes du-dit projet euro-méditerranéen géré par Agropolis et sous-traité à Verseau, sans que l’administration d’Agropolis ne réagisse. Juge et partie, certes mais conception tolérante de la notion de conflit d’intérêts. Pendant ce temps-là, le vrai commissaire aux comptes de Verseau, Michel Comte, s’arrache les cheveux : ces travaux ont-ils été faits ? Et facturés quand et à qui ? Comment certifier la sincérité des comptes ? Question de détail car Verseau est aussi membre du Conseil d’administration d’Agropolis, ce qui a permis de débloquer un petit supplément de 20 000 Euros en 2007 toujours sur le même projet euro-méditerranéen.
Il faut dire que Colin est un expert en la matière : le Midi Libre révélait en mars 2007 que le juge et le fisc avaient perquisitionné son cabinet et scanné son ordinateur retrouvant des contrats anti-datés octroyant d’exorbitantes indemnités de rupture de contrat à verser par la Région au couple qui exploitait la Maison du Languedoc à Barcelone pour le compte de Prodexport, une émanation de la Région Languedoc-Roussillon, dont le staff adoubé par le président d’alors Jacques Blanc a été viré (Affaire Pouzilhac) lors de l’arrivée du nouveau président, Georges Frêche, en 2004. Poursuites pénales en cours pour gestion indélicate. Manque de chance, Colin mange à tous les rateliers, y compris à celui du Conseil général… socialiste, grand protecteur de Verseau. Et comme c’est la guerre de leadership sur l’Hérault entre son président, Vézinhet, et Frêche, par ailleurs président de l’Agglo de Montpellier, on craint les règlements de comptes après les sénatoriales avec leurs deux listes PS concurrentes qui vont faire un tabac.
Autre ficelle utilisée par le président de Verseau pour soulager la trésorerie à défaut du budget : mettre une partie du personnel en congés sans solde pendant un an et… le faire embaucher en CDD par son institut IRD sur son propre programme de recherche en glaciologie en Asie Centrale, nommé Jayhun, en prétextant l’utilité extrême de traduire du Russe des bases de données chiffrées (?) alors que l’on touche à la fin du programme. Sans doute pour utiliser des reliquats. Gageons que les partenaires allemands ou anglais n’auront point été avisés. Quant aux Tadjiks, Ouzbeks et autres Kirghizes, ils ont d’autres chats à fouetter. Heureusement que la recherche publique est riche… et financée sur un programme INCO par l’Europe, laquelle doit se féliciter de sauver de la faillite de si indispensables institutions.
Rebelote sur un autre programme, le Basin Focal Project Volta, logé à la Maison des Sciences de l’Eau à l’Université Montpellier 2, mais financé par l’IRD en contrepartie française dans le cadre d’un « challenge programme international », et qui financera Verseau pour des travaux de réécriture et de synthèse de… travaux d’étudiants un peu hasardeux sur « l’eau, la pauvreté, l’agriculture pluviale,… » en se demandant pourquoi les paysans sahéliens n’arrivaient pas à utiliser correctement l’eau. La recherche de pointe, en somme. Nul doute que Mme Valérie Pécresse sera convaincue et ne manquera pas d’attribuer le label « Pôle de compétitivité Eau » à notre glorieuse équipe des sciences de l’eau montpelliéraine.
Pourquoi ne pas profiter non plus des relations politiques locales pour gratter quelque subside public complémentaire? En utilisant les règles de marché en gré à gré, c’est tout à fait possible grâce à la procédure allégée de commandes d’études de l’ADEME Languedoc-Roussillon, plafonnée à 4000 euros pièce, organisme dont les deux directeurs sont engagés en politique locale avec des résultats plus ou moins heureux aux municipales de Villeneuve les Maguelonne ou Pérols. Mais 4000 euros, c’est peu. Alors trois notes de synthèse sur les énergies renouvelables en Mer Noire ont permis de dégager le triple. A quand une note de synthèse des notes de synthèse ?
Grâce à ce genre d’artifices, le président de Verseau a pu démontrer que le Crédit Coopératif faisait vraiment preuve de mauvaise volonté. Gageons que demain il fera de même avec l’agence de moyens AIRD qui, logée à l’IRD, est sensée co-financer les programmes de recherche internationaux des divers instituts (INRA, INSERM, IRD, CNRS, IFREMER…).
Combien a coûté le Congrès mondial de l’eau ? Et qui a payé ?
Le budget total avoisinerait les 800 000 euros. Avec des tarifs européens à 500 euros et 200 pour les participants du Sud, on peut estimer les recettes pour 700 participants, dont 300 du Sud, à 260 000 Euros, plus quelques recettes diverses (espaces publicitaires).
Des subventions ont été votées ou octroyées : collectivités locales et régionales, 200 000 ; agence de l’eau, 50 000 ; instituts publics de recherche, 86 000 ; entreprises privées, 70 000. Total recettes : 666 000 Euros. Déficit : environ 143 000 Euros.
Alors qui a payé ? L’IRD et l’ADEME mais avec des bouts de ficelle sous couvert d’études ou expertises pour ne pas dire qu’ils subventionnaient encore plus le Congrès ou bien Verseau.
Pour un montant équivalant grosso-modo au trou de 2007, soit environ 140 000 Euros.
On attend la publication des vrais chiffres.
Quand on sait que les subventions d’événements sont plafonnées dans les instituts scientifiques à 12 000 Euros, il y a justement de quoi sauter… au plafond.
Et le coût de la com ?
Heureusement que la communication de la Région et du Conseil général ont matraqué pendant deux mois que « notre corps était composé à 65% d’eau…et qu’ils y pourvoyaient », la science seule n’aurait jamais pu nous convaincre.
En plus, grâce à cette assommante campagne de presse, les Languedociens ont appris la menace réelle de « l’eau calcaire » (sic ![9]) et de « la salinisation des nappes côtières » provoquée par les surpompages des campings, golfs et hôtels du littoral dans un contexte où l’Etat a abandonné toute prérogative de contrôle avec la mirifique promesse de l’eau du Bas-Rhône qui va régler tous les problèmes mais empêche les acteurs de l’eau de s’auto-organiser, démoralisant chaque jour un peu plus les petits élus locaux[10]. Mais de çà, point de bruit.
Des précédents fâcheux.
Ainsi, un audit interne d’Agropolis International[11], réalisé par les experts Jacques Solié (ENSAM) et Jean-François Renard (CIRAD) en 2006, sur la gestion d’un projet euro-méditerranéen de gestion de l’eau financé par la Commission européenne mettait en évidence après trois ans de négligence de son directeur général le fait que « l’association Verseau s’était servi sur le projet » dont profitait sans délégation de signature son chargé de mission Eau, ancien directeur international de Verseau, Michel Soulié, ingénieur de recherche de 2ème classe de l’université Montpellier 2. Il en profita entre autres pour y embaucher son épouse sous son nom de jeune fille alors qu’elle était employée par… Verseau et pour y flécher facturation de services et d’expertises, sans en référer à sa hiérarchie. L’affaire se termina presque mal pour Agropolis qui perdit près de 700 000 euros, mais sans aucune sanction pour le responsable des dégâts, bien protégé par ses mentors régionaux socialistes. A moins qu’il ne détienne quelque dossier brûlant.
Déjà, un rapport confidentiel du Ministère des Affaires Etrangères dénonçait sur plus de 7 pages détaillées en juillet 2004, à la suite d’un colloque à Agropolis, « l’absence de valeur ajoutée de ses subventions (plus de 130 000 euros) pour une étude de faisabilité d’un projet d’observatoire de l’irrigation en Méditerranée » réalisée par l’IME, Institut Méditerranéen de l’Eau basé à Marseille, et administré entre autres par le même ancien directeur international de Verseau, Michel Soulié, aux côtés de Loïc Fauchon, le PDG de la SEM, Société des Eaux de Marseille, filiale à parts égales de Veolia et Lyonnaise des Eaux. Sans suites.
Une habitude de la maison ?
Cette association très institutionnelle qu’est Verseau a longtemps été dirigée par le Directeur de l’Eau et de l’Environnement du Conseil Général de l’Hérault, Serge Miquel, aujourd’hui vice-président de Verseau et alors secrétaire général jusqu’en 2000. A ce titre il a ainsi embauché l’épouse de l’Inspecteur Général Honoraire des Ponts et Chaussées et membre de l’Inspection Générale de l’Environnement, Claude Lefrou, ancien directeur du BRGM[12] et d’agence de l’eau, mais inamovible trésorier de Verseau. La dame Lefrou a eu ainsi l’honneur d’être l’aide documentaliste à temps partiel la mieux payée de France, avec statut cadre, pendant 4 ans de 1997 à 2001, histoire de compléter ses points-retraite. Malheureusement licenciée par son trésorier de mari pour cause de banqueroute en 2002. Cela a-t-il permis l’absence d’enquête de la part de l’Inspection Générale de l’Environnement lors de la destruction de la Source des Cent Fonts par le même Miquel ? Lequel assurait ses grands dieux avoir trouvé un gisement d’eau inépuisable, mal conseillé qu’il était par une certaine intelligentsia montpelliéraine de l’eau bien connue de Verseau, puisqu’elle en fait partie. L’aubaine aquatique s’est révélé « pipi de moineau » malgré la production de données pseudo-scientifiques fort opportunes pour contrarier les écolos récalcitrants. Personne ne fut convaincu.
Un précédent familial :
Le rejeton Pouyaud, lui aussi chercheur à l’IRD, en ichtyologie a été au cœur d’un petit scandale scientifique international en 1999-2000. Afin d’apposer son nom de « découvreur » d’une nouvelle espèce de Coelacanthe en Indonésie, ce poisson préhistorique très rare, il n’a pas hésité à … utiliser la photo du Coelacanthe d’un chercheur américain qui a eu la surprise de la découvrir dans une prestigieuse revue scientifique américaine. Vérification faite au scanner, il s’agissait bien du même. Carton rouge, chez les ichtyologues, spécialistes des poissons. Mais l’avis de découverte est toujours sur le site web de l’IRD.
[1] International Water Resources Association.
[3] Il s’agit de la troisième tentative de canal du Languedoc, les deux dernières étant aussi prétextées par la prétendue menace de pénurie d’eau structurelle de Barcelone, dont les Espagnols et Catalans n’ont finalement pas voulu.
[4] Institut Languedocien de l’Eau et de l’Environnement, Institut Fédératif de Recherche.
[5] Créée il y a 20 ans pour rapprocher les universités techniques des entreprises du secteur Eau et des collectivités locales afin de valoriser les résultats de la recherche.
[6] Sur un site que l’ancêtre de Veolia, la Compagnie Générale des Eaux, avait abandonné en 1992, faute d’un débit suffisant.
[8] Institut de Recherche sur le Développement, ancien ORSTOM.
[9] Midi Libre, 1er Sept. 2008.
[10] Comme le président du Syndicat Mixte de la nappe de l’Astien, vers Agde.
[11] Qui regroupe une quarantaine d’établissements publics de recherche, d’enseignement, des collectivités et des organisations socio-professionnelles.
21:50 Publié dans Pôle compétitivité Eau, Région | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
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